Lundi 20 juillet 1 20 /07 /Juil 00:12

Pour ce RDV, je suis vêtue d’une robe bleue marine à pois, fluide, croisée à la poitrine. J’ai choisi des dessous blancs en dentelle, mi ange mi démon.

 

L’image de Manara et la pensée de ce qu’il m’a dit avoir imaginé cette semaine me trottent dans la tête.

Heureuse de le retrouver, heureuse de revenir dans notre antre avec tout ce que cela suggère.

 

A peine arrivée, il me serre et m’embrasse.

Je savoure ses baisers tandis que mon bassin cherche déjà le sien.

En bas de la maison, nous ne sommes pas encore dans l’autre monde, nous ne sommes pas encore habités par nos démons. La folie et l’excitation peut être… Surement !

Il me plaque au mur. J’aime cette pression, cette emprise. Sa main passe sous ma robe, j’adore. Je me sens heureuse et excitée. Nos souffles de désirs s’échangent.

Sublime retrouvaille.


Il me guide ensuite vers les escaliers. Je me demande ce qui m’attend en haut, ce qu’il a bien pu imaginer. Il m’a envoyé tant de photos ce début de semaine, qu’a-t-il décidé de faire ?

 

Nous allons monter, il me stoppe, me saisit, me regarde et me dit :

- Retourne-toi 

- Penche-toi 

Il lève ma jupe, se plaque à moi. Il ne m’en fallait pas plus pour déclencher mes ardeurs, stimuler mes désirs de chienne. Aguicheuse, profiteuse, j’adore pouvoir être ainsi et je savoure.

Indécente femme, indécente posture. Quel bonheur de solliciter ce désir brut et "sauvage".


- Mets toi contre les escaliers 

Je m’appuie sur la rampe en bois, toujours penchée, cambrée, les fesses offertes. Il s’accroupie et plonge son visage entre mes fesses. Sa langue me passe partout, use de tous les trous et réussit à titiller mon clitoris. Je me doute que je coule. Tout m’excite au plus haut point. Plus il me lèche et plus je me tords et m’offre. Cet escalier m’aide à accentuer mes postures. Un pur délice que ce laisser-aller.

Quel moment intense, possédée dans tous les sens du terme, et par mon esprit de chienne, et par Son démon !


Il me guide ensuite vers la pièce voisine. Mon string blanc reste au sol.

Il débarrasse un bureau à grand coups de bras pour m’y faire une place. Je m’y assoie, plongée dans son regard désireux. Je souris. Ce démon lit en moi et j’ai l’impression que chaque instant répond à mes désirs.

Il m’écarte les jambes et plonge à nouveau dans mon antre. Comme toujours, jouir dans une position que je ne peux pas gérer est difficile. Et en plus, il joue : il varie ces coups de langue, enrôlant mon clitoris ou léchant mes trous. La tension monte, je peux venir si… si seulement si … ah ! Il poursuit, change. Ca devient plus fort.

Et là, il arrête. L’onde se noie dans mon antre, j’ai envie de hurler « non ». Il sourit.

 

Démon !

Mon esprit est fou de rage et pourtant si ravi de ce jeu. Un délicieux paradoxe.

Il reprend et me mène enfin jusqu’à la jouissance. 

 Nous n’aurions peut-être pas dû jouir ainsi avant de monter, il me le dit et cela renforce mes questions sur ce qui va bien pouvoir se passer la haut, j’imagine bien que je ne vais pas sourire.

En bas, c’est notre folie de désirs qui s’est exprimée. Elle fait partie de nous, elle nous révèle et nous permet d’être. C’est un autre état, une facette de nous, de moi.

 

Nous montons.


Je sais que les choses vont être différentes. Il me tarde de voir ce qu’il a préparé.

Les objets ont changé de place. J’essaie de voir ce qu’il y a, ce qu’il n’y a plus.

Il me demande de prendre mon collier. Dans ma tête, mon démon frétille.

Il me le place délicatement et le boucle. C’est un moment  un peu en suspend où se matérialise sa possession et ma condition.

