Mon maître m’enlève.
Je ne sais ni pour où, ni pourquoi.
Un suspens que j’ai depuis la veille. Tellement de scenarii ont traversé nos esprits…
Je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre : encore un guet-apens, peut-être un couple, une femme bi,
un échange de soumise avec un autre maître et bien d’autres choses…
Maître MaX m’a donné la tenue et les objets que je devais emporter : des bas avec porte-jarretelle,
bustier, une petite jupe et un imper. Dans mon sac, mon collier et « blacky ».
Maitre MaX, est distant, incisif, je sens que ce soir les règles sont fixés et que je ne pourrai pas jouer
ou l’attendrir.
Dans la voiture, il m’ordonne de mettre mon collier, et le masque.
Il trouve le lieu, gare la voiture et me fait descendre. Il me guide et nous sommes très vite
arrivés.
Je sens une autre présence. Il y a une chaise où il me demande de m’asseoir après m’avoir demandé si
j’avais été sage, s’il fallait punir cette chatte. Le ton est tellement différent. Je sais qu’il ne sourit pas, qu’il est sérieux et qu’il va se passer quelque chose de plus hard que dans mes
pensées.
Je m’assois, une personne derrière moi, prend mes bras pour y glisser des menottes de cuir et les attacher
dans mon dos. Mon maitre me fait écarter les cuisses, teste ma chatte et constate qu’elle coule.
Il me reproche de ne pas la contrôler.
Je ne sais comment répondre, c’est une chose que je ne sais pas faire. Il me le fait dire… Je sens que ce
n’est pas bien…
J’y arriverai peut-être un jour mais j’ai l’impression qu’elle est totalement indépendante de
moi.
Assise, les doigts pénètrent dans cette chatte, pas sage ! Je suis trempée. Mon maître dépose ma
mouille sur ma bouche qu’il m'a demandé d’ouvrir.
J’obéis à tout, je ne sais si j’ose imaginer ce qui peut se passer.
En tout cas, j’écoute, essaie de discerner des souffles. Combien sont-ils à me regarder ainsi,
offerte ?
Le silence… et seulement mon maitre et une personne (Y) …
Ils s’absentent… Je reste seule, en attente....
Une boule au ventre. D’autres vont-ils venir et me trouver ainsi.
Tension…
Attente
J’entends un escalier, des paroles…
La tension monte…
Ils reviennent.
Et très vite, caresses de ma chatte, je sens que l’on prend mes lèvres pour y clipper des
pinces.
C’est supportable, pas trop de douleur.
Je suis un peu soulagée (l’appréhension tombe).
Pauvre chatte, il fallait la punir au dire de
mon maître et là, je crois qu’elle n’a que ce
qu’elle mérite !
Puis, mon maître et Y m’attachent les bras à une sangle
Ils me placent un bâillon avec une boule entre les lèvres pour que je passe ma sale manie de
mordre.
Peut-être aussi pour m’empêcher de parler, de crier ou pour l’image totale de la
soumise…
J’imagine très bien la photo de cette soumise ainsi préparée.
J’entends les chaines effectivement, comme me le dit mon maitre.
Puis on me caresse les seins. Deuxième appréhension.
Si c’est comme en bas, ca ira.
La pince approche et se referme petit à petit.
Je supporte, je supporte, je ne supporte plus. Une douleur atroce entre dans mon sein et parcours tout mon
corps. Je serre les dents, souffle pour faire partir cette douleur. Rien à faire. Les larmes et je dirai même les sanglots arrivent. Je ne peux
rien dire. J’aurais envie de faire arrêter cela. Je ne peux rien à par prendre sur moi. Bizarrement, j’ai vu défiler les photos de toutes ces femmes qui portent les pinces avec le sourire… je
dois y arriver, il n’y a pas de raison…. Mais cette douleur là, je crois que je ne l’oublierai jamais… Je résiste tout le long de ce supplice. Mais je suis à la limite. Cette douleur m'empêchera
de ressentir ce que l'on me fait ailleurs.
Levée avec les pinces, les mouvements font se propager la douleur dans tout mon corps. Des mains me
passent devant, derrière. mon esprit vascille entre le plaisir des touchés et la douleur. Mais la douleur emporte tout, impossible de m'en défaire.
Ils s’occupent de mes fesses, de mon trou, me fistent, me caressent le clito. Leurs mains m’aident à
passer outre ce que je ressens…Un peu… trop légèrement pour éprouver du plaisir physique. Seul la vision et la situation me révèle à mes fantasmes.
Et tout à coup, mon maître tire sur les pinces de mes lèvres. Sensation d’aiguilles qui me transpercent
(comme un percing). Atroce…
Mais comment vais-je faire pour supporter tout cela… ? Le mot « impossible » apparaît… et
pourtant je dois, il n’y a pas de raison… Il faut que je gère… mais j’ai l’impression aussi d’être devant une faiblesse qui ne me ressemble pas. Je tiendrai….
