Partager l'article ! Etape 73 : Bandeau pour une autre: Un RDV particulier. Cette fois, une femme sera à ma place, dans un hôtel, les yeux bandés. Son mari nous a ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Un RDV particulier. Cette fois, une femme sera à ma place, dans un hôtel, les yeux bandés. Son mari nous a conviés pour lui faire découvrir, ou vivre les plaisirs de l’inconnu… Elle nous sera présentée et nous devrons la prendre, la guider en douceur.
Je suis désireuse de cette rencontre, de passer de l’autre coté et de faire découvrir à une autre ce qu’est de frémir fasse à l’inconnu, face à ses désirs, face à ses fantasmes. Je suis cependant dans la crainte de ne pas assurer, de ne pas savoir.
Maitre MaX se charge de clarifier le RDV et moi j’imagine des tas de scénarii, dans ma tête, j’envisage, je fais, j’ose, et puis je doute aussi de ce que je peux lui apporter si jamais je me retrouve à agir seule !
Je sais que mon Maitre sera là, j’ai confiance et le désir s’en trouve décuplé.
Rencontre sur le parking de l’hôtel avec monsieur (prénommé J). Je suis vêtue de noir, bas et talons sous mon manteau. Ma seule consigne pour les vêtements : « Chienne » - pas évident à interpréter mais l’important n’était pas trop dans la tenue (quoique l’effet visuel puisse jouer. J’en ai aussi envie tout en évitant le trop, mais en voulant être la chienne de mon Maitre et une femme sensuelle).
J’ai emporté mon sac noir et mon collier, le M de mon maitre marqué sur la chatte : je n’ai pu partir sans inscrire le symbole de mon appartenance comme une affirmation et comme un cadeau pour mon Maitre qui ne me l’a pas demandé.
Nous entrons dans la chambre, sans bruit. Elle est là, de dos, les mains liées, un bandeau sur les yeux. Elle porte un collier de chienne, la chienne de son mari ! Elle s’appelle N. Ils sont assurément dans un jeu de soumission D/S et d’offrande aux plaisirs.
Elle est belle, réceptive. Je sais ce qu’elle ressent, je sais qu’elle est attentive aux bruits et qu’elle préfère se concentrer sur son mari, son seul repère.
Maitre MaX lui dit « bonjour » - Je la vois frémir.
Sollicitée à mon tour, je la salue. Elle réagit à ma voix. Je souris. Ravie de la réaction.
Je sais où est ma place : Complice de mon Maitre et à son écoute, à ses côtés. Je le suis.
Il la caresse direct, je ne sais trop que faire mais je suis vite conviée à m’agenouiller devant elle.
Suis-je soumise ou complice ? Interrogative … et puis mon Maitre me passe mon collier …sa chienne, je suis sa chienne et là, fière de l’être, à son écoute…. Je sais qu’il va me guider. Je suis consciente et fière de l’image que je donne.
Il me sollicite alors pour que je l’embrasse. Je le regarde pour être sure, je pense à elle et me demande si elle est d’accord. Je me lance, délicatement. La pousser et la rassurer aussi. Je l’embrasse tendrement. Mon Maître regarde, je le sens, le vois. J’avoue ne pas voir son mari, le sens juste attentif, visualisant la scène. Est-ce la première fois ? Profite-t-il ? Cela lui plait-il ?
Je me déshabille ensuite pour J, lui dévoile ma poitrine sur la demande de mon Maitre. Je m’exécute sans hésitation, désireuse. Je me laisse guider et en suis aussi soulagée.
J’ose jouer de mes mains sur les cuisses de N pour la rassurer, mais aussi pour qu’elle sente l’emprise, la possession inconnue et qui plus est féminine. Faire ce que me demande mon Maitre, vient naturellement et je sens la fierté de cette démonstration, de ce don devant eux.
Je me sens libérée par ses ordres.
