Partager l'article ! Etape 81 : Punition pour cette chatte insatiable !: RDV dans un hôtel. J'arrive, habillée femme : jupe, chemisier blanc ceinturé, talon. Je me ...
Le blog de Chienne Saly
Bienvenue sur mon blog
Je suis une femme remise entre les mains de Maître MaX par mon Cocu L. pour qu’il fasse de moi une bonne
Chienne.
Mi-ange, mi-démon, mon Maître arrivera-t-il à faire sortir cette part sombre et perverse de moi ?!!
Je m’en remets totalement à Lui, pour assumer ou assouvir les plaisirs de mon esprit, de mes fantasmes, pour me réaliser, ETRE. Je lui offre mon corps et mon esprit pour satisfaire à ses plaisirs.
Ce chemin est le Notre.
Les échanges sur ce blog, notre témoignage.
Je vous souhaite tout autant de plaisir à suivre nos écrits...
Aux plaisirs d'y voir vos mots...
Saly
RDV dans un hôtel. J'arrive, habillée femme : jupe, chemisier blanc ceinturé, talon. Je me sens bien, à l'inverse de mon ventre. Je sais que ne vais pas rester comme cela mais j'apprécie d'être bien pour nos rdv.
Lui a mis un haut noir !
Dès notre entrée dans la chambre, mon Maitre ne résiste pas longtemps avant de me prendre dans ces bras, de m'enlacer.
Sentir, me sentir, me ressentir ! Je savoure sa possession, je profite, j'adore.
Etonnée qu'il le fasse avant mais cela me ravive, j'apprécie et oublie presque ce pourquoi je suis là !
J’avoue aussi que c’est plaisant de sentir le désir… D'ailleurs, je ne sais toujours pas pourquoi je suis là, ni ce qui m'attends.
Il faut se préparer : je me dévêts à la demande de mon Maitre.
Pas le temps de mettre de bas, juste le serre taille en satin noir. Mon Maitre attache des liens de corde à mes chevilles. Je suis prête à …
On frappe.
C'est Yo.
Je souris, ravie de sa présence.
Je n’ai pas eu le temps de mettre le bandeau, comme me l’avait proposé mon Maitre. J'ai vu.
Maitre MaX poursuit ses attaches.
On frappe à nouveau.
Co ! je pense de suite que les choses vont être corsées - des images me reviennent mais comment vont s'associer Yo, Co et mon Maitre ?
Je tremble un peu mais, être allongée sur le lit, m’aide à me détendre, tout comme l’ambiance qui règne (des sourires).
Mon maitre sourit et poursuit. Toutes ses idées, ses images doivent fuser à me voir interrogative. Il le lit, le sais que je me sens fébrile et à la fois curieuse et désireuse !
On frappe encore : là, sur le lit, en train d'être attachée, cachée par Corsaire... j'entrevois un couple - je pense de suite à ceux dont j'ai vu des messages il y a peu de temps. Légère panique ! Ils sont là, mais pourquoi… je respire profondément pour faire patienter mes mauvaises visions. Dans quel but sont-ils là ? et surtout, elle. Quel rôle aura-t-elle ? En quelques secondes, mon esprit me fait revoir mes appréhensions... et puis non, c'est J&N.
Mais pourquoi ? je reste interrogative. J’avoue que je suis un peu perdue : que va-t-il se passer ?
Mon maitre m'explique alors que N vient assister à ce qu'elle pourra subir une autre fois.
Il lui amène une chaise, elle va se préparer et reviens s’y assoir.
Nos hôtes sont déjà nus.
Mon Maitre me demande de me mettre à genoux pour m’occuper d’eux. Pas évident de m’occuper d’eux, là, devant tous et dans mon malaise, du à l’appréhension d’être maladroite.
Yo et Co sont autour de moi. Ils m’ont aidé et je peux les prendre en main.
Yo a la main dans ma chatte et c’est un délice, je me cambre, m'offre, j’apprécie.
