Partager l'article ! Etape 68 : feu de bambou (prémices): Des envies de retrouver notre noir, notre espace, nos moments, notre chemin… Diffici ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Des envies de retrouver notre noir, notre espace, nos moments, notre chemin…
Difficile de décrire le déroulement des faits. Quelques jours après, il me reste le sublime gout de la douleur de ce bambou impitoyable. Si cinglant, si possessif. La chair de mes cuisses s’en souvient par des bleus filant. Deux jours, sans pouvoir serrer ou croiser les jambes. Chaleur et douleur me rappelaient à mon Maitre, comme si ses mains poignantes me maintenaient encore largement ouverte. Je n’ai cessé de couler pendant deux jours sous ces effets.
Et mon esprit n’a eu de cesse que de ressentir les jouissances et cette prise en main.
Punie je devais l’être et l’ai accepté aux yeux de mon Maitre et à sa demande.
J’ai dû me positionner à quatre patte pour recevoir ce feu. Malhabile, hésitante, je me suis présentée. Désireuse mais ne voulant surtout pas faire de mauvais pas, pour ne pas décevoir mon Maitre.
Ma présentation lui a plu et a laissé libre cour à son imagination, traçant son œuvre au fil des « slash » et de mes mouvements d’intégration. Les dents serrées c’est sur.
Il a pris aussi mes seins, en les pinçant, fortement, douloureusement. Des souffles à dissiper cette affliction. Et le jeu des pinces qu’il arracha plus ou moins délicatement m’emporta dans la rage. Souffrir, se tordre, et laisser faire, c’est étrange, mais si prenant. Ce don de soi est si profond, si naturel. Mon Maitre a les rênes et rien ne parait insurmontable entre ses mains… Il a tiré, à l’arrachement, les pinces pour la première fois…c’est atroce. Mais il fut heureux de m’extirper enfin ces cris incontrôlables.
J’ai suivi avec obéissance ce qu’il me disait…ai joué un peu parfois.
Et il y a eu ses doigts ! S’immisçant dans mon antre ils ont joué à son tour de mes sensations, de vibrations particulières pour m’emporter à éjaculer ! J’ai adoré ces mouvements, ce plaisir, cette jouissance qui s’échappaient de moi mais je n’imaginais pas et n’ai pas senti venir cette éruption de liquide chaud qui m’a envahit et s'est écouler entre mes jambes. Comment ? La question me reste. Mécanique, incontrôlable et donc perturbant. Un sentiment de vol d’une partie de moi. Une partie que je ne peux contrôlée ? Tant de fois j’ai senti le même plaisir, la même jouissance et cherchais à provoquer cette explosion. Jamais ce n’est venu de mon conscient, de mon abandon… alors pourquoi là ? Comme ça !
Ce que je n’oublie pas durant cette séance, c’est mon acceptation de coups de bambou pour avoir l’honneur de jouir encore. Des arrêts incessant de ces doigts, de sa langue, juste quand j’étais au bord pour me demander de recevoir son feu, notre feu. Un vacillement entre douleur et plaisir, qui rend si intense chaque moment, qui exacerbe les saveurs, les envies, le désir….
Prise de ses doigts, prise de sa queue…
Sa pénétration lente et profonde fut délicieuse. Ses mouvements mesurés caressant mon antre, me faisaient soupirer de bonheur… Appliqué à ne pas manquer un centimètre, à satisfaire chaque zone sensible, il me faisait jouir. Et puis le démon l’a envahit. S’appelant dans nos regards, nos démons sont apparus. Je me suis cambrée pour mieux le prendre et lui a accentué ses mouvements pour me percuter de plus en plus profondément et de plus en plus fortement. Oui, les cris qui sont sortis sont ceux de l’emportement, du plaisir intense mais il y a eu aussi les cris de douleur, sous sa queue raide, si raide qui m’ont rappelé à ma soumission. Possédée, dans tous les sens du terme. Sans liberté de mouvement par sa puissance. Je suis partie et j’ai joui, à ne plus rien maitriser. Il est venu aussi et s’est répandu sur mon ventre, la rage sur le visage.
Sublime moment.
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