Partager l'article ! Etape 78 : visite au donjon: Juste deux clés, Et un passage quasi secret. Un escalier de pierre Où j’aurais pu ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
Juste deux clés,
Et un passage quasi secret.
Un escalier de pierre
Où j’aurais pu tomber sans lumière !
Une antre noire
Des voûtes
Une odeur d'humidité
Tant d'éléments nous entourent !
............
Ce n’est pas tant le lieu qui m'a possédée que les désirs de mon Maitre.
Nous avançons, visitons cette antre. De pièce en pièce, je sens Son désir monter. Envie de refreiner le mien. Peut-être pour le provoquer. Je sens que cette pénombre, que cette ambiance, que ce moment me noircit, me donne envie de jouer.
Mon Maitre me plaque contre un mur. Ses baisers fougueux, désireux, dominants ont tôt fait de m'exciter, de répondre à mon désir ! Je suis possédée à mon tour. Envoutée par les lueurs : celles des points lumineux, celles de ces yeux !
Entreprenant, directif, je succombe. Je ressens en moi, l'emprise.
Je n’ai plus qu’à obéir ! Une fatalité? Non, juste l’expression de ses yeux qui me montrent ce à quoi je m’expose.
Quelques baisers. Des jeux de corps. Ses doigts pincent mes tétons, fortement sans ménagement. Je joue déjà de mon clito dans la fougue de nos échanges. Oui, mon pantalon a été baissé dans ces élans, mon pull relevé. La fougue de son désir, l’amnésie de mon abandon, sûrement ! Il jauge l’état de ma chatte, je joue encore de mon clito.
Quand il se plaque contre moi, je sens sa queue. Il ne tarde pas à répondre à mes provocants mouvements.
« Sors ma queue ! »
Je m’exécute, prenant mon temps pour le faire languir mais là, j’entends : « plus vite » et il serre encore plus mes tétons ! La brulure m’envahit la poitrine. Alors j’accélère.
Hum, elle est si gorgée. Un plaisir.
Une queue qui se plait à retrouver ma main
Une main qui la sent dans toute sa puissance.
Je joue sous sa gouverne, dans ses limites, sous ses ordres. Je profite, sous l’emprise douloureuse de ses doigts. Partagée, vacillante. Me tordant parfois sous l’étau qui maitrise mes seins.
« Mets tes mains derrière la tête ! ». En faisant cela, je ne pourrais plus esquiver. Je sais qu’offrir ma poitrine ainsi peut m’amener très loin. La douleur est déjà vive. J’hésite encore mais il me rappelle à l’ordre. Sa voix est déterminée, prenante, résonnante dans cette ambiance sombre. Ce lieu lui va bien, nous va bien et je sens que nos êtres ou nos démons sont là.
Dans nos gestes, les jeux de lumière révèlent son visage décidé, ferme, les yeux profonds. Je m’exécute, rappelée à l’obéissance et à mon désir de le suivre. Naturellement !
Il lèche ces doigts et les introduit dans ma chatte. « Veut-il me faire couler ? » Je pense à mon pantalon, là, sur mes genoux ! Dans quel état va-t-il me mettre pour rentrer !?
Il joue, je résiste. Je ne voudrais pas couler debout. Dans ma tête, je me dis qu’il le sait, qu’il y pense mais je sais que tout est possible aussi. Je voudrais juste m’accroupir, Maitre.
Il stoppe.
Reprend.
Je profite aussi et joue. Etrangement, je me sens femmes, je me sens provocante, je me veux provocante. Et j’aime ça. Parfois un sourire jouissif et brillant sur le visage. Je me sens femme désirée, envoutante. Je jubile de ne pas partir. J’ai peut-être l’impression de gérer. Je joue aussi des lumières et j’imagine qu’il puisse voir mon visage dans cet état de provocation, de désir et de plaisir.
J’entends les « flocs », c’est mauvais signe pour moi. Je résiste tout en ayant envie de m’abandonner. Et puis, je réalise qu’il gère. Il arrête à nouveau, juste à la limite et reprend. Démon !
Je me laisse aller. Il adviendra ce qu’il voudra.
