Nue sur un lit, cambrée, offerte

En position d'attente

Ta tête est posée sur mes cuisses

Une main dans tes cheveux

L'autre sur ta fesse

Tu respires

Nous respirons

 

Tes fesses rougies

Cinglées par le fouet

L'ange est attaché

Libéré par ses liens, par ces coups de fouet

Il s'envole

 

Le démon le tire au sol,

Le fait couler

Mais en fermant les yeux tu vois

 

Par Maître MaX
Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 16:45

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Cette après-midi là, nous sommes partis sur une envie de crème glacée.

Délicieux prétexte pour une rencontre.

 

Tenté, mon Maître vient la déguster à la maison. J’imagine l’accueillir en robe noire, avec des bas, talons, assise sur la table en bois, la glace entre les cuisses, sous ma robe.

Il arrive trop tôt, je viens de rentrer avec les crèmes glacées.

Mais ce n’est pas un jean qui va l’empêcher de me prendre en main dès l'entrée, de me plaquer contre le mur, de me palper, de m’exciter par ses touchers.

Ses mains à mon cou.

Toujours pressantes et prêtes à m’immobiliser.

Ma ceinture glisse et tombe,

La fermeture s’ouvre,

Je suis à lui.


Sa main sur ma chatte,

Sa queue gonflée contre moi,

Douces sensations excitantes……

Mise à nue, le jean tombe

Et le string toujours à demi sur mes fesses, empreint de mon odeur, de l’odeur de ma chatte mouillée.

Se saisissant de la ceinture, il la glisse entre mes jambes, tire et emprisonne mon sexe.  

Le serre.

Soumission et possession.

Subtiles sensations que j’apprécie.

 

Quelle tournure va prendre ce RDV : va-t-il utiliser la ceinture ou dégusterons-nous les crèmes glacées ?

 

Lui ayant avoué que je voulais le recevoir autrement, il me demande d’aller mettre la robe noire.

J’y vais.

Rattrapée dans le couloir, mon corps s’offre à lui.

Cambrée, je lui présente mes fesses, me frotte et savoure ses formes qui le trahissent.

Il finit de m’ôter le string pour le sentir.

Gênée je me défile vers la chambre.

 Robe mise, l’ambiance est semble-t-il différente.

Je me sens plus femme, plus désirable, plus noire aussi.

Peut-être plus chienne ?

 

Mon Maître m’entraîne alors vers la table et m’y fait asseoir, jambes écartées. Il se saisit des glaces et en pose le pot directement entre mes cuisses.

Surprise et froid, un frisson me parcourt.

Ma chatte est trempée, en attente, désireuse de ces visions que j’avais depuis plusieurs jours et désireuse que sa langue gourmande s’immisce en moi.

 

Il dépose la crème sur ma chatte et à chaque cuillère, se délecte du dessert…. Sa langue savoure la glace fondante, sous ma chaleur, assortie de ma mouille.

Sa langue se veut douce et insistante. Sublime. Un délice à recommander à toutes les femmes. Et surement à tous les hommes.

Il me lèche partout et les allers-retours de mon anus, vagin, au clito me font me tortiller de plaisir. C’est exactement ça. Je m’abandonne.

Les cuillères de glaces se succèdent, je ne suis plus là, m’enivre de l’odeur de vanille. Ces baisers sont aromatisés mouille/vanille. Le froid se dilue au plaisir.

 

Puis il place sa queue sur ma chatte, et glisse sur la glace fondue, blanche et crémeuse. J’aime toujours autant cette sensation et là, je reconnais que la vision de ce liquide blanc était particulièrement évocatrice.

 

A genoux, je savoure maintenant cette queue vanillée. Envie de l’engloutir.

 

Il m’entraine ensuite vers la chambre. Stoppée dans le couloir. Il me cambre à nouveau. Me sentant femme, je m’offre à lui, à ses bras, à son corps. Quelque peu chienne !

