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Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Cette après-midi, RDV dans un lieu inconnu. Mes consignes : porter des bas, porte-jarretelles, une robe noire et mon manteau. Ne pas oublier dans mon sac, mon collier et « blacky ». Ce RDV est particulier pour moi car je n’ai pas envie de décevoir mon Maître ou plutôt de le perdre. Il m’a assuré que cela n’arriverait pas et je le crois.
Nous arrivons devant une maison où un homme black vient nous accueillir. Ils sont trois. Une pensée immédiate pour Cocu qui rêve tant de cette vision de mon cul blanc contrastant avec des corps, des queues de blacks...
Présentation faite, mon Maître me fait agenouiller sur le matelas installé et me demande de lever ma robe, de me montrer. Il présente ma chatte épilée, me demande d’écarter les cuisses. Puis il me fait tourner et présente ou plutôt me demande de présenter ma croupe ! Je m’exécute. Me montrer devient de plus en plus aisé pour moi. Fierté de me présenter comme la chienne de mon Maître et parce que je sais qu’il est fier de cela, de moi. La timidité est encore là mais elle me caractérise aussi. Chienne docile et douce en ce début de séance.
Maitre MaX leur demande alors de présenter leurs queues et m’autorise à les regarder. Les trois mecs sont alignés et je n’ai aucune gêne à tourner la tête, surement impatiente de savoir à quels « outils » j’aurais à faire. Pas de miracle mais ces messieurs sont au repos !
Mon premier ordre et de les sucer un à un pour montrer comme je suis une « bonne chienne », une « bonne suceuse ». Des paroles qui stimulent mes ardeurs et mon application. La chaleur monte en moi et ma chatte mouille déjà. Mon Maître est là par ses regards, je les sens profonds et directs en moi. Je sais déjà que je ne le perdrai pas. Il est déterminé. J’aime entendre les hommes apprécier ma bouche… Que de stimulation et de plaisir. Plaisir de faire plaisir, de les tirer vers la jouissance sachant qu’ils devront se maîtriser pour qu’il y ait une suite….
Mise à quatre pattes par mon Maître, je suis prête à être « baisée ». Le premier me prend. Les mains me passent partout et des doigts entrent dans mon anus ; tous les trous sont explorés, testés. Je me sens envahie mais heureuse de l’être. Maitre MaX n’est pas loin mais dans son rôle, est assis sur le canapé et contemple, je dirai, le début de son œuvre… Je le sens et joue de la vision. Je me donne pour lui, pour moi, pour cocu, pour eux…
Dans les bras de mon Maître toujours installé sur le canapé, je suis bien, assurée du lien qui nous unit. Mon esprit n’imagine pas l’offrande que fais mon Maître, celle-ci est réelle. Il me guide me positionne, me fait écarter les jambes, cambrer à sa convenance et à celle de ces hommes. La chienne soumise, offerte se transforme petit à petit en femme désireuse. Les pénétrations n’ont pas beaucoup d’effets certes mais le plaisir est tout autre : échange de regards, stimulation, ordres, visions... de subtiles mélanges.
Et puis je suis fistée par l’un d’eux. La main n’est pas très profonde mais les caresses rythmées me font jouir, jouir. Je suis trempe !! Derrière moi, j’entends alors une réjouissance sur un jet que j’aurais émis. Doute, questionnement. Moi, j’aurais fait ça, pourquoi, comment ? Je ne suis pas vaginale. J’ai dû rater un épisode, occupée à sucer une queue dans les bras de mon Maître. Dédoublement de mon corps ? Un inconscient… J’ai joui, oui, consciente d’une douce sensation.
Puis ils continuent à me prendre les uns après les autres. Je note les effets mais plus que tout, je sens mon être changer. Une chienne avide de sexe, de plaisir et jouissance remonte en moi. Les stimulations enflammées du regard de mon Maître font que nous partageons cette montée. Cette extériorisation de nos démons. Je ne sais pas trop qui entraîne l’autre, je crois que c’est tantôt l’un, tantôt l’autre. Mais, moi, plus en appui des stimulations de mon Maître. Le sucer alors que mon corps est en possession de ces hommes devient un délice. Mon esprit ne s’applique qu’à son plaisir. Surement, dans notre bulle. Ce qui se passe n’a plus trop d’importance.
