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Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Maître MaX vient cet après-midi.
Je sais que nos envies sont blanches et noires. Attente étrangement longue pour tout les deux.
Ses envies, il les a traduites dans un programme
Je serais attachée sur la table en bois du salon et promise au supplice de la cire. Jeu délicieux qu’il nous tarde d’expérimenter …
Mais nous avons évoqué tant d’envies que je ne doute pas que d’autres idées se mêleront à son scénario. J’aime ne pas tout savoir… le suivre les yeux bandés, avec cette pointe d’excitation face à l’inconnu, face à son démon…
Son désir est que je l’attende complètement nue. Je me prépare curieuse et désireuse des sensations à venir.
Je suis nue derrière la porte d’entrée (pas chienne mais ange blanc).
Dès son entrée, l’étreinte et le désir sont forts. Il me guide vers la chambre où il se met nu. Nous savourons nos peaux, corps à corps.
Caresses, enivrement de nos sens.
Je voudrais que nos échanges sensuels durent encore et encore mais j’ai terriblement envie qu’il me prenne.
Je me bats avec mon esprit pour prolonger ce moment de sublimes sensations tant attendues. Mon Maître a la même envie de me pénétrer et me demande de prononcer les mots de mon désir. Je veux encore patienter. Je gémis de manque, de privation face à cette furieuse envie. Je finis par céder et lui demande.
Et comme quand on désire quelque chose intensément, après un long temps d’attente, la pénétration est sublime.
Je le sens s’immiscer en moi, glisser sur mes parois. Sa douceur caresse tous les endroits l’un après l’autre, je ne sais même plus si je dois bouger, il gère, joue, je savoure les plaisirs qu’il m’offre… Puis, les mouvements s’intensifient. Tout au fond de mon antre, les ressenties de percussion et la diffusion de douces jouissances me partage. Je vais et je viens sous sa gouverne. Il me transporte. Je gémis, profite et jouis….
Jeu de corde :
Nous testons les liens de corde sur mes poignets mais mon maître, une autre idée en tête, se dirige vers mon coffre et en sort rabbit pour l’attacher sur mon clitoris. Fixé ainsi à mes cuisses, l’objet transmet ses vibrations et stimule, en premier lieu, l’ensemble de ma chatte qui coule sans vergogne. Serrant les jambes, les desserrant, l’action de l’objet ne me saisit pas comme les autres fois mais simule une masturbation incessante qui pourrait devenir ingérable.
Durant les vibrations, mon Maître place mes liens de cuir à mes poignets et chevilles. Il attache mes mains aux jambes. Ma liberté de mouvement est restreinte et rabbit ne cesse de me faire vibrer…
L’envie de cibler le plaisir monte, je voudrais y parvenir. Je voudrais que mon maitre voit l’emportement que m’a procuré rabbit à plusieurs reprises. Mais c’est difficile, les vibrations pas toujours au bon endroit, pas toujours aussi appuyées, me font naviguer de sensation en apaisement. Alors, avec l’accord de mon Maître qui me libère une main, je cible les vibrations mais c’est toujours aussi long. En effet, j’ai envie de me tortiller pour trouver le plaisir, je pars mais chaque fois, ma main attachée empêche mon corps de se soumettre au plaisir montant. Je supplie mon Maître de me détacher l’autre main car je veux lui offrir cette jouissance. Libérée, je peux ériger mon clito sous les vibrations et il ne faudra pas longtemps pour que l’objet m’emporte à tout lâcher.
Cela aurait pu être plus intense comme les fois précédentes et j’aurais aimé qu’il voit cela. D’un autre côté, je sais que cela peut être vraiment insoutenable et que le sang aurait afflué dans ma tête à m’en rendre pivoine. J’en étais consciente pendant ces instants…
Merci Maitre de m’avoir laissé la liberté de jouir pour toi.
Puis, il prend rabbit et me pénètre avec. Envie de saturer les désirs de cette chatte coulante, assurément.
Et puis, à son tour, il me prend.
Pas rassasiée, pas épuisée, cette chatte est insatiable !! J’en profite, j’en jouis, j’en savoure les plaisirs…(Serrée entre mes doigts sa queue me parait différente).
Calme…
En côte à côte, mon Maître me caresse, irrémédiablement attiré par mes fesses et l’antre qui s’y cache. Si tant est qu’elle soit caché car le désir me fait cambrer et je m’offre sans pudeur. Je mouille et il n’a pas tôt fait de me fister. Le bonheur. Je coule de plus belle. Les sensations sont pour moi quasi immédiates. Il fait chaud, très chaud, je coule encore et encore.
Ma chatte est bouillante. Trop, aux dires de mon Maître, qui me dirige vers la salle de bain. J’ai sûrement droit à la douche froide….
Je le suis ….
Il me fait agenouiller sur le carrelage froid, jambes écartées … Effectivement le sol glacé, ça calme ! Il incline mon buste, tête à terre et me caresse lentement comme sa chienne soumise. Je suis bien à en lécher ses pieds. Je me calme peu à peu.
Refroidie, il me relève.
