Partager l'article ! Etape 60 : Aller plus loin.... Leçon: Un contact, désireux d’une rencontre particulière, différente, vraiment plus hard… et pour mon Maî ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Un contact, désireux d’une rencontre particulière, différente, vraiment plus hard… et pour mon Maître, une occasion de m’offrir, de me faire subir, de montrer ma résistance, de m’éprouver. Le RDV sera pris dans un hôtel…
Ma tenue classique : bas, jupe, bottes et pull, rien dessous, un manteau par-dessus… Un sac avec les objets désignés par mon maitre : cravaches, liens, collier, et vime (obligée de m’arrêter en route pour en couper un « brin »). Je n’ai pas oublié de dessiner mon M sur le pubis, je l’ai même stylisé.
J’arrive en retard et mon Maître me le fait remarquer, je pense qu’il ne lésinera pas sur la cravache pour compenser les 16 minutes d’attente. Mais j’assume… et cela ne me déplait pas… L’invité, que je nommerai Y, est là. Profil sympa, avec un regard désireux que je ne rate pas…
Présentation faite, j’ôte mes bottes et Maître MaX me met mon collier. Comme à chaque fois, ma condition se fixe visiblement par ce geste, par cette sensation autour de mon cou. Mes oreilles se tendent, je suis à son écoute.
Je dois me déshabiller pour me montrer. Je ne sais trop par ou commencer mais je n’hésite pas longtemps. J’ôte le haut puis la jupe…
« Mets-toi à genoux »
Je m’exécute. J’aime ces ordres directs qui ne me permettent pas de réfléchir…
« Les mains derrière la tête »
« Tu peux la toucher »
Y se lève et n’hésite pas à me palper avec des mains poignantes et fermes. J’apprécie. Les seins, les hanches puis il descend entre mes cuisses. Gênés par l’espace. Je ne sais si je mouille, mais j’ai chaud. En fait, j'ai chaud depuis que j’ai quitté la maison : la douce température extérieure se mêlant à un petit brin d’appréhension sur la présence d’un inconnu, à la présence d’une cravache et d’un vime dans mon sac… Chaud aussi d’avoir dû monter seule jusqu’à la chambre où ils m’attendaient et en retard !!! Bref, les respirations avant de frapper et les baisers de mon Maître m’ont apaisés (plus de tremblements) mais n’ont pas ôté cette terrible chaleur sur ma peau…
Remise en position avec plus de place, j’ouvre encore plus mes jambes et place mes mains sur les cuisses. En attente… Soumise… Les attouchements reprennent de plus belle. L’assurance monte des deux cotés. Je m’offre et me permets de sentir de ma joue, le désir de cet homme. J’essaie de lui faire ressentir aussi le mien, ma « dévotion ».
« Lève-toi » lance mon Maître,
« Mets-toi sur le lit »
A quatre pattes, je me présente, je me cambre.
« Cambre-toi »
J’accentue le creux de mon dos en forçant. La main de mon Maître m’appuie la tête sur les draps, pousse sur mes reins. Je reste ainsi indécemment disponible, touchée, pelotée, caressée mais avec plus de fermeté que de douceur, ce qui n’est pas pour me déplaire. Des doigts s’immiscent en moi. J’avoue que le plaisir est là, que cet inconnu est doué.
Maitre MaX a regardé le contenu de mon sac et sort les objets : pinces (emmenées au cas où), cravache et vime… En entrant, j’ai vu le bâillon sur un meuble et pas discerné le reste. J’avais presque oubli
é que je venais aussi pour tester le vime et mon endurance !
La position est idéale et les coups de cravaches commencent, entremêlées de fessées. Ca chauffe déjà. Y regarde et se lance avec mon Maître. A eux deux, ils alternent les coups qui font mal et ceux à la délicieuse douleur…
Un cours magistral pendant lequel je reçois des coups plus ou moins forts, plus ou moins bien placés, de fessées, de cravaches mais j’ai plaisir à rester sur mes genoux, à m’offrir, à encaisser, à faire sentir les oui et les non… Heureuse je crois d’être l’objet résistant du « cours » ou de l’entrainement de cet homme avec mon Maître…
La cravache est tantôt douloureuse, tantôt câline en passant sur mon clito et ma chatte. J’aime ces sensations alternées qui m’enivrent et me perdent, m’ôtent la notion de ce qui peut arriver.