Mais le vice est de me confronter à nouveau à ces hommes, de me repositionner au milieu d’eux pour qu’ils m’assaillent. Un peu de gel mis par l’un d’eux me laisse présager que la suite risque d’être plus hard et sans ménagement. Ils passent les uns après les autres mais mon esprit est en dehors de ce corps et s’en délecte : abandonnée, soumise ainsi, je subis. Subir par choix pour son plaisir, pour mon plaisir. Autorisée, je le sais.
C’est un plaisir particulier (sachant que ce ne sont pas des queues hors normes, je n’ai pas de défi d’endurance à la douleur ou à la dilatation à relever). Désolée pour les termes techniques… Une envie de jouir simplement de ce que mon Maître m’offre. Jouisseuse, oui encore et toujours, en quête de tous ce que je peux éprouver et partager avec lui. La seule chose qui compte et qui m’enivre est le jeu que nous avons.
Je suis possédée par ces hommes qui m’encerclent et puis la queue de mon Maître me rappelle aux douces sensations d’une pénétration profonde et ciblée. J’apprécie qu’il me prenne et me remplisse. Je vais me laisser manipuler, abuser reprenant parfois le dessus pour accentuer mon plaisir physique. Mais surtout dans l’esprit de l’image et de la jouissance. Compatible ? Oui, je le crois. La jouissance se transmet, sans nul doute. Et Je sais parfaitement à qui elle est destinée. Ma jouissance pour la sienne. Et son plaisir pour le mien.
Prise en double sur mon Maître. Nous souhaitons partager notre ressenti. Mais je coule atrocement et j’ai tellement était limée que je n’ai plus de sensations. Je laisse faire les hommes et m’en amuse. Lui aussi. Je suis encore manipulée, retournée pour être à nouveau prise et reprise. Ma bouche est sans cesse occupée. Parfois mes mains.
Même du canapé, mon Maître est toujours un contact avec moi : sa main, son pied. Son pied, que j’ai pris à plusieurs reprises, enserré dans ma main ou léché, sucé délicieusement. Désir Instinctif (reconnaissance, sentiment…).
Dans leurs ardeurs à me fister, je n’oublierai pas cette découverte. Mi-assise, mi-allongée, dans les bras de mon Maître, l’un d’eux a remis ses doigts en moi et avec une pratique et un rythme assurés, il frotte les parois de mon vagin. C’est comme une masturbation. La tension monte petit à petit, je me sens au bord, mais pas encore. J’essaie de sentir ce qui ce passe. Des « flocs flocs », je mouille de plus en plus ; Comme un tremblement de terre, quelque chose arrive, je le sens mais ne discerne pas. Et tout à coup, tout mon vagin, chacune des parois se décontractent, s’ouvrent, se dilatent. Je sens un agrandissement dans tout mon bas ventre. Je me sens partir, mon corps s’allège, je ne sens plus. Un jet se répand dans mon antre sortant pas mon vagin béant et se propulse sur le matelas. Un flot. Les hommes sont ravis du résultat et s’en félicitent. Encore surprise, je n’y crois pas. Je ne crois pas que je n’ai pas pu contrôler cela, que je n’ai pas pu désirer cela, ou le chercher moi-même. Une jouissance nouvelle, extrême, particulière et mystérieuse, des plus savoureuses.
Ils ont usé et abusé de moi mais il ne m’en ressort qu’une chose, c’est le plaisir extrême que le lien procure : offrande d’images, de plaisir, partage de sensations. Jouissances subtiles…
Ecrivant ce récit quelques temps après, je réalise aussi que Cocu peut se délecter de ces images, de ce don. Une image tant attendue. Ne retient qu’une chose, Cocu, c’est que le plaisir m’emporte et qu’avide de sensations, je ne crois pas que je vais m’arrêter là ! Je ne crois pas que j’apprenne à être chienne, je le suis, j’apprends à l’extérioriser.
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