Mon Maitre teste nos chattes pour voir nos excitations : elle est mouillée et je frémis de le savoir. Moi, je suis trempée, excitée par ce qui se passe et ce qui va se passer. Mon Maitre annonce nos états. Je suis Fière.
Les baisers se poursuivent.
A présent, Maitre MaX et J sont nus.
Toujours à genoux, face à elle, je lèche et mords ses tétons, que je trouve très beaux. Je pense à mon Maitre, à son ressenti si c’était lui, à ma place. Je lui offre l’image de ma bouche, de mes dents aux touchés de ces perles. Je joue quelque peu pour ressentir le désir de N, son laisser-aller, petit à petit, son abandon, passant de l'appréhension au plaisir de savourer. Je joue de mes mains et les siennes me rejoignent sur ses cuisses. Mon Maître la caresse, la baise dans le cou...Tendre, et attentif comme il peut l'être. J se veut rassurant et accompagnateur pour elle. Me caresse aussi de temps en temps.
Mon Maitre m’ôte la jupe. Nue devant eux. Son mari peut juger de mes courbes. Me touche. Je suis offerte. Dans ma tête, je bascule et attends les "ordres", le guide. Je ressens le désir de me montrer chienne, attentive et dressée. Je garde ma place, jambes écartées, mains dans le dos. Je sais que je dois observer et ne pas bouger. J'ai un sourire. Je suis bien.
Etre agenouillée à distance et regarder : subir, devoir subir. Affronter de Le voir faire, de Le voir donner du plaisir à une autre. Je souris de désir, de « enfin »…de savoir ce que cela va me faire.
Je les observe tous les deux sur cette sublime femme (superbe corps, entretenu, soyeux). J'assiste à une scène de douceur et d'emportement vers le plaisir et j'en savoure les flaveurs et la volupté. Je pense devoir rester ainsi jusqu'à leurs jouissances et bizarrement cela ne me perturbe pas, ne me gène pas. Une seule question : jusqu'où ira mon Maitre s’il souhaite me provoquer ? Que fera-t-il ?
Je souris, je sais aussi que c’est son plaisir à elle qui importe et ne sens pas le mien comme essentiel, loin de là. Tout est dans mon esprit, dans ses sensations à elle et dans ce que m’apportera l’échange dans les yeux de mon Maitre, voire son plaisir.
Mon Maitre et J allongent N et lui détachent les mains. Mon Maitre a goutté sa peau, ses seins, sa chatte (et je sais qu'il a dû apprécier. J'imagine son ressenti) et bizarrement me mets à sa place, observe comme pour apprendre. Le fait est, que j’apprécie de voir, d’un autre point de vue, mon Maitre faire !
Ils la savourent, l’envoutent dans le plaisir, elle s’abandonne de plus en plus.
Je suis à nouveau sollicitée, pour lui lécher la chatte. Mon Maitre me la présente. Pas de recul. Je ne vais donc pas rester à regarder.
Mon but est quand même de la faire jouir, de voir ses réactions, de l'emporter. Oui, je ne pense qu'à elle et aux plaisirs des yeux que peuvent avoir son mari et mon Maitre. C'est elle qui m'importe et mon aptitude à lui donner du plaisir, à lui faire découvrir des choses peut-être.
Pas convaincue, de mon efficacité, j'ajoute les doigts dans son antre... et petit à petit, savoure autant qu'elle, le plaisir qu'elle prend.
Agir, Participer, Reprendre ma place. L’envahir, lui donner des sensations, des frissons. La posséder. N
Agir, participer, garder ma place. L’envahir, lui donner mes sensations, mes frissons. Le posséder. Mon Maitre.
Je suis conviée à venir sur elle. Dans le jeu, elle tombe le masque. Révélation pour elle de nos visages. Des sourires complices. Je connais ce sentiment.
Je l'envahie toujours, mes jambes entre les siennes tentent à vouloir lui écarter petit à petit, mais assurément, comme pour marquer l'emprise et la contrainte. Je sais que c'est ce que j'aimerai, et espère que c'est ce qu'elle souhaite.
