Mercredi 6 octobre 3 06 /10 /Oct 15:47

Des incitations par sms, des allusions, des phrases à double sens qui promettent une réunion de nos esprits mais de nos corps, moins sûr !!!

Des heures ainsi…

La nuit qui tombe !

 

Certes nue, mais dans une tenue de fitness, il y avait plus sexy pour accueillir mon maître. 

Cela ne l’empêche pas de se saisir de moi, de m’enlacer et de m’entraîner vers la maison.

 

Dehors, contre le mur : je suis mise à nue

La nuit nous arrête. Le mur nous attire et l’inspire.

Je m’y retrouve plaquée.

Ses mains passent partout. M’immobilisent.

J’ôte le bas. A demi-nue, je m’offre à lui. Il me retourne, m’écarte les jambes.

Il touche et savoure tous mes trous. Ma chatte s’est mise à couler d’envie, de désir.

Signe incontrôlable de ce que réclame mon corps, mon esprit.

Mon maître se colle à moi, je sens son souffle dans le cou.

Il m’empoigne parfois contre le mur. Je ne peux me raccrocher à rien.

Subit délicieusement son emprise physique et psychique.

Chienne, je le suis, à me cambrer ainsi, à m’offrir sans gène, à provoquer ses sens.

Ses doigts s’immiscent en moi, dans ma chatte que nous voulions préserver ce soir et dans mes fesses, dans mon cul, dirais-je. Un ou deux doigts en guise de crochet, rien que pour m’immobiliser, me soumettre et me posséder. Cette situation me ravit, me projette dans mes fantasmes, mes envies inassouvies….

 

Ma veste et mon tee-shirt tombent.

Nue, contre ce mur, sa chaleur m’envahit, m’irradie. Je resterai bien là toute la nuit.

A subir ses assauts que je sens propices.

 

Nous rentrons au salon.

Par nos jeux, il se déshabille et je me retrouve au sol.

Je mords et cela le rends « furieux ».  

Je le suce et il savoure.

Que de variantes dans nos états qui nous font passer d’un extrême à l’autre.

 

Sur la table : offerte, prête

Il me tourne et me plaque sur la table. Les fesses ouvertes.

Il me demande de les tenir, de m’offrir plus.

Je suppose qu’il se réjouie de cette vue, de cette offrande.

Ses doigts reprennent leur exploration de mes antres.

Allongée ainsi sur la table, j’ai envie d’écarter encore plus les cuisses, de les caler à ne plus pouvoir les refermer.

Ma chatte en appui sur le coin,  je fais quelques mouvements pour délivrer mon clito de son désir, de son envie. Il est gonflé !! Demandeur…

Même lorsque mon maitre se présente à mes côtés, je ne peux m’empêcher de continuer seule ma quête du plaisir. Ma mouille enduit le bois.

Je suis dans mes images de soumise, dans l’attente de son jugement, de ses ordres… tout en profitant de ses instants de relâche où je  poursuis ma jouissance.

 

Sur le canapé :

Assise sur lui et face à lui, je prends sa queue entre mes lèvres. La mouille et l’enduit pour nous faire partir dans nos sensations….

Envie de me pénétrer, de prendre ma chatte, de prendre mon cul.


Il réalise alors, un de mes désirs : je me mets à plat ventre et s’allongeant sur moi, il me glisse sa queue entre les fesses. Première fois que je ressens cette sensation en comparaison à celle, habituelle de cocu. Elle est grosse et je la sens prendre plus de place. Délicieuse sensation de cette entrée en moi, immobilisée par son corps sur le mien.

 

Il commence à me sodomiser, le plaisir ne se fait pas attendre.

Pourquoi la sodomie me procure-t-elle ces sensations ? J’en jouie…

Pas à l’aise sur le canapé……

Il me relève et me penche sur les coussins pour mieux enfiler ma croupe. Ses coups de reins se veulent plus forts et plus profonds. Mon corps en avant, lui permet d’atteindre les méandres de la jouissance.

Mon vagin se met à couler à chaque éclat de plaisir.

 

Enlacés sur le canapé, nous savourons en amants le plaisir que nous avons eu.

 

Pourquoi dis-je « cocu nous a vu » ?

Car au départ de mon maitre, nous constatons que des vêtements ont été déplacés.

Cocu, tu dis être venu à 50cm de nous. Certes nous avons entendu des bruits mais jamais ne t’avons vu.

Je suis venue chercher les préservatifs, juste à côté de notre lit. Tu dormais….

Filou, voyeur, tu n’as pu que constater, une fois de plus, le plaisir et la jouissance que m’offre mon maitre, mon amant.

Sa queue, ses coups de reins...

...

Par Chienne Saly - Publié dans : Etapes
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Commentaires

Sommes joueurs, assez vicieux... Enfin surtout moi! L'ascenseur émotionnel marche à fond : viendra, viendra pas, obéir, ne pas obéir... La tension est souvent au maximal, la fougue au rendez-vous.

Ce soir-là nous nous sommes amusés à rester discret, amusés du demi-sommeil de Cocu. La fusion des sens était là, pas grave chose autour importait! Nous n'avons alors plus senti sa présence...

 

commentaire n° :1 posté par : Maître MaX le: 03/12/2010 à 12h12

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