Mercredi 15 décembre 3 15 /12 /Déc 14:44

Nous allons dans les ruines de la maison bourgeoise. Le temps s’y prête. Un homme dit éducateur viendra nous y rejoindre pour parfaire mon éducation. Les règles sont établies entre eux. Pour ma part, j’ai le droit de jouer, de ne pas tout subir, peut réagir selon mon ressenti.

Mon Maître est sérieux, ça calme quelque peu.

 

Attente dans les ruines…

Nous nous rendons dans une des pièces pour patienter. Des craquements nous préviennent de l’arrivée de l’éducateur. Masque, pas masque. Comment lire dans mes yeux ? Alors cela sera sans.

Personne ne se présente. Maitre MaX me demande de lui montrer mon bleu à la fesse qu’il m’a fait à notre dernière rencontre.

Prétexte pour me mettre contre le mur, me faire remonter l’imper et baisser mon jean. J’ai mis les bas mais pas de sous-vêtements.

Offerte, il prend des photos de mon indécence (impudeur). Cela me fait sourire. Je m’imagine aussi l’arrivée de l’éducateur, me trouvant dans cette posture, prête.

Je suis zen, mine de rien, vraiment curieuse de ce que je vais vivre et rassurée par la présence de mon Maître.

 

Caresse entre les jambes…

Plus le temps passe; plus je ne vois que nous…. et plus ma chatte s’excite ;

Pourquoi je mouille tant ?

Mais par ce que c’est lui qui joue avec moi. Parce que c’est lui qui me parle à l’oreille.

 

Claques sur les fesses, ...anodines !

Puis mon Maître prend le fouet dans mon sac.

Cela va se corser avant l’arrivée de notre partenaire!

Les lanières de cuir claquent, cinglent mes fesses. Les premiers coups brulent en douceur mais le cumul sur certains endroits ou la force mise me font grimacer (serrer les dents et fermer fort les yeux) le temps que la brulure se diffuse. Vicieux, il change les parties fouettées, les temps entre les coups. Pas possible de se préparer.

Il compte comme pour me donner un repère. Mais je ne sais pas combien tenir !

Et puis j’entends plus que 10. Pourquoi les dernières sont plus douloureuses ? : La force qu’il y met ou ma sensibilité. Je le vois frapper et il ne me ménage pas.

Entre les clacs, je me cambre, je m’offre par décontraction. Pendant, je me contracte pour intégrer la sensation, la diffuser dans mes chairs, l’amoindrir.

La séance fouet est finie et je me dis effectivement que j’aurais pu en supporter plus mais pense également que si l’éducateur arrive cela risque d’être une préparation douloureuse. Je ne dis pas « encore », je reste sage….

 

De nouveau face à face. Notre éducateur n’est toujours pas là.

Ses caresses passent de mes fesses à mes seins nus sous mon pull.

Mais les caresses se transforment en pincement. Il serre mes tétons, les tire. Son souffle près de mon visage, son étreinte se mélange au supplice. Mais la sensation est délicieusement douloureuse. Diffusion sublime. Mes seins qui s’étirent me donnent encore plus l’envie de tendre la poitrine. La chaleur monte en moi, toujours guidée par son souffle et son regard. Une chaleur qui se retrouve au plus profond de moi, réchauffant mon bas ventre. Les muqueuses brulent à leur tour et je sais que je coule. Mon clito se gorge et la main de mon maitre qui se pose sur lui me confirme qu’il est d’une sensibilité extrême. Un doigt dessus me fait partir. Une pulsion sanguine. Une caresse interne. Au bord de la jouissance. Je pourrai jouir tel quel ! (après coup, cela me rappelle « la main sur ma chatte » qui par deux fois m’aurait emportée par attouchement : les vignes et dans le bureau).

 

Du crochet au Fist anal…

A nouveau dos à mon maitre, il me saisit un doigt dans l’anus.

Crochet (notre vision, nos sensations).

Et puis, il glisse un autre doigt, s’immisce un peu plus. Et puis encore. Il atteint les zones qui instinctivement me font cambrer à la recherche du plaisir. C’est là. Encore. Reste. Je fléchis sur mes jambes, désir intense de m’empaler sur sa main pour qu’il aille plus au fond. Qu’il y cherche mon plaisir, qu’il le sente… c’est bon et retrouve les sensations jouissives, ma chatte coule, il m'emporte à nouveau …

Je suce ses doigts en même temps, les mords… envie de déguster ceux de l’autre main, celle de mon exploration. Je lui demande. Encore plus comblée de savoir ainsi que rien n’aurait pu le perturber, qu’il a pu savourer ce moment.