 

Cela définit LE moment.

 

J’apprécie l’image que je peux lui donner avec ce collier. Un moyen de lui dire que je lui appartiens, que j’accepte tout ce qu’il me fera, que je laisse l'autre de coté. 

C’est vrai que je me sens comme sa chienne, belle, à lui appartenir ainsi, à l’écoute, attentive, désireuse.

 

Puis il prend les liens de cuir et m’attache les mains dans le dos. Je souris. C’est une limitation light, mais déjà, je ne peux plus le prendre dans les mains, je ne peux plus saisir sa queue. Dommage, elle était si tendue en bas.

 

Hum démon, vous me limitez, vous asseyez votre domination.

Je comprends. Je dois vous suivre, je vous suivrai.

 

Il attache une laisse en chaine à mon collier, Il tire et en joue.

Toujours sourire aux lèvres, ravie de devenir sa chienne, d’être sous son emprise, je le suis. Et, comme toute bonne chienne, je joue, le provoque, n’obéit pas de suite.

Or, tout à coup, sur un ton ferme, il me demande de m’agenouiller. Je m’exécute comme saisie par cette voix et ces mots. J’aime et admire cette force d’exigence. Ca résonne en moi, le temps de descendre à ses pieds.

 

A genoux, il m’offre sa queue et je le suce avec plaisir. Il se retire, revient, me titille au  bord des lèvres et s’enfonce au fond de ma gorge.

Il ne joue pas si longtemps que cela et me bascule au sol. Mes épaules et ma tête se plaquent au sol, mon cul en l’air, exposé et offert.

Certes, je pourrais me coucher pour être moins exposée mais j’aime à m’offrir ainsi, à exécuter et garder les positions dans lesquelles il me met.


Il tourne les talons et va prendre quelque chose. Je ne vois rien mais bien vite j’entends et ressens le premier coup de martinet. Le feu est doux. Cela me plait. Il enchaine et le cumul des feux font autant monter mon feu intérieur que mes désirs. Mes désirs de plus, de plus fort. Il vise la zone blanche, celle de mon maillot (pacte du jour entre nous).

 

J’ai envie de plus.

 

Quelques coups plus marqués me rappellent à l’acte, tandis que les autres m’emportent à en fermer les yeux et tortiller un peu. Mais ce n’est pas assez. Pas assez fort ou pas assez long. Je ne sais pas. Suis-je impatiente ? Nous n’en sommes qu’aux prémices… Ce doux feu me dilate, m’excite, (c'est peut être le but d'ailleurs), me rend provocante (c’est ma sensation).

 

Il accentue les coups ou les multiplie au même endroit. Je me tords de trop et me soustrait parfois à ses coups. Incorrigible, je sais, mais tant que je peux, j’en use.

Il arrête alors et m’attache les chevilles à l’aide des liens de cuir. Je peux encore bouger, me tortiller sous le feu qui s’abat sur mes fesses.

Je sais et sens que le jeu commence.


Il me demande de ne pas bouger. Je ne peux pas sous les coups cinglants de la cravache. Ce n’est pas le martinet, ça, et c’est saisissant !

Il tourne autour de moi, m’assène des coups que j’apprécie autant que je les maudis.

Je bascule et tombe sur le coté, me soustrayant ainsi à ses feux.

Il se reprend, décidé et déterminé : il attrape ma cheville, serre les liens, limite et annule mes possibilités de mouvement. Dans son élan il m’a retourné et me voilà sur le dos, les mains toujours liées. Je suis en train de me dire qu’il n’a peut être pas fait attention qu’il n’aurait plus mes fesses. Je jubile un peu tout en me disant aussi que sur ma chatte et le peu d’espace qu’il y a devant, cela risque d’être intense.


La deuxième jambe est enchainée aussi. J’ai les jambes bien écartées, mais surtout, sans possibilité de bouger, les liens me font mal tellement ils sont serrés.

Je me vois et me sens liée comme dans mes images, comme dans les images que je regarde souvent. Le bruit des chaines me fait vibrer. J'adore ça. Je suis sa prisonnière et ainsi, il peut me faire ce qu'il veut.

