Dimanche 18 juillet 7 18 /07 /Juil 22:25

Maître MaX souhaite jauger mon état de chienne et mon obéissance.

Les consignes pour cette rencontre : une mini-jupe, un chemisier, les bas, pas de culotte et le plug.

PS : Il fait tellement chaud que je n’ai pas mis les bas. Mais je les ai emmenés au cas où cela poserait un problème.

 

Le RDV est pris.

Mon Maître m’amène en voiture sur les lieux qu’il a choisi : ruine d’une ancienne maison bourgeoise.

Une voiture nous suit. C’est l’autre maître, l’éducateur !  

Je ne vois pas son visage dans le rétro.

J’aurais aimé l’entrevoir. Pas voir, juste entrevoir mais j’aime cette idée, cette situation et joue le jeu.

 

Arrivés, nous descendons les premiers et nous nous dirigeons vers la maison. Je ne me retourne pas.

Sur les lieux, mon maître me prépare : il me met mon collier, me serre dans ses bras puis me masque les yeux. Nuit noire. Il me plaque contre le mur et me demande d’attendre.

Sentiment étrange de solitude, pas d’appréhension, j’attends les évènements. Curieuse de connaitre de nouveaux plaisirs.

 

Les pas reviennent, mes sens essaient d’évaluer la personne qui arrive, de différencier les pas de mon maitre et les siens.

Copie de Jlt2010 002

Je lui suis présentée. 

 

La tension monte.

 

Cet éducateur me touche, me tâte, ces mains étrangères m’encerclent.

Je suis toujours contre ce mur, mon seul repère, ma seule image.

 

Je suis présentée comme une « pouliche », devant, derrière.

 

Ses mains ouvrent mon chemisier, remontent ma jupe.

Je suis offerte à leurs vues. Je sens le recul de cet éduc pour mieux me regarder de bas en haut. 

 

Cette sensation d’être mise à nue est angoissante. J’ai l’impression d’être jugée et même que l’on peut lire en moi sans pouvoir jouer de mon apparence, de mon charme.

Etrange sensation de ne pas échanger, d’être juste l’objet de mon maître, offerte à cet étranger.

Dans ma tête, cette conscience des faits m’oblige à un travail pour passer outre le jugement des autres et à lâcher prise sur le bien paraître.

 

J’écoute cette nouvelle voix qui me demande de lui répondre, de me positionner. Encore un challenge : parler, répondre sous ses regards inquisiteurs. Je sais que je dois le faire. c'est comme cela.

Maître MaX me pousse à plusieurs reprises. Difficile, timide, j’arrive à donner mes réponses.

 

Cet homme me serre contre lui, passe ses mains partout et triture ma poitrine. Il me pince, me mord. Première fois que mes tétons sont mis à l’épreuve.

Copie de Jlt2010 006

 

C’est un peu douloureux mais je dois tenir pour aller plus loin, m’habituer pour progresser. 


 Je sens lorsqu’il est contre moi, sa queue pleine d’envie, dure. Son souffle est désireux. Mon Maître n’est pas loin, je l’entends, je le sens.


Dans cette situation, je mouille, je le sais. Je touche, je suis trempée.

Plaisir augmenté par les rappels à l’ordre de mon maître au moindre écart : « reste plaquée au mur », « écartes les jambes »…

Et puis sa main qui vient se poser sur ma gorge, me serre, m’étouffe pendant que l’autre jauge mes orifices, mon clito…  je sais, je sens que je dois obéir…

Soumise à son regard de maitre, je subis les attouchements de l’autre.

 

Face au mur, je reçois des claques sur les fesses. Fortes mais retenues.

Pour moi, c’est le début de ce qui m’attends, pour une fois, mon imagination part dans des délires de soumissions plus douloureuses : fessée plus forte, plus marquante.

Cela n’ira pas si loin.

L’éduc souhaite me faire jouir en me fistant.

Penchée contre mon maître, il ôte mon plug sans délicatesse. Une douleur intense se propage. Il me fouille. L’agitation de ces doigts bien placés me fait jouir sans résistance. Je ne peux m’empêcher de gémir ou crier. Je lâche prise dans les bras de mon maître. Je ne pense plus. Je subis. Je suis ailleurs.

 

Suite à cela, des questions me submergent : quelle vision a eu mon maitre de moi,, qu’a-t-il ressenti ? Les mots « chienne », « elle aime ça » et « jouisseuse » me reviennent en tête….

 

A nouveau plaquée, dos au mur, cet éducateur entreprend de caresser mon clitoris pour me faire jouir à nouveau.

Tâche plus ardue. La longueur de l’acte et l’éloignement de mon maître me font vaciller entre abandon et conscience de mon état. Pourtant, les doigts de ce maître sont assez doués. Je pars puis me raccroche à un bruit, une envie d’entendre mon maître. Finalement, je me laisse aller et jouie.

 

Ce n’est pas fini, encore une zone à tester.


Educ se met à me fister la chatte. Je me laisse aller et descends sur sa main pour l’enfoncer en moi. Je suis chienne... J’aime que l’on me fouille ainsi et que l’on titille mon profond intérieur.

Mon sentiment, à ce moment là, est que je subis les désirs de ce maître et choisie de m’empaler sur sa main (chienne avant tout). Mon Maître va-t-il réagir ? que pense-t-il de sa chienne ? Je n’ai pas un total abandon de moi, j’en suis consciente.

Cette situation tire mon esprit vers la perversion (empalée) et me laisse entrevoir la possibilité d’aller plus loin.

A certains moments, d’ailleurs, le pincement de mes lèvres entre ces doigts me laisse à penser qu’il me prépare à recevoir des pinces.

Mon imagination perverse à dépasser la réalité.

J’ai joui plusieurs fois.

 

Je dois accepter maintenant de ne pas en subir plus.

D’attendre une autre fois pour savourer les plaisirs interdits, la perversion.

L'éducateur s’en va, je suis contre ce mur et attends que mon Maître retire mon bandeau et me prenne dans ces bras.

J’espère ne pas l’avoir déçu, j’espère ne pas avoir fait de faux pas…

Il me réconforte.

Je me plais à retrouver ses bras, son regard, ses baisers.

 

Je ne sais pas le physique que pouvais avoir cet homme. C’est troublant. J’en ai une idée en tête de par mes touchés.


Et le soir, au resto avec mon cocu, je ne peux m’empêcher d’être perturbée par des hommes de ma stature avec des polos et pantalon en toile.

Qui a pu abuser de moi ainsi ? 

M’a fait jouir ? 

Me reconnaitra-t-il ? 

 

J’ai été prise et juger chienne par quelqu’un qui ne me connaît pas, que je ne connais pas. Encore une assimilation de condition à faire.

Mon esprit titillé a imaginé des choses plus perverses, se préparait, à recevoir des actes plus marquants…

Je me sens prête pour aller plus loin, c’est sûr.

Par Chienne Saly - Publié dans : Etapes
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