Nos esprits angéliques sont partis, déchus.
Mon Maître prend alors ce qu’il lui faut et se dirige vers la table du salon, me faisant signe de le suivre. Moi, je sens ma condition et mets mon collier de chienne pour marquer visuellement ce que nous sentons à ce moment là. Acceptation. J’ai envie de me soumettre, de ne plus être moi…
Appliquée sur la table, jambes écartées et fesses offertes, je reste en attente.
Des caresses, des claques sur les fesses jouent de mes sens.
Le feu, la douceur alternent sans prévision. La fessée m’échauffe. Surtout au bas des fesses, la sensation se diffuse et brule. Il peut me fesser autant qu’il le souhaite, je veux que le feu m’échauffe les sens, que le sang afflue dans mon sexe, que le rouge et la mouille attisent ses désirs…
La bougie noire est allumée et se consume sous mes yeux…
Maître MaX replace sa main sur mon anus, joue à l’orée et y pénètre. Sensibilisée par la première fois, je suis peut-être moins à l’aise mais la sensation à tôt fait de me faire céder : je m’ouvre, me cambre, m’offre. Les doigts entrent les uns après les autres et les mouvements m’emportent de plaisir. Je jouis. Je me sens couler.
« Retourne-toi ! »
Assise sur la table, tout au bord, j’offre mes seins, mon ventre et ma chatte. Il écarte mes jambes et frappe encore mes cuisses, mon sexe. Endroit sensible et réceptif…
Puis il se saisit de la bougie, l’approche de moi. La lueur me fascine mais la chaleur que je sens commence à m’effrayer. Une certaine panique à la brulure, mes yeux s’embrument. Maître MaX le sent, attend, me regarde, me demande de le regarder et incline alors la bougie. Les premières gouttes de cire qui tombent sur mon sein me brulent et entrent dans ma chair dans une sensation qui se diffuse. Je me sens finalement bien. J’intègre cette nouvelle impression pas si terrible que ça même si elle est piquante. Prête à recevoir la suite, prête à subir ce qu’il désire….
Plus la cire coule, plus j’apprécie la brulure. Selon les zones, l’effet est plus ou moins intense, surprenant et cette attente de sensation est ce qui me ravie, me stimule…
Mon Maître ressent dans mes yeux, sur mon visage les sensations qu’il m’inflige. J’aime cette lecture, ce suivi, ce partage…
Il se retourne et prend deux pinces pour me les placer sur les tétons … Douleur familière mais toujours difficile à intégrer. Le jeu de cire reprend, les impacts sur le bas ventre sont plus marquants et incisifs qu’en haut. Les pinces me tiraillent dans mes mouvements. J’ai l’impression d’être piquée de partout, en alternance et inlassablement. Ma chatte n’en est pas calmée pour autant. Si ce n’est pas pire…. !! Je me sens soumise à sa volonté, tout en percevant monter en moi une furieuse envie de « rugir »…
Mon Maître me prend ainsi. Sa queue puissante me soumet directement au plaisir. La cire reprend et les pinces me rappellent à l’ordre. Je ne gère plus rien et suis emportée dans la jouissance sous le regard de mon maitre.
C’est un moment où je navigue entre l'impression de ne pas m'appartenir et l’envie de jouir furieusement.
Je n’ai pas la gestion de tout, les sensations de partout sont à l'opposé et pourtant si complémentaires... Je ne vois
que ma poitrine entachée de noir, mon ventre où seul le piercing brille au milieu de la noirceur, un repère que c'est bien mon corps... et surtout le regard de mon maitre, son plaisir, sa lecture
de mes yeux, sa profondeur qui m’obsède pendant et depuis ....Je m’agrippe à lui pour accentuer sa pénétration, pour transmettre ma furie et offre mon buste aux brulures… je ne sais pas trop dans
quel tourbillon je suis emportée, nous sommes… la furie…
Outre ses yeux, sa bouche traduit le désir, le plaisir et la hargne de ne rien lâcher...Il me possède…
J'ai adoré ces instants de transposition ou de libération de nos démons devrai-je dire.
Ces prémices de douleur qui n’ont fait que sublimer notre jouissance.
Besoin de reprendre nos esprits, de nous apaiser. Nous savourons le résultat de cette fusion. Mon Maître me fait accroupir puis agenouiller. Assis devant moi, je pose ma tête sur sa cuisse. Sa main sur ma tête, je profite de cet instant. Mes yeux clos, je pourrai m’endormir.
Je remercie mon Maître de ce sublime moment. Sa queue en bouche, de gorges profondes en coups de langues, je m’en délecte.
Après quelques instants, il se lève et me demande de le suivre. Je saisis une laisse en chaine, l’attache à mon collier et lui tend la laisse. Cette prise en main le réjouit et il me guide jusque dans la chambre.
Par cette laisse, il fait de moi ce qu’il veut et moi, j’obéis, chienne, heureuse de cette condition. Heureuse de combler ses désirs comme il comble les miens. Le bruit de la chaine embellit nos ébats…
Je suis sûre que la vision lui plait…et moi, je m’imagine…
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