Il est si déterminé et il a tant serré ces liens que je commence à mesurer aussi les conséquences de cette immobilisation. J’ai bien conscience que je ne pourrais pas tricher, que je ne pourrais pas amortir ou intégrer ses feux par des mouvements.  Ma conscience et mon esprit vont être mis à rude épreuve et ils vont être les seuls régisseurs de mon état.  

Je suis pleine de questions, de recherche du comment faire, je crois que je ne souris plus trop.

 

Il reprend la cravache. Aie !


Je peux encore bouger le haut mais ma chatte et mon entre jambe sont vraiment trop exposés, trop fixés. Les coups sont saisissants et ce qui me panique un peu, c’est que ce n’est que le début.

La zone cible (du maillot) est restreinte et j’avoue que sur la chatte c’est particulièrement douloureux.

Il vise bien, ca me rend folle et je gigote encore un peu en haut.

Il attache alors mes mains aux anneaux derrière ma tête. C’est fou, malgré tout, c’est comme s’il répondait à mes désirs. Je le regarde faire, toujours aussi décidé.


Je teste les liens : mes poignets peuvent bouger mais c’est limité. Je suis attachée, dans mon plaisir, mon fantasme, sauf que là, je ne suis pas dans un fantasme d’abus sexuel où tout n’est que jouissance. Je sais que je vais souffrir.

 

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Je teste encore mes chaines. Les pieds ne peuvent vraiment pas bouger, c’est paniquant.

Mes mains peuvent s’enrouler aux chaines et je ne tarde pas à m’agripper sous le premier feu de la cravache que je n’ai pas vu venir, plongée dans mon étude.

Destinée à subir, à gérer. Je me demande comment je vais faire.

 

 

 

 

 

 


Nous y sommes.


Je suis partagée entre l’envie (surement mon démon interne qui se dit que nous allons plonger dans toutes ces scènes SM, ces punitions terribles que j’admirais), et l’appréhension de ne pas supporter, de ne pas partir, de ne pas réussir à me laisser guider.


Moment de panique certain face à ce qui m’attend. Les coups ciblent toujours mon pubis, ca brule, et quand cela touche mon clito ça me saisit comme une mauvaise douleur. Je grimace. Les yeux parfois clos comme pour intégrer les feux, je respire, je gère, il gère, me mène, je suis ses désirs ou son plaisir (du verbe Etre). Les feux s’enfoncent dans mes chairs, s’y perdent et augmentent l’intensité du moment (je ne sais pas vraiment comment l’exprimer).

 

Il va vers le fond de la pièce comme pour poser quelque chose. Je souffle.

Il se retourne, il a les pinces en bois à la main. Rien qu’en les voyant, c’est l’affolement intérieur. Je me souviens parfaitement de notre dernière séance, de la douleur. Là, je ne peux rien faire. Mon dieu !


Il s’approche, s’accroupie et les place une à une sur ma chatte, lentement, méthodiquement, tout en me regardant. Mes lèvres sont peu sensibles mais le pubis, c’est terrible ! 

Il joue la symétrie, les douleurs se répondent, s’enfoncent dans mes profondeurs. Rien ne se diffuse, au contraire, cela se concentre. Je respire, me dis que c’est possible, je vais gérer. C’est dur à expliquer mais j’apprécie qu’il gère, qu’il joue de mes sensations. Je sais que ce n’est qu’une douleur, que je ne risque rien ; mais c’est une douleur !

J’arrive à temporiser un peu.


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Ma respiration s’accélère. Il termine son jeu de symétrie, les pinces se font face de part et d’autre de mon clitoris. Je souffle, inspire profondément, grimace. Mon corps ne suit pas ; j’essaie d’intégrer ; je respire, mais je m’aperçois bien vite, que rien n’y fait. Il m’observe, jauge, attend.