M’occuper de Co : Trop de regards sur moi. Je retarde, j’hésite. Mais sous la ferme demande de mon Maitre, je m'exécute.
A 4 pattes sur le lit sur ordre de Maitre Max, je dois m'occuper des hommes à tour de rôle.
Les mains, dans mes antres, se glissent partout.
Possédée où plutôt abusée, je reste passive.
Je n'arrive pas à prendre le pas comme mon Maitre me le demande en me disant de m'occuper d'eux. J’ai même l’impression de n’être plus qu’un objet et je ne cerne pas si je le suis ou si c’est juste un sentiment. Je pense à N et à l’image que je lui donne : celle d’une femme rabaissée.
Heureusement, mon Maitre reprend la situation en main en quelques mots. Il reprend ainsi mon esprit et ravive mes instincts :
Il parle de ma chatte, de mon incorrigible et désireuse chatte, qui veut toujours plus.
Elle va être servie !
L’objectif est fixé pour tous : ils doivent abuser d’elle et de mes antres.
Là, la situation bascule, mon esprit vire : ils sont là pour "mon plaisir", pour que je profite, pour me pousser ou pour me montrer mes limites, voire, s'ils peuvent, m'épuiser.
Arriverons-nous à punir cette chatte ?
Arriveront-ils à posséder et pousser mon cul ?
« Tu vas être baisée ! », sous entendu sans interruption, sans possibilité de me dérober.
Mon Maitre attache alors les cordes de mes chevilles et d’une main au lit supérieur.
Une personne de plus est entrée, je ne vois pas. Et puis j'entends sa voix, c'est P.
Je suis heureuse du défi, de cette punition. Je suis ravie que mon Maitre ait choisi ce défi. Je vais être abusée à l’épuisement. Je vais devoir résister mais je sais déjà au fond de moi que le plaisir sera aussi au RDV. Je me connais. Je dois sourire sans provocation. Bien, prête.
Détailler les choses et les ressentis, pourquoi faire. Dire que je me fais "baiser", prendre sans interruption, comme une chienne, oui, je peux. C’est le cas.
Mais moi, ce que j'en retire, c'est le plaisir, c'est l'échange avec mon Maitre, mon Démon, mon démon (le mien).
Je suis passée de subir, à la recherche du plaisir, puis à chercher mon plaisir, à le trouver !
De abusée à profiter !
Les cordes sont devenues mes alliés. Elles me permettent de me hisser, d’incliner mon bassin, pour bouger et user des saveurs du plaisir. Certes les coups profonds de ces longues queues me font mal mais dans un plaisir indicible. Mon plaisir. Je profite. Abuserai-je ?
Des mains, des queues me passent partout. Longtemps, les percussions, les possessions durent, se succèdent.
Ma chatte endure, coule et se lubrifie tellement que j’ai conscience qu’elle sera inépuisable.
La prise de face : Provoquée ! Assurément ! Mais je ne le prends pas comme ça ! Certes, je n’aime pas trop me retrouver dans les yeux de mes entreprenants. Je sais que face à certains, j’ai le regard provoquant, demandeur, et là, j’ai la réponse immédiate de mes assaillants. Pour d’autres, sans sensation, je fuis, laisse passer l'acte.
Aucun n’est là pour passer outre mes regards défiants, un défi pour chacun.
...
Le feu des pinces sur mes tétons vont me rappeler à l’ordre. Je profite, et jouis trop au dire de mon Maitre. Il veut me faire vaciller. Toujours la même pique saisissante qui envahit ma poitrine. A moi de gérer. J’inspire. Je bascule en haut, intègre et revient sur le plaisir de mon antre. Je les garde. Certains s’appuient sur les pinces et la douleur me fait grimacer. Je perds le fil. Mon Maitre en rajoute. Je ne sens plus, j’assimile plus facilement. D’autres hommes joueront comme Lui mais Il reste attentif, dirige. Moi j’accepte, je joue d’endurance face aux petites maladresses. Mais le jeu me plait, je résiste et utilise ses piques pour abandonner mon corps et me concentrer sur le plaisir ou les traces de ces douleurs.