Sa queue entre mes fesses, entre mes lèvres, les va-et vient font monter la pression. Je l’enduit de mouille. Cette coule que je ne peux toujours pas maîtriser.

Des frissons me parcourent et l’excitation grandissante m’oblige à faire des pauses pour ne pas partir ainsi, trop vite : encore envie de savourer…

 

Dans la chambre le jeu reprend. Je le suce, il se frotte, je m’offre, il me lèche.

Envie de partir, l’excitation et la pression sont hautes. Mais sa langue habile connaît mes points clés. Ses doigts, en moi, me remplissent et s'ajoutent en sensations. Je viens. L’orgasme. Gémissements, cris sortent sans retenue. Sous cette tension je n’ai pas envie de me maitriser, je suis partie.

 

Quelques clacs et des morsures. Des essais de pression pour voir sa réaction.

Envie de le sucer. Dans la fougue et sous sa demande, je le mords, à plusieurs reprises.

Sa queue y est sensible. La vanille mêlée à ses provocations me donne envie de le dévorer.

Nous calmons le jeu…

 

« Suce moi »

Je reprends sa queue en bouche. Il l’empoigne et se branle entre les lèvres. Augmentant la pression par des gorges profondes, je le laisse me baiser la bouche. Puis ce sont mes doigts  qui l’enserre et le branle.

Heureuse et honorée qu’il vienne dans ma bouche. Cela faisait longtemps que je n’avais pas savouré son nectar. Et la saveur vanillée n’a fait que sublimer ce moment.

Par Chienne Saly
Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 15:39

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Envie de partager avec tous les visions qui nous parcourent quotidiennement

Envie de voir les pistes

A explorer

ou à abandonner

 

Vision récurrente depuis le début

Ma chienne attachée sur un lit, les cuisses ouvertes et les bras écartés

Sa chatte coule, elle n'y peut rien

En pleure de ne pas la controler

A sa tête son Maître

Elle sait, elle craint le mot

Le mot qui déclenchera tout

"Allez-y prenez la"

Par Maître MaX
Vendredi 15 octobre 5 15 /10 /Oct 20:32

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Mon maître m’enlève.

Je ne sais ni pour où, ni pourquoi. 

Un suspens que j’ai depuis la veille. Tellement de scenarii ont traversé nos esprits…

Je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre : encore un guet-apens, peut-être un couple, une femme bi, un échange de soumise avec un autre maître et bien d’autres choses…

 

Maître MaX m’a donné la tenue et les objets que je devais emporter : des bas avec porte-jarretelle, bustier, une petite jupe et un imper. Dans mon sac, mon collier et « blacky ».

 

Maitre MaX, est distant, incisif, je sens que ce soir les règles sont fixés et que je ne pourrai pas jouer ou l’attendrir.

Dans la voiture, il m’ordonne de mettre mon collier, et le masque.

Il trouve le lieu, gare la voiture et me fait descendre. Il me guide et nous sommes très vite arrivés.

 

Je sens une autre présence. Il y a une chaise où il me demande de m’asseoir après m’avoir demandé si j’avais été sage, s’il fallait punir cette chatte. Le ton est tellement différent. Je sais qu’il ne sourit pas, qu’il est sérieux et qu’il va se passer quelque chose de plus hard que dans mes pensées.

 

Je m’assois, une personne derrière moi, prend mes bras pour y glisser des menottes de cuir et les attacher dans mon dos. Mon maitre me fait écarter les cuisses, teste ma chatte et constate qu’elle coule.

 

Il me reproche de ne pas la contrôler.

Je ne sais comment répondre, c’est une chose que je ne sais pas faire. Il me le fait dire… Je sens que ce n’est pas bien…

J’y arriverai peut-être un jour mais j’ai l’impression qu’elle est totalement indépendante de moi.

 

Assise, les doigts pénètrent dans cette chatte, pas sage ! Je suis trempée. Mon maître dépose ma mouille sur ma bouche qu’il m'a demandé d’ouvrir.

