Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 17:42

Le RDV a été pris par mon Maitre avec un homme de passage dans la région (que nous avons déjà rencontré). Maitre MaX souhaite et désire que je puisse assumer mes désirs.

Très peu de consignes me sont données : être femme, chienne, assouvir mes désirs, utiliser cet homme pour mon plaisir. Oui, je vois ce que je peux faire, comment m’y prendre mais je sais très bien que cela ne viendra pas naturellement. Le timing est juste, c’est vrai.

 

Plusieurs choses me posent soucis au retour de mes congés mais le défi est là et je n’ai pas envie que l’on croit que je me défile. Alors j’irais et ferai au mieux.

C’est une épreuve, je ne peux le prendre autrement.


L’homme que je nommerai B. a reçu ses consignes. Quand, comment, je ne sais pas.

La nuit arrive et l’homme précise par mail l’heure de notre rencontre. Je me permets de lui répondre (en l’absence de mon Maitre) et là, je me sens engagée, je me prépare, je n’ai plus trop d’appréhension. Prête à jouer assurément mais pas d'envie particulière.

 

Je me souviens du scénario évoqué : diner (que va-t-on se raconter ? parler sexe serait le mieux), puis il pourra faire ce qu’il veut de moi et dès qu’il jouit c’est moi qui prend les rênes… soupir. Je fais confiance à mon ressenti, à mes capacités d’adaptation et aux mots que je me répète : « il faudra », "ça viendra".

 

Jupe courte sur des bas, rien dessous, un pull ajouré, des talons et un imper, j’ai mis mon collier noir portant l’initiale de mon Maitre et marqué ma chatte de ce même M. J’arrive sur le parking de l’hôtel et monte sans hésitation. J’ai bien vu le regard à l’accueil mais je souris et me permets de demander où sont les ascenseurs. Je me vois dans la glace, mon collier est en place et je ne sais si c’est une femme d’affaire qui monte ou une call girl mais je me trouve bien. Une respiration devant la porte et je frappe.


B. ouvre la porte, accueillant et me félicite de la ponctualité. Ca va, je suis à l’aise, il me débarrasse et me présente les lieux.

« On fait ce que tu veux, tu décides » dit-il.

La phrase qui tue ! Je reconnais bien là mon Maitre. Comment enchainer face à cet homme, que dire, que faire, comment faire…


Il m’aide en me disant qu’il peut engager. Rassurée, mais perturbée, je le suis sans répondre pas car je suis déçue de ne pas être à la hauteur des exigences de mon Maitre. Pourquoi mon démon ne sort pas pour m’aider ? (peut-être un manque d'envie ou de désir).

 

Près de la fenêtre, il me prend de dos contre lui et m’embrasse dans le cou, commence à me dévorer. Je me cambre et m’offre d’instinct. Je sais que mes cambrures ne pourront que l’exciter et j’en joue même si ce n’est pas moi qui ai pris les rênes. Face à face, il fait chaud et l’excuse me permet de me dévêtir. Il me dévore toujours, j’évite ses baisers. Puis j’ose palper son pantalon, savoir l’effet, le stimuler directement. A mon tour.


Il est excité. J’ai envie de le prendre en bouche, de lui montrer que je peux le prendre en main. Et qui sait, si je peux, l'amènerai-je sur le lit. Alors je m’accroupis et finis de lui ôter son pantalon pour prendre sa queue entre mes lèvres. Il admire mes courbes et me le dit. J’accentue ma position. Je sais que mes fesses ressortent ainsi (n’est ce pas Maitre). Je joue de mes lèvres et de ma langue,  il apprécie.


Il veut ensuite que je m’allonge sur le lit pour me « dévorer ». Très vorace cet homme ! Et ce n’est pas pour me déplaire. Je m’allonge. J’aime ça, même s’il est plutôt fougueux. Quand il joue de mes trous et se caresse sur ma chatte, je joue de mon clito. J’augmente mon excitation, le provoquant surement. Il me demande de continuer à me masturber et il alterne les coups de langue et les doigts. Voyant que j’apprécie les stimulations clitoridiennes, il me propose de s’en occuper et prend un mini vibro avec lequel il  me caresse le clito, bien érigé maintenant. Je cherche ma position, tangue, vacille mais ne bascule pas. Par contre le plaisir est intense. Je me tortille, je profite.

 

B. a usé et abusé de caresses en se frottant sur ma chatte, entre mes cuisses. Simulant parfois des pénétrations. J’apprécie. Plus ou moins à l’aise quand son sexe entre de trop. Il gère et le jeu est délicat et stimulant. Le seul bémol est que la longueur des frottements fait descendre mon excitation. Je prends souvent mon clito en main, utilisant parfois le petit vibro. Les sensations m’envahissent de partout.

   

Il me prend. Je sens sa queue épaisse sur mes parois et là, j’ai envie de profondeur et de percussions. Je savoure dans un premier temps puis constatant que la profondeur n’y est pas, je demande plus de rythme et de force par des « encore », des « plus fort », des « oui ». Il suit mes demandes mais l'impact n'ai pas celui que je souhaitais.

Il me demande ensuite de me mettre à quatre pattes. Je ressens la chienne en moi. Elle accentue ma posture. J’ai envie de tout lui montrer pour l’exciter encore plus. Je sais que la vision est belle. Et puis, peut-être que les sensations seront plus fortes, plus profondes ainsi. Je m’offre. L’image serait à votre gout Maitre j’en suis persuadée. Tant de fois vous m'avez appuyé sur les reins qu'ils suivent maintenant votre geste.