Jeu de mains, de doigts pour la faire venir, je triche, au dire de mon Maitre. Je le convie alors à prendre la relève comme pour voir s'il fait mieux. Défi. Regards complices et si expressifs. Nous savons pourquoi…
Je sais qu'elle s’est contractée qu'elle n'était pas loin de venir. Elle a gémi et aurait pu partir en se laissant aller. Réussira-t-il à lui offrir ce plaisir ? Je le souhaite puissamment puisque j’ai échoué.
Je suis à genoux, observatrice durant ces instants. Son mari l’a rejointe, l’accompagne.
Après quelques instants, Mon Maitre me rejoint, se lèche les doigts. Je sais que c’est mon tour ! Aie ! Panique mentale. Il entre en moi. Dans ma tête, je sais, ce que cette jouissance va faire et nous ne sommes pas seuls. Retenir ou lâcher ? J’essaie de gérer mais cela ne marche pas. Il me possède rapidement et là, du liquide comme jamais envahit tout mon antre et s'écoule. Il continue, appuie et me stimule, je ne peux plus rien faire, ne peux rien arrêter. Je coule à flots. Excitée, trop excitée pour tenir, assurément. Je vois mon jet sortir dans ces mains. J’apprécie l’image et ne suis plus là, emportée dans l’orgasme ! Dès qu’il ôte ses doigts, je me sens honteuse même si ce sentiment se partage avec la « démonstration » de ce que peut prendre ou provoquer mon Maitre. Je n’ose pas affronter le regard de nos hôtes, leurs pensées. Je me réfugie dans les jambes de mon Maitre. J’intègre ce que j’ai fait ! Me dis que, soit, ils ne savent pas et je les dégoute, soit ils savent, en sont curieux et apprécient de l’avoir vu. La main de mon Maitre me rappelle, et m’aide à relever la tête. La honte s’estompe.
Puis Maitre Max me demande de venir le sucer. N s’allonge à ses cotés, j’ai la sensation de devoir lui montrer comment s’occuper de mon Maitre. Il le confirme. J est à coté de moi et me caresse parfois. Je me délecte de gorges profondes à ne plus pouvoir respirer. Mon Maitre m’accompagne et je sens son plaisir. Mes yeux coulent dans cette asphyxie. Belle récompense. Je cherche à le posséder et à révéler à nos hôtes ce qu’il aime.
Quand je lève la tête, à plusieurs reprises, je vois qu’il l'embrasse. Tendrement, délicatement.
Une de mes règles me revient en tête : « ne pas embrasser ». Mais lui, il n'a pas cette règle. Je piste pour savoir s’il me provoque. Non, il échange dans la douceur comme pour rassurer et guider N. J'observe aussi qu'elle se détend sous son feu, qu'elle apprécie, et le plaisir qu'il lui procure m'envahie aussi. Je sais comment il embrasse. Soupir ! Mais sa queue en bouche, j'accentue mes ardeurs, je boue, je monte. Je veux qu’il vacille entre les deux mondes, la douceur et le feu ! Et puis le mords, ...un peu, par jeu ! J'adore et jubile. Doute-t-il de ce qu’il fait ? J’ai envi de voir dans ses yeux que la règle n’a pas cours dans ce jeu plus libertin que D/S. Je me recule pour qu’elle puisse prendre à son tour sa queue, J vient vers moi, et m’entreprend, m’embrasse petit à petit sur la bouche. Je n’ai pas eu l’aval de mon Maitre. Il est derrière, je ne le vois plus. Je ne suis pas très à l’aise, je ne sais trop comment réagir, résister ou faillir, répondre à cette sollicitation. Je sais et sens que nous sommes dans l’échange avec ce couple et comme si nous ne faisions qu’un dans le don de plaisirs, je réponds à cette sollicitation. (Je me demande si eux, ont des règles). Je regarde parfois mon Maitre, il l’embrasse et la convie à le sucer. Là, je savoure l’application qu’elle met à masturber mon Maitre et imagine le plaisir qu’elle peut ressentir (il a une belle queue).