J’entends les chaines, oui, légèrement…
Enfin, il retire les pinces... pleurs de soulagement....
Puis je sens une caresse sur mes fesses. Un objet surement une badine. Un clac, un deuxième… des coups
secs alternés de caresses qui dissipent la brulure jusqu’au prochain clac ! …Punie, je le suis….
La plus supportable des douleurs est celle de la fessée. La plus atroce, celle de mon
sein.
Toujours des aiguilles par les pinces aux lèvres selon les mouvements....
Ils les retirent.....
J’ai l’impression d’être apaisée, épuisée aussi par cette lutte.
Nouvelle posséssion de mes antres....
Fist anal, vaginal… prise en main
Toujours des allers-retours entre les deux saveurs… Les fists sont profonds et
puissants
Des pleurs … mais par le plaisir interne que je peux ressentir malgré la brutalité des
pénétrations...
Puis des objets sont placés dans mes trous (sex toys, plug surement). Je les sens qui me
remplissent…
La vision extrême de mes fantasmes apparaît…
Mais là, j’ai le ressenti physique.
Dans le noir, j’essaie de me projeter dans ces délires que j'avais d''antan, d'y retrouver les personnages
mais la brutalité me ramène toujours à la réalité du moment. Je ne peux pas fuir par l’esprit…
Dur constat…on peut subir sans rien pourvoir faire physiquement ou moralement… ? Impossible de me
mettre dans une bulle.
Mais là, je vis mes fantasmes !
Répit de bien courte durée. M’ordonnant de me cambrer, mon maitre m’offre à Y.
Les doigts reprennent possession de moi. Puis, c’est « blacky » qui va s’immiscer en moi par la
main violente de cet inconnu.
Les impacts dans ma chatte sont profonds, forts et percutants.
Partage de jouissances et de maux.
Le bâillon sorti, je ne dis mots, je n’ai rien à dire, me sens froide.
Seul les à-coups me font crier mes ressentis.
Tantôt des cris de jouissance, tantôt des cris de douleur.
Y et mon Maitre, me fistent sans ménagement.
Le masque m’est ôté.
Mes yeux sont larmoyants et je ne veux qu’une chose, les cacher.
Puis à deux, ils m’immobilisent les jambes, les hanches, ne veulent pas que je me dérobe en me tirant sur
mes liens. Ils veulent entrer plus profondément en moi.
Je me sens prise, punie, forcée, remplie. Je subis mais j’aime
ça.
Les doigts entrent, les poings s’approchent ou pénètrent je ne sais pas… le plaisir et la souffrance se
mélangent.
Mais la jouissance certaine, aussi, aux caresses internes.
Je savoure ce moment où tout s’entremêle… j’aime l’emprise de ces deux hommes !!!… pour
moi, le meilleur passage...
Vision : le poing de mon maître s’immisçant dans ma chatte !
Puis, une appréhension énorme : Y m’immobilise par la taille et présente la pince pour la remettre à
mon téton. Même en préparant mon sein, je ne peux pas, je ne veux pas revivre ça. Pas là, pas maintenant. J’arrive à me dérober mais il est fort et quand il y est presque, je cherche le regard de
mon maitre derrière moi. Impossible de le croiser, je me sens seule et me débats. Le re gard de Y est impassible. J’ai
l’impression qu’il lit dans mes yeux que je peux ou alors qu’ il ne voit pas mon appréhension... Quelques instants ainsi et Y ne le fera pas mais les larmes sont là … beaucoup de chose à
intégrer, à subir, à affronter.
Le Calme……….
Puis Y m’enduit de gel, « blacky » et de retour. Il m’est présenté pour que je le suce, le
prépare. Mon maître est face à moi et Y derrière commence par ma chatte et bien vite, le présente à mon anus. Je sais que je suis ouverte mais la pénétration de l’engin est toujours désagréable.
Il entre petit à petit. Je m’y empale. Sodomie jouissive. Ma chatte en coule de plaisir...
Un verre d’eau glacée à calmer mes rougeurs, mes chaleurs…
Mais rien ne calme mon esprit et la vision de la bataille interne qui s’est produite chez
moi.
J’ai aussi la vision des regards de mon maitre…
Merci Maître de cette avancée. Je sais maintenant que le défi est rude, mais je n'ai qu'une envie : y
arriver, aller plus loin...
PS : Y, c’est l’homme qui m’avait infligée la « punition douce » à l'époque
! . Le chauffeur aussi , froid et distant, imperturbable !!
pas de provoc mais bon, je n’oublierai pas ….
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