Partager l'article ! Etape 52 : Chienne soumise offerte: Un RDV spécial aujourd’hui. Une boule au ventre, plus que d’habitude mais une détermination intuitive, ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Un RDV spécial aujourd’hui. Une boule au ventre, plus que d’habitude mais une détermination intuitive, naturelle. Mon Maître m’a donné la tenue : bustier, string, pantalon ou jupe et un manteau long. Mais il a précisé que jupe ou pantalon, peu lui importait, car je devrais l’ôter sur le parking ou dans l’ascenseur.
Je me gare dans le parking de l’hôtel, et attends mon Maître. Un sms : « ôte ta jupe ! ». Beaucoup de monde circule et les fenêtres en face me perturbent. Inspiration, puis excitée par le défi et tremblante un peu, je la retire. Mon Maître vient me chercher. Je me suis calmée. Manteau un peu court, j’ai l’autorisation de remettre la jupe pour traverser le hall. Mais c’est sans compter sur sa détermination, je dois l’ôter dans le couloir.
Accueil agréable. Mon maitre me demander de poser mon manteau. En bustier, bas et chaussures, chatte nue (ai oublié de mettre le string !), je me retrouve devant cet homme.
Maitre MaX met mon collier : instant où je lui offre les rênes, où il prend possession de sa chienne. Vision de ma condition dont nous ne doutions pas.
Mise en place.
« Mets-toi à genoux ».
Contre sa jambe, j’intègre ma soumission, je le respire, m’imprègne, j’attends, j’attends les
consignes. Sans me relever, il me guide vers l’homme. Impression étrange de devoir marcher à quatre pattes. Je n’ai pas l’instinct de me relever, je le fais. Je suis prête à faire tout ce qu’il
me demande et lui montre (même si cela avait commencé par la jupe !). Et puis, l’homme n’est pas loin derrière moi.
Les bras le long du corps comme mon maitre le souhaite, je sens ce jean, imagine « la bête ». Puis l’homme sort sa queue. Belle,… à travailler pour la rendre magique.
J’attends l’ordre de la prendre, tente mais mon maitre me retient par le collier. Je savoure de loin. Je sens seulement. Le collier me serre. Remise en place. Tête en arrière, mon Maitre préfère m'offrir aux yeux et aux mains de l'inconnu en premier lieu. Celui-ci ne se fait pas prier pour me tâter, me palper. Je me laisse faire. Il m’offre et j’aime ça, ferme les yeux pour minimiser ma gêne (flouter les jugements potentiels).
Et puis, j’ai l’accord de le prendre en bouche, les mains dans le dos.
Je m’applique tout d’abord. Le mets au fond, l’aspire, le caresse de ma langue.
M’imprègne de sa forme. Puis en joue.
Ai l’impression qu’il apprécie.
Partage de l’image de soumission avec mon envie de le posséder (déjà). Mais avant tout, envie de le satisfaire, pour la fierté de mon maitre, pour la mienne.
Quelques gorges profondes, il me baise ensuite la bouche sous la gouverne de mon maitre. Je me laisse faire.
Bonne chienne, oui, mais qui aime ça.
Mon maitre serre le collier je ne sais même plus si je suis en apnée ou si je respire infimement. Je n’ai plus de sensation. Et le réalise tout à coup. J’étai s surement partie. Excitation présente. Et un désir de me laisser aller total.
J’ai droit d’utiliser mes mains. L’emprise est immédia te pour le tendre encore plus, pour cibler mes coups de langues ou la pression de mes lèvres. J’use, joue, démontre mes talents aussi.
Lorsqu’il s’installe sur le canapé, je le suis, le reprends en main.
Mon maitre rectifie alors ma posture.
Cambrée je le suis mais pas suffisamment.
Offerte, je le suis mais pas assez.
L’écartement des jambes que m’impose mon maitre me parait énorme. Mais soit. Je me sens désirée parce que sure de l’image que je donne.
Mon maitre en profite pour me toucher, me sonder, j’adore cette situation.
Je me vois du regard de l’homme. Mon dos, les lacets du bustier menant à mes fesses bien ouvertes et qui forment de délicieuses courbes. Merci maitre.