J’obéis à tout, je ne sais si j’ose imaginer ce qui peut se passer.

En tout cas, j’écoute, essaie de discerner des souffles.  Combien sont-ils à me regarder ainsi, offerte ?copie IMG 0492

Le silence… et seulement mon maitre et une personne (Y) … 


Ils s’absentent… Je reste seule, en attente....

 

 

Une boule au ventre. D’autres vont-ils venir et me trouver ainsi.

Tension… 

Attente 

J’entends un escalier, des paroles…

La tension monte…

Ils reviennent.

Et très vite, caresses de ma chatte, je sens que l’on prend mes lèvres pour y clipper des pinces. Copie de IMG 0499

C’est supportable, pas trop de douleur.  

Je suis un peu soulagée (l’appréhension tombe). 

 

Pauvre chatte, il fallait la punir au dire de

mon maître et là, je crois qu’elle n’a que ce

qu’elle mérite ! 

 

 

 

Puis, mon maître et Y m’attachent les bras à une sangle  

 

Copie de IMG 0493

Copie de IMG 0496

 

 

   

    

Ils me placent un bâillon avec une boule entre les lèvres pour que je passe ma sale manie de mordre.

 

Peut-être aussi pour m’empêcher de parler, de crier ou pour l’image totale de la soumise… 

 

 

J’imagine très bien la photo de cette soumise ainsi préparée.

 

J’entends les chaines effectivement, comme me le dit mon maitre.

 

Puis on me caresse les seins. Deuxième appréhension. Copie de IMG 0497

 

Si c’est comme en bas, ca ira.


La pince approche et se referme petit à petit.

Je supporte, je supporte, je ne supporte plus. Une douleur atroce entre dans mon sein et parcours tout mon corps. Je serre les dents, souffle pour faire partir cette douleur. Rien à faire. Les larmes et je dirai même les sanglots arrivent. Je ne  peux rien dire. J’aurais envie de faire arrêter cela. Je ne peux rien à par prendre sur moi. Bizarrement, j’ai vu défiler les photos de toutes ces femmes qui portent les pinces avec le sourire… je dois y arriver, il n’y a pas de raison…. Mais cette douleur là, je crois que je ne l’oublierai jamais… Je résiste tout le long de ce supplice. Mais je suis à la limite. Cette douleur m'empêchera de ressentir ce que l'on me fait ailleurs.

 

Levée avec les pinces, les mouvements font se propager la douleur dans tout mon corps. Des mains me passent devant, derrière. mon esprit vascille entre le plaisir des touchés et la douleur. Mais la douleur emporte tout, impossible de m'en défaire.


Ils s’occupent de mes fesses, de mon trou, me fistent, me caressent le clito. Leurs mains m’aident à passer outre ce que je ressens…Un peu… trop légèrement pour éprouver du plaisir physique. Seul la vision et la situation me révèle à mes fantasmes.


Et tout à coup, mon maître tire sur les pinces de mes lèvres. Sensation d’aiguilles qui me transpercent (comme un percing). Atroce…

Mais comment vais-je faire pour supporter tout cela… ? Le mot « impossible » apparaît… et pourtant je dois, il n’y a pas de raison… Il faut que je gère… mais j’ai l’impression aussi d’être devant une faiblesse qui ne me ressemble pas. Je tiendrai….

J’entends les chaines, oui, légèrement…


Enfin, il retire les pinces... pleurs de soulagement....

 

Puis je sens une caresse sur mes fesses. Un objet surement une badine. Un clac, un deuxième… des coups secs alternés de caresses qui dissipent la brulure jusqu’au prochain clac ! …Punie, je le suis….

La plus supportable des douleurs est celle de la fessée. La plus atroce, celle de mon sein.

 

Toujours des aiguilles par les pinces aux lèvres selon les mouvements....

 

Ils les retirent.....


  J’ai l’impression d’être apaisée, épuisée aussi par cette lutte.