Le temps est une torture. Je ne sais pas comment faire, agrippée à mes chaines. Rien ne se dissipe quelle que soit ma respiration. Cela me panique. Il en rajoute, les larmes m’envahissent comme répondant à la douleur qui s'ajoute, je me cache. J’ai peur de ne pas y arriver. Je ne suis plus en phase : mon corps a mal mais ma tête est ravie. Je veux maîtriser, me calmer. Impossible, ma respiration s’emballe.

Comment fait-on pour se calmer ?

Je sens que je peux être à ce moment de douleur qui peut être plaisir. Il faut juste que je me calme.

Les pinces m’enflamment.


(Je peux m'interroger aujourd'hui : est-ce trop pour pouvoir basculer dans le plaisir ou est-ce moi, qui ne gère pas ?)


Respirer à fond me donne l’impression de soulager quelque peu cette intensité, mais c’est qu’une impression, je m’agrippe aux chaines, rien n’y fait.

Une pince de plus … encore. Une douleur pénétrante de plus. 

 

Je dis « stop », déçue de m’entendre car ce n’est pas pour la douleur que je le dis, mais parce qu’il faut que je me calme.

Il arrête d’ajouter les pinces et ne les enlève pas pour autant ! Ca me va, mine de rien.

Je serre les dents. 

Il attend un peu, me jauge.

Je n’arrive pas à me calmer. Mais pourquoi ?

 

La douleur est toujours aussi intense et profonde, elle ne me laisse aucun répit. Je voudrais tant me tortiller pour m’aider.

Il se met alors à toucher les pinces. Fssii, je résiste, crie, surprise et saisie.

Il va chercher le bâillon boule. Dans ma tête, je me dis : - non, ca ne ce sera pas possible, je n’arrive pas à calmer ma respiration, je ne vais pas y arriver avec ce truc et je ne pourrais plus m’apaiser de ces feux si profonds. Je ne pourrais pas non plus dire « stop », si cela ne va pas.  Bizarrement, je ne l’exprime pas oralement, surement  pour qu’il décide. J'ai envie qu'il décide. 

 

Il a beau tourner autour de moi pour essayer de mettre le baillon, je ne peux pas. Je suis en confrontation avec moi-même. 

Il me demande alors si je suis capable de ne pas crier. J’acquiesce. Je ferai l’effort, je résisterai et j’en ai la conviction.

Ma chatte n’est toujours que douleur. Et je la sens chaude, chaude et humide, elle est folle. Le temps est toujours aussi long. Je me tortille en tirant sur mes bras mais mon bassin ne bouge pas.

J’ai besoin de me calmer car il me reste à mener un défi : intégrer cette terrible douleur qui reste profondément encrée dans mon pubis.


Mon Démon s’est relevé et comme pour poursuivre les sévices et me donner à résister ou à subir, il manipule encore les pinces, le regard brillant. Je gémis, crie peut être malgré ma maitrise.  

 

Il me regarde, comme compréhensif face à ma douleur, je sens qu’il va arrêter, qu’il a compris mais il me dit alors :

- Il faut LES retirer ! 

Mon dieu, non ! Je n’y pensais même pas. La douleur profonde va revenir, me saisir (comme la dernière fois !).

Les larmes coulent, j’appréhende, toujours pas calmée.

 

Il les retire alors une à une. La douleur est précise mais se mêle rapidement à celle, immuable, de ma chatte.

Puis il saisit les pinces par plusieurs à la fois pour les ôter. Il joue si bien. C’est d’une fluidité terrible et je ne peux que subir, offrir. Offrir mes soubresauts, mes sanglots, mes yeux suppliant mais qui pourtant expriment ma fierté d’être ainsi, de subir ainsi.

La souffrance est intense et d’autant plus terrible qu’il ôte les pinces ensemble, mais je suis avec Lui, à Lui.

 

Je m'abandonne.

 

Les traces rouges sur ma chatte restent les seuls vestiges de ce qui vient de se passer ; je les vois, les trouve si anodines par rapport à ce qu’elles m’ont infligé.

 

- On va les remettre, me dit-il après un moment de pause et d’observation.

Un « non ! » spontané sort de ma bouche.