(c’est vrai que ces positions me ramènent à vous, par l’offrande qu’elle pourrait être à vos yeux. Je ne suis pas seule dans cette chambre).


Il me prend et l’impact est plus important. Je joue toujours de mon clito pour ne rien perdre en sensation et m’en donner encore et encore. J’entends des mots crus : salope, pute, chienne… Cela ne me déroute pas excepté le « ma chienne ».  M’avez-vous prêté en tant que telle, Maitre ? Salope et chienne me flatte plutôt et pute me rappelle à ce que je suis en train de faire, de ressentir quand le temps se substitue au plaisir. Rien n’est faux. J’admets ces mots et leur synonyme n'est autre que "jouisseuse" !


Il me place ensuite sur le côté, j’ai l’impression qu’il a lu en moi. Là, en effet, l’efficacité comme je la veux est au rendez-vous, je savoure et apprécie. Oui, j’aime cette position et la vision qu’elle m’offre. Mon regard démoniaque est là. Je gémis, je jouis sans partir vraiment mais en profitant intensément.

 

Il me prendra ensuite à quatre pattes sur le bord du lit. La chatte commence à chauffer sérieusement. Le gel est le bienvenu. Il m’avance ensuite et me sodomise. J’attendais cela. Je savoure. Et même s’il se présente avec délicatesse, j’ai qu’une envie, c’est qu’il y aille à fond. Un mouvement et il y est. Les va-et-vient ont vite fait de m’emporter sur les bords de la jouissance. Mon clito s’anime sous mes doigts, un plaisir intense ! Que j'aime ça !


Il a encore envie de me « dévorer ». L’enchainement me convient. J’ai envie qu’il me fasse jouir. (J’entrevois ma chatte nue, sans votre marque, Maitre. C’est perturbant. J’aurais envie de le remarquer, j’essaie de passer outre).

 

Pendant qu’il s’affère, je prends sa queue. Le jeu est bon mais assez long et surtout, il ne me connait peut-être pas assez pour m’emporter ainsi. Je m’en rends compte. J’essaie de me positionner de trouver le point d’emportement sous ses coups de langues. Mais en vain (pour moi). Maitre, comment dire les choses ? le plaisir est là sans nul doute mais pas la jouissance que je recherche.

 

Je le suce toujours et essaie moi aussi de l’amener à la jouissance. Mais je sens bien qu’il vacille entre laisser aller et retenu. (Je me souviens de la phase où s’il jouit, je prends les choses en main. Est-ce cela qui le fait se maitriser ? ). Je mords et avales ses couilles, il apprécie beaucoup… la chienne est visible et joueuse.

 

Puis, il me fait mettre à plat ventre sur le lit, jambes serrées, il caresse encore sa queue entre mes fesses, simule des pénétrations, joue. J’avoue que la longueur de l’acte me perturbe. Je ne sais pas trop comment réagir, que dire ou comment le dire. J’aime la sensation d’être prisonnière ainsi, à subir mais il me manque l’effet. Alors au bout d’un moment, je me retourne pour changer le jeu.

 

Il revient sur mes arrières et me pénètre alors la chatte puis le cul. J’adore. Etre ainsi jambes serrées et le sentir entrer en moi. Mon esprit s’envole. Mes visions se bousculent. Je me cambre et en demande encore et encore. La jouissance ne tarde pas. Notre noir est là, Maitre, et me fait chavirer. Je ne suis toujours pas seule.

 

Epuisée mais ravie. Mes antres sont bouillantes et j’ai pourtant l’envie d’en prendre encore. Une sorte de défi me  passe par la tête : aller encore plus loin, lui montrer que j’en veux encore, une envie de l’épuiser.

 

Jambes écartées, il m’a remise face à lui et me fiste. Je montre que j’aime ça, et accompagne ses mouvements. Je veux qu’il m’emporte, j’ai le souvenir de la première séance avec lui et je sais qu’il sait faire. Là, le plaisir et la jouissance me submergent, je ne peux que gémir et crier en suivant ses stimulations. Conscience du lieu mais irrésistiblement emportée.

 

Pour finir, je le suce. Il n’a pas encore joui. J’ai envie qu’il vienne, de lui offrir cette jouissance. C’est vrai que je le mords pour le titiller, le teste et juge de ses points clés. Il savoure et je suis ses gémissements. Il vient dans ma bouche. Satisfaite, oui. Juste retour de jouissance bien qu’il m’en ai offert beaucoup.

 

Je quitte la chambre avec la pensée de mon Maitre, la vision des postures que j'aurais pu lui offrir.

J'ai dormi avec mon collier pour sentir mon Maitre me tenir, m'enserrer.... Un besoin qu'il soit là cette nuit...


Cette rencontre m’a permis de me confronter à moi, la femme qui ne libère pas encore la chienne qui est en elle. Encore du chemin à faire mais des déclics se font. Je vois où sont mes points faibles et je vous les expose à mon tour Maitre pour que vous m’aidiez. J’espère ne pas vous avoir déçu et si tel est le cas, suis prête à vous entendre et à subir ce que vous jugerez bon.

Merci de me mettre ainsi à l’épreuve.

Par Chienne Saly - Publié dans : Etapes
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Commentaires

Affronter un inconnu, te présenter et savoir obtenir de lui ton plaisir... Le défi n'était pas aisé, mais tu t'en es globalement bien sorti! Fier de ma chienne

Il y a certes de choses à revoir, mais compte-tenu des circonstances (mon absence notamment), je resterais indulgent avec toi.

commentaire n° :1 posté par : Maître MaX le: 04/05/2011 à 16h11

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