 

Copie de Copie de IMG 0518

Nouvelle posséssion de mes antres....


Fist anal, vaginal… prise en main

 

   

Toujours des allers-retours entre les deux saveurs… Les fists sont profonds et puissants


Des pleurs … mais par le plaisir interne que je peux ressentir malgré la brutalité des pénétrations...


Puis des objets sont placés dans mes trous (sex toys, plug surement). Je les sens qui me remplissent…

La vision extrême de mes fantasmes apparaît…

Mais là, j’ai le ressenti physique. 

Dans le noir, j’essaie de me projeter dans ces délires que j'avais d''antan, d'y retrouver les personnages mais la brutalité me ramène toujours à la réalité du moment. Je ne peux pas fuir par l’esprit… 

Dur constat…on peut subir sans rien pourvoir faire physiquement ou moralement… ? Impossible de me mettre dans une bulle.

 

Mais là, je vis mes fantasmes ! 

 

Répit de bien courte durée. M’ordonnant de me cambrer, mon maitre m’offre à Y.

Les doigts reprennent possession de moi. Puis, c’est « blacky » qui va s’immiscer en moi par la main violente de cet inconnu.Copie de IMG 0510

Les impacts dans ma chatte sont profonds, forts et percutants.

Partage de jouissances et de maux.

 

Le bâillon sorti, je ne dis mots, je n’ai rien à dire, me sens froide.

 

Seul les à-coups  me font  crier mes ressentis.

 

Tantôt des cris de jouissance, tantôt des cris de douleur.

 

Y et mon Maitre, me fistent sans ménagement. 

 

Copie de IMG 0513

 

Le masque m’est ôté.

Mes yeux sont larmoyants et je ne veux qu’une chose, les cacher.

 

Puis à deux, ils m’immobilisent les jambes, les hanches, ne veulent pas que je me dérobe en me tirant sur mes liens. Ils veulent entrer plus profondément en moi.

Je me sens prise, punie, forcée, remplie.  Je subis mais j’aime ça.

 

Les doigts entrent, les poings s’approchent ou pénètrent je ne sais pas… le plaisir et la souffrance se mélangent.

Mais la jouissance certaine, aussi, aux caresses internes.

Je savoure ce moment où tout s’entremêle… j’aime l’emprise de ces deux hommes !!!… pour moi, le meilleur passage...


Vision : le poing de mon maître s’immisçant dans ma chatte ! 

 

Puis, une appréhension énorme : Y  m’immobilise par la taille et présente la pince pour la remettre à mon téton. Même en préparant mon sein, je ne peux pas, je ne veux pas revivre ça. Pas là, pas maintenant. J’arrive à me dérober mais il est fort et quand il y est presque, je cherche le regard de mon maitre derrière moi. Impossible de le croiser, je me sens seule et me débats. Le re gard de Y est impassible. J’ai l’impression qu’il lit dans mes yeux que je peux ou alors qu’ il ne voit pas mon appréhension... Quelques instants ainsi et Y ne le fera pas mais les larmes sont là … beaucoup de chose à intégrer, à subir, à affronter.

 

Le Calme………. 


Puis Y  m’enduit de gel, « blacky » et de retour. Il m’est présenté pour que je le suce, le prépare. Mon maître est face à moi et Y derrière commence par ma chatte et bien vite, le présente à mon anus. Je sais que je suis ouverte mais la pénétration de l’engin est toujours désagréable.  Il entre petit à petit. Je m’y empale. Sodomie jouissive. Ma chatte en coule de plaisir...

 

Un verre d’eau glacée à calmer mes rougeurs, mes chaleurs…  

Mais rien ne calme mon esprit et la vision de la bataille interne qui s’est produite chez moi.

J’ai aussi la vision des regards de mon maitre…

 

Merci Maître de cette avancée. Je sais maintenant que le défi est rude, mais je n'ai qu'une envie : y arriver, aller plus loin...