Et puis vient le vime. Pris en main par mon Maître, la douleur que je découvre est particulière : rien au coup puis un réveil de brulure qui pénètre les chairs sans possibilité d’en arrêter le parcours, ni d’en atténuer l’intensité ou d’en définir cette intensité. Les douleurs foudroyantes (et ce mot est peu dire) me font relever d’instinct comme pour empêcher un nouveau coup et me laisser le temps d’intégrer celui qui vient de s’abattre dans mes chairs. Des marques nettes apparaissent après un instant… Mes fesses, mes hanches rougissent et se zèbrent. Au dire de mon Maître la couleur n’est pas traduite par les photos !!!
Et malgré cette leçon douloureuse, ma chatte coule. Les frappes près de mes parties intimes ont tôt fait de mettre le feu dans mes entrailles. Je sens le chaud, un jus chaud en moi. Je sais que je coule, que je jouis de ca. Les doigts de Y et de mon Maître constatent mon plaisir et je suppose la fierté et l’étonnement sur chacun de leur visage. Puis les deux se mettent à me fesser… Ils enchaînent sans répits. Je perds l’anticipation et ne peux que subir, encaisser, intégrer le temps, attendre que cela passe. Je prends plaisir à résister, à être dans cet état d’esprit, un défi pour satisfaire mon Maître.
Nouvelle surprise pour moi : des pinces japonaises ! Je ne m’y attendais pas. Moi qui voulais en acheter pour m’entrainer … Trop tard ! … L’appréhension de la douleur déjà mal vécue la première fois arrive instantanément et pourtant les regards de mon Maître, encourageants et rassurants, me font céder et la pince se saisit de mon téton. La douleur est supportable, se diffuse et même si elle est forte et piquante, je l’intègre tant bien que mal. Je me demande meme pourquoi j'ai eu ce recul.
Le fist de Y reprend et comme lui dit mon Maître, je suis entrain de me concentrer à la dissipation de la douleur de mes sein.s En quelques instants, je peux jouir des doigts. Je vacille entre les deux et suis bien. Quelques coups plus forts, bougent de trop les pinces et me rappellent à l’ordre. Je ne sais s’ils s’en rendent comptent mais, là, je suis bien dans ce va et vient de sensations.
Mon Maître tire sur le cordon des pinces mais peu m'importe, je suis au dessus, ne sens quasiment plus rien ou plutôt, je dirai que cette douleur m’est devenu familière et ne dérange pas, je l’apprécie… Il ôte ensuite les pinces de mes seins et les place sur les lèvres de ma chatte. La sensation n’est pas très forte. J’éprouve juste un plaisir à être offerte ainsi. Imaginant que ces pinces peuvent servir à ouvrir les lèvres et mettent mon antre à leur merci. Sensation d’être maintenue, attachée par mes parties intimes. Assurée et consciente d’offrir l’image de la soumise à ces deux hommes…
Ma langue aussi aura droit à ces pinces diaboliques. Toujours l’appréhension mais un accompagnement certain qui me fait me livrer, m’offrir. Je sais qu’il lira si ca va pas et qu’il reste prêt à ôter l’objet du supplice. J’ai plus confiance en lui qu’en moi.
Jeu de visions, d’images tans de fois vécus dans nos têtes. Fière de les vivre, fière de lui offrir, fière qu’il soit fier de moi.
Dans cet état d’excitation, de jeu, la pénétration des doigts de Y et de mon Maître m’emportent trop facilement dans le plaisir mais je savoure. Mon Maître lui propose alors de se faire sucer. Que je le remercie comme il se doit.