Qu’ai-je dit ? Il pourrait me punir et les remettre malgré ma souffrance.

J’attends silencieuse qu’il juge.

J’ai vraiment l’appréhension qu’il recommence et je sais que cela sera au-delà du supportable, peut être même que je ne pourrais plus respirer et manquer d’oxygène. C’est la panique mais le verdict ne tarde pas. Il m’a jaugé et décide de me détacher.

Merci démon !

 

La tension retombe, les larmes coulent toujours malgré moi. Maudit corps, maudit esprit, encore du chemin à parcourir pour le suivre. J’essaie de cacher mon visage, toujours un peu honteuse de finir dans cet état.


Aurait-il souhaité plus ou est-il satisfait d’avoir usé de mes ressentis, de mes sensations, de mes sentiments ? J’ai du mal à le regarder pour savoir.

Il me détache. Je reprends mes esprits. Je caresse ma chatte endolorie.

 

.....

Après quelques instants de répis, il prend une de mes chevilles et l’attache sur la gauche de ma tête, écartant mon entre-jambes d’une façon que je qualifierais d’extrême

Que va-t-il pouvoir me faire ainsi ?

Il saisit ma deuxième cheville et vient l’attacher de l’autIMG-20150708-WA0009nbre coté de la tête. L’écart est tortureur et pour me soulager de l’écartèlement, je soulève mon bassin pour plier un peu mes genoux.

 

Je me retrouve ainsi, les pieds à l’arrière de la tête, le bassin levé. J’ai une vue superbe de ma chatte aux lèvres lisses.

J’adore.

Je me sens le cul ouvert et vulnérable. J’apprécie son sourire à me voir dans cette position. Je souris aussi. Mon esprit se félicite de cette ouverture, de cette possibilité.

 

Il lèche ses doigts et joue dans ma chatte et mon cul.

Il crache dans mon cul (est ce vulgaire ?), ca me plait.

Mes jambes sont à nouveaux liées serrées, seul mon bassin me permet d’accentuer mon plaisir ou mon offrande. Je reste cependant très limitée par l’inconfort de la position et l’étirement que cela provoque. Je subis tout en accentuant. Le désir monte.

 

Il me fiste sans détour, jouant aussi avec mon clitoris. Les sensations se baladent dans tous mes muscles internes, frôlant la jouissance. Il me fiste à me faire basculer. Au bord de la jouissance, puis jouissante, je me  gicle dessus. Je coule.

 

Ces doigts experts s’en prennent à mon cul, un bonheur pour moi.

J’adore cette sensation : qu’il prenne toute la place possible dans cette antre et qu’il s’enfonce, qu’il accélère. Je sens ma chatte réceptive de l'autre coté, prête à exploser, elle se gorge de jus et attend le bon moment. Le moment où tout mon intérieur se contracte et se relâche d’un coup, libérant une jouissance intense.


Ma chatte et mes antres sont bouillants et malgré ce que je viens de subir, ou à cause de ce que j’ai subi, je ne sais pas, je sens tout mon intérieur possédé. Je jouis à chaque assaut de mon cul. Délicieux. Ma mauvaise position n'est plus un problème. 

Il peut me mener longtemps et autant qu’il le souhaite à chaque coup de poignet.

C’est fou mais c’est ultra excitant, et immédiatement jouissif. J’explose à chaque fois. Il  gère, je m’éjacule encore dessus et mon antre coule de toute cette jouissance intérieure.

 

 

Il me détachera après m’avoir trempée.

 

J’ai le dos étiré, les jambes en coton, la tête abasourdie.

J’ai besoin de quelques instants pour me relever et reprendre mes esprits. Il m’aide.

 

Ce fut une superbe séance. Dure, certes, mais elle m’a conforté dans la confiance que je peux avoir en Lui. Il sait me mener, me guider, m'écouter, il saura me calmer, m’apprendra à respirer.

Je crois quand même que je vais plus appréhender les liens maintenant. Et pourtant…

Par Chienne Saly - Publié dans : Etapes
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