Baiser un homme : P., devant tous !
J’aime à recevoir sa queue tout au fond de moi. Je m’empale et joue. J’avoue que je ne vois pas vraiment les autres tout autour de nous.
Le lit supérieur me sert d’appui et de force. J’en profite comme il se doit sous les yeux de mon Maitre qui s’est mis en face de moi, le regard à savourer, admirer sa chienne. Que je suis bien : dans mon plaisir et dans mon esprit, juste pour Lui, juste parce que je sais qu’il boit ma jouissance. Qu'il profite. Que Nous sommes ensemble.
Faire !
Etre !
Posséder, jouer à mon tour !
Tout est fou et s’enchaine... Jouisseuse, à fond, à l'épuisement...
Placée à quatre pattes, je subis à nouveau les assauts de ces hommes. Encore, je brule, et j’ai mal au ventre. Est-ce que je résiste pour mon plaisir ou par défi ? Je serre les draps de toutes mes forces.
Je gémis ou crie. Au bout d’un moment, Mon Maitre me place le bâillon boule. J’ai un moment de recul, je redeviens « dominée » et sais aussi qu’alors il n’y aura pas d’arrêt, que je vais être poussée au bout et que seul mon Maitre dira stop…. Mes antres vont subir. c'est le moment d'aller plus loin et malgré tout je me sens encore insasiable.
Des doubles savoureuses où mon Maitre, en moi, ressent tout. Ca me rend heureuse. A deux. L’un avec l’autre, l’un dans l’autre, plus qu’Un ! Un échange profond intense. Ce Nous magique. Un bonheur, une complicité dans le plaisir, dans le partage de sensations….quel beau moment ! j’ai coulé, giclé intérieurement sur la queue de mon Maitre. Oui, le cul me fait jouir et il l’a senti. Je me suis répandue sur lui, brulante, bouillante.
Après cela, il demande à N, qu’elle lèche une femme qui vient de jouir. Tous d’abord gênée, je trouve, au final, cela bien… A elle, de faire… j’aime à recevoir de sa part sous les yeux de tous ces hommes et de son homme !
Mon Maitre la guide, il veut, ils veulent surement me voir jouir mais l’abus de ma chatte l’a quelque peu endolorie. Elle s’applique, je profite, mais ne pars pas.
Prise à la gorge par la main de mon Maitre je commence à partir, je me concentre (ou m'abandonne ?) pour sentir le moment où je vais basculer. Terrible envie que cela ne s’arrête pas avant que j’en jouisse. Je suis dans un état second surement. Sensation du bien être de l'apnée...
Mon Maitre me lèche à son tour et j'ai deux hommes dans les mains. Il sait, il connait, j'en souris. Puis-je m'abandonner ? Est-ce que je me laisse faire ? Hum, il m'amène au bord. Je me re-concentre sur les queues qui m'entourent. Me possèdera-t-il sans mon esprit ? Je n'aurais pas la réponse...
Devant tout ce monde, mon Maitre me posséde autrement : Une jouissance par ses doigts dans mon antre. Tellement gonflée et excitée que je ne résiste pas longtemps : des jets de plaisir, aux yeux de tous, s’épandent sur les draps. Le plaisir l'a emporté. Le plaisir de m'abandonner, d'offrir cela à mon Maitre. Le plaisir d’honorer son emprise.
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Après cette étape, je ne pense qu'aux discutions de nos regards, aux lectures réciproques de nos esprits, de nos pensées, ces traductions de faits qui pourraient paraitre vulgaires à certains et qui pourtant, pour nous, nous emportent ailleurs, dans cette complicité indescriptible. Mon Maitre a été là, présent, prévenant, provoquant, stimulant, poussant, attentif... J'apprécie et reconnais que c'est parce que c'est Lui, parce que c'est Moi, parce qu'il me connait, et se connait, parce qu'il connait les autres...
Merci, Maître, de créer ces dimensions où nos esprits noirs s'épanouissent.
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