Belle queue assurément, à rendre désireuse de mes antres ! Je la prends en bouche, je la lèche pour le titiller, le sensibiliser. Sa queue monte petit à petit et savoureusement je ne le lâche plus. Je teste, m’applique. Et il me fait l’honneur d’une belle queue raide que je ne tarde pas à absorber en gorge profonde… à m’en étouffer.
Dans ma chatte, les doigts de mon Maître ciblent vicieusement ma jouissance… Partagée entre me laisser aller au plaisir de ma chatte et au plaisir d’honorer, je ne peux choisir et balance entre les deux. Possédée des deux cotés, j’adore…
La fellation dure longtemps, les positions se succèdent. Y prend ma bouche et je lui offre de plusieurs manières. Il me présente ses couilles, me demande de ne pas mettre les mains, de garder la bouche ouverte et il me baise ainsi… Je le sens proche de venir mais sans jamais céder. Il maîtrise. Cela m’excite et me perturbe aussi. Je me dis qu’il veut faire durer le plaisir… Je n’abandonne pas !!! Mon Maître saura que pour moi, c’est frustrant, Ca m’énerve… J’en suis sure.
Puis, Maitre MaX prend son « rôle de Faust ! ». Ses doigts entrent dans mon anus. Il joue et ses va-et-vient deviennent vite jouissifs. Oui, j’en jouis, je me sens partir, emportée… à couler, à exploser (contractions vaginales et anales peu contrôlables...)
Il offre ensuite à Y de me baiser. Il ne manque pas de se faire sucer en parallèle. Y me prend profondément. C’est plaisant et efficace mais le rythme me manque, je joue, j’accentue les mouvements comme je peux. Les sensations varient, je les savoure. La queue de mon Maître en bouche.
Mon Maître me prend à son tour et il le fait sans vergogne. Les mouvements sont plus que percutants. Pas de place à mes initiatives, la prise de possession est directe. Il joue de cette jouissance douloureuse…. Je savoure.
Et puis, encore des surprises pour moi…
Un bâillon boule que mon Maître me place sur la bouche. C’est vrai que ce n’est pas très confortable de se retrouver la bouche ouverte, sans parler, et en salivant de trop. Des nouveaux liens pour maintenir mes poignées aux cuisses. Je suis étonnée et ressent sa détermination, l’avancée certaine (sur notre chemin je vois les pas). J’entre dans mes pensées les plus folles, les visions sur le net où ayant vu les autres, c’est enfin moi que l’on maintient ainsi. Pas de crainte. Je me laisse faire… Y observe toujours la scène. Mes fesses sont offertes, ma tête dans les draps.
Mon Maître me reprend, mais très vite, il me sodomise. Entrée sans préparation, bien que surement ouverte par l’excitation. Là, je subis, je ne peux bouger sans mes bras, mes mains, je n’ai pas de choix. Je suis son objet de plaisir et en suis fière. Je lutte par mes épaules pour me maintenir, j’encaisse des coups profonds, je savoure ces caresses extrêmes. Je vois l’image que je lui offre…encore plus contrainte…encore plus à sa merci… Encore plus résignée face à son démon….
Certaines percussions me font croquer la boule qui se fend ! Je savais pourtant que c’était fragile !! Mais comment se contenir dans ce tourbillon de sensations… Il vient sur mes reins et me donne sa semence à lécher sur ses doigts. Ravie et épuisée.
Y s’en va et nous resterons à savourer encore nos plaisirs, nos pas…
Cette séance fut marquante par l’intégration de nouvelles douleurs, et surtout par la durée et le nombre de coups que j’ai pu prendre. Je suis fière d’être aller plus loin, d’avoir eu cette force, tout en étant fière de mon Maître qui m’a accompagné dans cette épreuve… Qui a eu cette force… Heureuse de voir comment la chaleur de la douleur a rendu ce moment si plaisant… Ravie du défi de résistance…
Merci Maître de ce moment…
Merci Y de ta participation.
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