Visite de mon Maître
Une longue attente, trop longue attente entre nos RDV...
Serons nous blancs ou noirs ?
Envie de marques et de saveurs.
Il se glisse à mes côtés, mon corps vibre déjà, se tord et savoure, réclame et s'enivre seul des odeurs, de sa
peau.
Maître MaX est là, souriant et profond. Sa main me frôle, me caresse et mes cuisses s'écartent. Il en accentue
l'ouverture et glisse sa main sur ma chatte.
Les poils poussent (à sa demande) et je lui présente sans vraiment de gène attendant peut etre une reflexion ou un
désir.
Son regard l'observe, il ne fait aucun commentaire.
Je joue de mon clito sous ses baisers... Il se saisit de la cravache.
Brûlants coups, cinglants, qui après quelques instants de feu laissent place au désir, à l'envie, au défi, je me cambre,
offre mes arrières.
Là, le feu m'envahit, je boue. Prête à jouir de mon doigt, je suis au bord mais la sensation de la cravache est plus
excitante, plus jouissive. Ma respiration joue du feu qui s'abat et je lache mon clito. Mon esprit a choisi. La jouissance brulante est plus forte. Je la préfère. Je la savoure à couler.
Inspiré, surement, il attrape les cordes de chanvre et lie mes poignets, serrés : des menottes de cordes.
Mon Maitre attrape d'autres cordes et enserre ma poitrine. Serrée, soulignée. Puis ma taille, ma chatte. J'adore. La vision
du haut que j'en ai me transporte et me réjouis. Magnifique.
La main dans son sac : il en sort les pinces
Les mains liés et le corps pris, j'inspire pour appréhender ces pinces.
Ça tiraille immédiatement. Les tétons sont si douloureux ! Je souffle, j'intègre.
La main dans le sac : "encore" me dis-je dans ma tête;
Le crochet anal. Il l'insère par devant, dans mon cul. Pas de sensation particulière si ce n'est le froid du métal. Il
l'accroche avec une corde à ma taille. Tension délicate qui joue de mes mouvements.
Il s'allonge sur moi pour chauffer ce métal et me le dit, mais par là même, il tend mon corps qui tire sur la corde et mon
anus. Hum, me voilà prisonnière et à sa merci. Je sens bien que mes mouvements sont restreints.
Une sensation de contrainte plus grande : mes choix ou mes réactions ont de moins en moins lieu d'être ou ne pourront
être.
Il se relève et admire son oeuvre, son objet, sa chienne. Mon clito demandeur sur le métal doit être à l'affut. Mon Maitre
s'en saisit, le lèche, le titille. Entre la chaleur de sa langue et le metal, je vascille. Tout cela me rend dingue, m'excite au plus au point. Je ne peux me détendre pour profiter de sa langue,
le crochet m'en empêche (subtil rappel). Il joue longtemps, saisissant en même temps les anneaux des pinces de mes seins. Satanées pinces japonaises qui se reserrent ! Il tire. Je sais qu'il va
loin mais la douleur et le plaisir sont si mêlés que je ne me rends pas compte. Toujours limitée, je ne peux me dérober ou profiter plus de l'un que de l'autre. C'est d'un perturbant
extrème. Je me demande si je vais partir ou pas. Dans tous les cas, je ne craquerai pas. Le mélange est trop bon. Son jeu d'arret et de reprise entre mes seins, le clito, le crochet me rend
folle. Et je jouis. Un orgasme libérateur et transcendant de tout ce que je subis. Je ne sais pas dans quelle position je suis, si la corde trop courte fait entrer la boule du crochet au plus
profond, si les pinces sont tendues, les sensations m'envahissent de partout et j'ai l'impression de jouir de tout mon corps.
Mon maitre vient à mes cotés, me respire, joue, absorbe les émanations de ma jouissance. J'appréhende qu'il ote
les pinces. Dans l'étreinte et mes respirations, il les enlève : Atroce douleur se mélant à ses bras rassurant.
Les mains liées, il me relève. Il veut simplement que je me regarde dans le miroir.
Je m'exécute avec l'aide de sa poigne qui tire sur les cordes.
Face au miroir, j'admire le tracet des cordes sur mon corps. Un corps magnifiquement souligné. Merci Maitre de ce cadeau, de
cette présentation : Votre soumise liée dans les bras de son Maitre.
"A genoux" : dit-il
Je me tourne et m'agenouille.
Je lèche à peine sa queue et déjà, il m'oblige à me pencher, visage au sol. Je suis à ses pieds et irresistiblement, je me
mets à les lécher, les sucer, les savourer. Une reconnaissance de mon Maitre. Une offrande de posture aussi. Et j'aime être ainsi offerte les fesses en l'air.
Il s'allonge ensuite pour que je lui offre du plaisir. Quand il me le demande, ses mots résonnent dans ma tête et déjà, je
vibre du plaisir de le savourer tout en doutant d'y arriver ou de le satisfaire. Etrange sensation et panique lorsqu'il me demande quelquechose. Je m'applique. Joue de lui, le sens, le ressens.
Mais je ne sais s'il se retient ou maitrise. Il me tue à résister ainsi !
Il me reprend en main, ote le crochet anal et se prépare à profiter de moi. Ses doigts prennent ma chatte trempe et pourtant
occupée (dame nature). Je n'ai pas réalisé de suite, mais la sensation entre ses doigts et sa queue me transporte, m'innonde de plaisir. Après m'avoir attachée les genoux aux poignets, il me
prend profondement, lentement et fortement. J'adore et savoure ces sensations. Ma chatte coule. Trop savoureux !
Puis, mise à quatre pattes, il reprend ses percutions. Là, la sensation est encore plus jouissive. Je coule à m'emplir.
Encore et je me sens partir.
Mais, il stoppe.
Attente...je ne bouge pas.
Ses doigts entrent dans mon antre dilatée. Je ne sais combien mais peu importe, je sens son poing percutant et surtout une
possession de mon trou si complète et si bien positionnée que je sais que le plaisir est là, viendra, de ses mouvements. Attentive, savourant, je suis offerte au plaisir.
Là, ses mouvements et la position de ses doigts stimulent des parties rarement sollicitées de la sorte. Une chaleur
m'envahit, la tension dans mes entrailles monte : autant dans mon cul que dans ma chatte. C'est trop bon, excellement bon. Je sens que je vais partir. J'insiste, l'encourage à rester, à forcer, à
continuer et je pars ! un fluide envahit ma chatte. J'ai l'impression de me retenir. Si je lache ou me détends je suis sure d'éjaculer ! le fluide reste interne, la pression monte, l'orgasme
aussi ! trop ! je me sors, me recroqueville pour dissiper cette furie de jouissance.
Mon souffle a du mal à se calmer. C'est fou ! encore un point de jouissance extrême.
Je suis gatée, extrèmement gâtée !
Ultime récompense : il jouit sur mes reins et entre mes fesses. Libération d'un nectar si chaud, que d'un doigt, il porte à
ma bouche. Hum, un délice !
Des instants magiques mais surtout des instants où, sans mes mots, il sait entrer dans mes désirs.
Des gestes et des ordres qui me mènent naturellement aux plaisirs quels qu’ils soient.
Qui poussent au don, à l'abandon : une force mentale, un état d'esprit.
Nos forces, nos esprits !
Démoniaques, surement.
Liés, assurément.
Très bel article qui reflète des vécus qui me rappellent qui me rappellent.... bref j'adore!
Bonsoir,
Merci monsieur.