 

Il souhaite ensuite que je le prenne en main...

Ouverture délicate de sa braguette, troublée par sa demande et mon envie. Sa queue est gorgée de désir. Je la prends en bouche, m’en délecte. Mais assez vite il force la pénétration jusqu’à la gorge. Plaquée contre le mur je ne peux que subir mais apprécie cette contrainte. Je lui rends des gorges profondes et le laisse faire. Me baiser la bouche, les joues et s’enfoncer à ne plus sortir de ma gorge. Mes yeux coulent dans l’apnée. Ce n’est pas moi qui vais craquer mais mes poumons qui l’expulsent tout à coup (n’ai rien senti venir).

Il m’embrasse, me calme, demande à ce que je l’embrasse.

 

Toujours accroupie, je mouille encore. Il descend face à moi.

Ma main glisse jusqu’à ma chatte. Je veux savoir dans quel état elle est mais mes doigts reste sur mon clito. Je me caresse. Toujours ce plaisir à en jouer face à lui.

Ses doigts viennent me rejoindre. Mes fluides ont tôt fait de le transcender. Ses doigts pénètrent en moi. Il me remplit, me caresse, m’immobilise. Ses genoux m’écartent encore plus les cuisses.

Je dois me faire jouir. Compliqué sans bouger le bassin, observée droit dans les yeux. Mais mon plaisir se lit en lui, passe en lui. Circuit fermé de sensations.

Mon but, me noyer dans ces yeux en jouissant à l’orgasme. Il maintient la pression, joue de moi, je suis au bord mais toujours sans bouger, je reste dans cet état. Une volonté forte de jouir par lui, par ses yeux. Il les ferme… Non pas ça !!. Il les ré-ouvre, j’entre en lui et bascule enfin. Cet orgasme est particulièrement puissant, encore plus prenant (dans tous les sens du terme). Mes jambes en flanchent, je perds pieds, mon souffle a du mal à s’en remettre. Il est parti avec moi, dans ma jouissance, j’en suis aux anges.

Quasi calmés, il me relève.

Il vient se plaquer contre moi.

Sa queue entre mes jambes

Entre mes fesses

Et puis, il se recule. Remonte son pantalon, me demande de faire de même. Nous devons y aller.

Pffouu ! Quelle frustration !! ne pas pouvoir lui donner plus. Mais soit. Je sais aussi que j'ai pu lui offrir un sublime moment. Une étreinte le temps de faire descendre la pression, d’intégrer son choix, de le sentir, de m’imprégner de ses effluves avant de rentrer.

 

Sur le chemin du retour…

«J’ai envie de te prendre contre l’arbre ! », voilà comment on excite une jeune femme à la rendre folle, heureuse. Du moins, moi !

Il m’attire vers l’arbre. Le jean tombe vite et sa queue passe entre mes cuisses. Les jambes toujours liées par le pantalon, la position n’est pas très propice à son entrée. Alors j’ôte mon pied du lien. Il se saisit de ma jambe et me prend sauvagement. La fougue se lit sur son visage. Sa queue est percutante, dans un angle inédit. Bloquée contre l’arbre, je prends appuis et renforce l’emprise. Sublime moment de nature. Nous en jouissons. J’aime qu’il s’abandonne au plaisir, à la jouissance, à notre jouissance, à son plaisir. J’aime voir cela sur son visage.

 

Par Chienne Saly - Publié dans : Etapes
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Commentaires

De la frustration possible d'un complice qui ne vient pas nous avons su sombrer, liés d'un esprit sombre... Les postures, sévices divers, ont contribué à faire sortir nos démons, qui une fois de plus s'en sont donnés à coeur joie : plaisir et douleur mêlés. Tu t'es montrée docile et rebelle!

Quel plaisir aussi de créer une frustration, puis de succomber aux envies... Sublime de dire "j'ai envie, je prends".

commentaire n° :1 posté par : Maître MaX le: 08/02/2011 à 12h04

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