Je prends J en bouche … en côte à côte...Etrange sensation de libertinage.
N’a-t-on pas perdu la contrainte ? Le scénario ? Je crois que nous basculons dans le plaisir charnel. Il me plait de leur donner du plaisir, si tel est leur désir … et celui de mon Maitre. Mais, au fond j’attends le jeu.
Et puis, une reprise en main. Mon Maitre me demande de sucer son mari et demande à N de me montrer. Hum, je vibre !!
Nous partageons cette queue et je joue en parallèle avec elle.
Sublime tableau sans doute pour son mari et pour mon Maitre. Un plaisir pour moi, pour eux et pour N, qui offre cela à son homme.
Pendant que je prends totalement J en main Maitre Max se prépare et il entreprend N à quatre pattes. Je laisse faire. Elle est reprise en main, je me sens un peu dans l’échangisme. Mais très vite, la folie et l’envie de plus intense m’envahissent. Je caresse le dos de N. Je ne veux que sa soumission aux plaisirs. Je ne veux que l’accompagner, elle, mais aussi mon Maitre.
Et tout à coup, la main de mon Maitre sur moi. Le feu m’envahit. Un regard et la furie sont là. Je me lève et l’embrasse. Le dévore. Je reprends toutes ses saveurs. Je sens notre folie à fleur de peau, de bouche. Je veux qu’il l’emporte, qu’il la baise, la fasse jouir. Je veux qu’elle s’en souvienne. Je ne sais si je ne me sens pas un peu à la place de mon Maitre, surement même. Nous ne sommes à nouveau plus qu’un dans cet élan. Je me nourris de ses baisers, l’attise de mes mots, de mes morsures pour qu’il se donne, qu’il ne soit plus que Démon. Je jauge parfois le plaisir de N, l’entends gémir et cela m’excite encore plus. Je ne sais trop décrire les détails de cet échange fusionnel avec mon Maitre, avec elle. Un plaisir, une jouissance, une folie démoniaque. Un désir intense de la faire jouir, de l’emporter avec nous et d’offrir à son homme cette vision !!
Après ces instants indéfinis, J me prends également. Je n’arrive plus à voir ce qui se passe autour de moi, et perds un peu pied. En équilibre au bord du lit, j’ai du mal à me laisser aller sous les coups de J. Et puis, je suis tellement mouillée que les saveurs sont diffuses dans mon ventre. J’écarte mes fesses, souhaite être prise analement. Je sens l’envie monter. Comment le faire comprendre.
Ne sais plus trop qui je suis : la chienne de mon Maitre se laissant faire ou une femme qui veut que son hôte prenne du plaisir, après celui qu’a donné mon Maitre à sa femme, et pour le remercier aussi de ce moment.
…
Cette rencontre m’a permis de me sentir la complice de mon Maitre. D’être à l’écoute et de pouvoir faire, et faire ressentir. J’ai un Maitre en phase de mes désirs qui me guide et me pousse, il me connait si bien.
J’en retiens aussi, et encore, notre emportement et notre folie, pourtant maitrisés, que seuls nos yeux voyaient, nos échanges, notre complicité. En phase, simplement et naturellement. Un Lien indéniable et si extraordinaire. Il nous rend « invincibles ». Nous pouvons évoluer, complices. D’autres perspectives, d’autres zones de mon esprit deviennent accessibles.
Ils avaient aussi leur lien, leur complicité, leur plaisir. Et si nous avons pu leur apporter une autre dimension sensorielle et jouissive, j’en suis heureuse. C’est ce qui m’importait dans cette étape tout comme nous démontrer que quelque soit la situation, nous avons, mon maitre et moi, la capacité de nous transcender, de sentir notre dimension.
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