Nous changeons de pièce. Il sort les pinces en bois.
« Je voulais te les mettre » dit-il en les approchant de mes tétons. J’ai encore la douleur et le feu de son pincement dans les seins. J’appréhende un peu mais il a tous les pouvoirs.
Il les place bien au bout des tétons. La douleur est saisissante mais je me surpasse.
J’accepte, me force et me dis que je dois endurer ça, aller au-delà. Il le sait que c’est particulièrement douloureux ainsi. Il sait ce qu’il veut, ce qu’il cherche de moi. Ce qu’il veut savourer dirai-je. Il m’accompagne. C’est dur mais je tiens.
Il joue de ma chatte, de sa queue contre elle. De son torse sur ma poitrine douloureuse. Je vacille entre douleur et plaisir. Ma respiration s’applique ou s’emballe. Je grimace et fonds. Je sais plus où aller, que privilégier.
Il me demande ce que je préfère.
« Les deux ». Oui, je veux les deux.
Je suis à sa merci et même si je trouve sa queue, je ne maitrise pas. Je profite juste de ce qui m’est offert. Il me demande de me faire plaisir avec. Alors je me caresse. J’ai conscience que mon clito gorgée répond à CES caresses. Mon esprit s’envole.
Sa queue qui se frotte au rythme de nos saccades, m’excite, je me sens partir par son plaisir, ou par mes caresses, je ne sais plus. Double masturbation sensuelle et intense.
Puis chacun se prend en main juste pour s’offrir à l’autre. Un moment de don comme je les aime.
Contre lui, j’oublie mes pinces ou les défie, difficile à dire !
Je ne sens plus mes seins, seulement le plaisir entre mes jambes.
Je me nourris de son plaisir. Je ne sais plus qui possède l’autre, qui stimule l’autre. Je coule, jouis, pars parfois mais la position me rappelle à l’ordre. Il jouit. Son nectar chaud s’épand sur mes jambes. Quelle délicieuse sensation. Je me rends compte alors que mon antre est dégoulinante et bouillante. J’ai l’impression d’avoir jouis en même temps !
Je reviens chercher sa queue et me caresse. Elle est encore sensible et la réaction de mon Maitre est immédiate. Très réactif, j’adore. J’ai le droit de profiter, je poursuis. Joue, absorbe à mon tour ses sensations. Que c’est bon de repousser ses limites, à mon tour. J’aime quand il m’offre cela.
Dans ma tête, j’imagine très bien ce que moi je peux ressentir à poursuivre après l’emportement. Hum, merci Maitre.
C’est le moment d’ôter les pinces. Ses doigts en prennent une, je ne sais comment me mettre. Je les avais oublié et pourtant, là je prends conscience que ça va être particulièrement douloureux ! Je ne les sentais plus, je ne les sens plus. J’ai un moment de recul, pas prête à affronter cela et pourtant, je ne peux les garder ! Maitre MaX se rapproche de moi, me prend dans ses bras et m’accompagne ainsi de ses gestes, de son souffle, de ses mots. Je le laisse faire. Une pince ! La douleur me transperce et monte dans ma tête, je serre les dents. La deuxième s’est prise dans mon pull retombé et la douleur vive me saisit, me fait crier et reculer ! Je réalise et la sens à nouveau. Comme quoi, le plaisir annihile bien la douleur ! Grosse appréhension mais mon Maitre ne flanche pas lui et poursuit, ôte la pince. Terrible ! Mais quel soulagement aussi !
J’ai puisé tout mon plaisir de nos saveurs, je ne souhaite pas jouir de sa langue comme il me le propose. Alors pourquoi, je ne sais pas, il me demande de tirer la langue et la pince avec deux pinces à linge. Cela peut paraitre banal, ludique mais les sensations qui en découlent sont toutes autres ! Le sang coincé la rend sensible. Je salive de trop. Retour à ma condition de soumise. Sa langue vient alors effleurer la mienne. La perception est délicieuse, décuplée, différente, c’est étrange. Il joue un moment avant de me libérer. J’avale le trop de salive et sourit.
Un lieu envoutant, révélateur…prometteur.
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