Les photos confirment ma vision. Il m’a sublimée. Mon corps retiendra ses contraintes de posture.
Les caresses de mon maitre surprennent mes arrières mais tout à coup, un clac brulant sur la fesse. Puis deux… Cinglant…. Cumul de brulures puis douceur d’une autre caresse qui calme le feu. Lui seul sait si mes antres lui en tiennent rigueur. Je ne crois pas, je me sens encore plus ouverte. Délicieuses contraintes.
Maitre MaX vient ensuite s’installer à coté de nous.
Toujours la tête enfouie, et afférée à ma tâche, je veux savoir si je poursuis ainsi, si mon maitre est ok. Je trouve sa jambe puis au détour de cette queue, son regard. Tout va bien. Je lèche alors la queue tout le long, m’attarde sur les bourses. L’homm e apprécie alors je me lance à les avaler, mon maitre suit, acquiesce. Je sens que mon sujet aime la pression, les dents alors je mords, un peu. Regard vers mon maitre, son rictus m’encourage. Je me laisse aller à suivre les désirs plus violents de l’homme et mes instincts félins.
Je sens à plusieurs reprises qu’il est au bord de la jouissance. La soumise s’est transformée en chienne soumise, puis en chienne et heureuse d e l’être, je savoure ces instants.
Des mots chuchotés qui sonnent, car suivent mes envies : « tu veux qu'il te prenne le cul ». Oui je le veux, je ne réponds peut-être pas oralement mais mes yeux en disent long. Mon maitre le sait, les comprend. « Tu peux prendre son cul », l’homme veut me baiser.
Le buste sur les genoux de Maitre MaX, j’offre mes arrières, mes antres sont ouvertes, je suis prête.
Il me prend, lentement ; Sa grosseur me remplit et j’apprécie. Ses va et vient amplifient la dilatation, je le sens bien et c’est bon. De grands coups de reins iront percuter le fond. Sensation trop brèves mais savoureuses.
J’essaie quelque peu de jouer de mouvement de reins pour renforcer les sensations. Mauvais appuis, je n’y arrive pas bien, du moins pas aussi intensément que je le voudrais… Sensation de baiser pour tous les deux (mon maitre et moi). Complicité du maitre et de sa soumise pour le plaisir des sens.
L’homme jouit en moi. Un peu frustrée, j’avoue rester en attente, pensant que j’allais être sodomisée comme il me l’avait été annoncé. Je veux, oui, qu’il me « prenne le cul » comme dit mon maitre. La tension redescend.
Et l’homme se prend à me fister d’un doigt, puis deux et intensifie ses gestes, me fouille sans vergogne. Puis il prend un point, augmente l e rythme.
Je sens qu’il est sur le point qui m’a emporté la dernière fois (trio black). Je ne bouge plus. Je suis agrippée à mon Maître mais comme si j’étais en lui, liée. La main de l'homme, devient habile et le pouce sur le clito parfait le geste. Je sais que je vais partir. Je gémis, cris et l’orgasme m’emporte. Intensité décuplée par mon désir d’en profiter pleinement, de sentir au plus profond de moi et de le transmettre. Je me sens vidée, essoufflée. Mes jambes tremblent quelque peu.
Etrange de se sentir tour à tour, soumise, chienne, femme…
Chienne dans tous les sens du terme : dans mes actes, dans mes pensées où dès le début je sais que par le jeu, par l’obéissance, je séduis l’homme, provoque et obtiendrai la jouissance (l'espère) …
Sortis dans le couloir, une sensation de bien-être. Echange de baisers avec mon maitre.
Peut-être en remerciement de cette sensation de bien-être, je le plaque contre le mur et me colle à lui. Plaisir réciproque, fougue. Je sens le démon monter en moi. Je le sens gonflé. Son démon est surement là aussi. Un signe et je descends. Pas de crainte. Un désir intense. Sa queue toujours aussi belle et désireuse quelque peu craintive des bruits et du lieu. La mise en bouche est délicieuse et d’autant plus dans cette environnement. Les bruits auront raison de nous…
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