 

PS : Y, c’est l’homme qui m’avait infligée la « punition douce » à l'époque ! . Le chauffeur aussi , froid et distant, imperturbable !!

pas de provoc mais bon, je n’oublierai pas ….

 

Par Chienne Saly
Dimanche 10 octobre 7 10 /10 /Oct 19:17

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Des incitations par sms, des allusions, des phrases à double sens qui promettent une réunion de nos esprits mais de nos corps, moins sûr !!!

Des heures ainsi…

La nuit qui tombe !

 

Certes nue, mais dans une tenue de fitness, il y avait plus sexy pour accueillir mon maître. 

Cela ne l’empêche pas de se saisir de moi, de m’enlacer et de m’entraîner vers la maison.

 

Dehors, contre le mur : je suis mise à nue

La nuit nous arrête. Le mur nous attire et l’inspire.

Je m’y retrouve plaquée.

Ses mains passent partout. M’immobilisent.

J’ôte le bas. A demi-nue, je m’offre à lui. Il me retourne, m’écarte les jambes.

Il touche et savoure tous mes trous. Ma chatte s’est mise à couler d’envie, de désir.

Signe incontrôlable de ce que réclame mon corps, mon esprit.

Mon maître se colle à moi, je sens son souffle dans le cou.

Il m’empoigne parfois contre le mur. Je ne peux me raccrocher à rien.

Subit délicieusement son emprise physique et psychique.

Chienne, je le suis, à me cambrer ainsi, à m’offrir sans gène, à provoquer ses sens.

Ses doigts s’immiscent en moi, dans ma chatte que nous voulions préserver ce soir et dans mes fesses, dans mon cul, dirais-je. Un ou deux doigts en guise de crochet, rien que pour m’immobiliser, me soumettre et me posséder. Cette situation me ravit, me projette dans mes fantasmes, mes envies inassouvies….

 

Ma veste et mon tee-shirt tombent.

Nue, contre ce mur, sa chaleur m’envahit, m’irradie. Je resterai bien là toute la nuit.

A subir ses assauts que je sens propices.

 

Nous rentrons au salon.

Par nos jeux, il se déshabille et je me retrouve au sol.

Je mords et cela le rends « furieux ».  

Je le suce et il savoure.

Que de variantes dans nos états qui nous font passer d’un extrême à l’autre.

 

Sur la table : offerte, prête

Il me tourne et me plaque sur la table. Les fesses ouvertes.

Il me demande de les tenir, de m’offrir plus.

Je suppose qu’il se réjouie de cette vue, de cette offrande.

Ses doigts reprennent leur exploration de mes antres.

Allongée ainsi sur la table, j’ai envie d’écarter encore plus les cuisses, de les caler à ne plus pouvoir les refermer.

Ma chatte en appui sur le coin,  je fais quelques mouvements pour délivrer mon clito de son désir, de son envie. Il est gonflé !! Demandeur…

Même lorsque mon maitre se présente à mes côtés, je ne peux m’empêcher de continuer seule ma quête du plaisir. Ma mouille enduit le bois.

Je suis dans mes images de soumise, dans l’attente de son jugement, de ses ordres… tout en profitant de ses instants de relâche où je  poursuis ma jouissance.

 

Sur le canapé :

Assise sur lui et face à lui, je prends sa queue entre mes lèvres. La mouille et l’enduit pour nous faire partir dans nos sensations….

Envie de me pénétrer, de prendre ma chatte, de prendre mon cul.


Il réalise alors, un de mes désirs : je me mets à plat ventre et s’allongeant sur moi, il me glisse sa queue entre les fesses. Première fois que je ressens cette sensation en comparaison à celle, habituelle de cocu. Elle est grosse et je la sens prendre plus de place. Délicieuse sensation de cette entrée en moi, immobilisée par son corps sur le mien.

 

Il commence à me sodomiser, le plaisir ne se fait pas attendre.

Pourquoi la sodomie me procure-t-elle ces sensations ? J’en jouie…

Pas à l’aise sur le canapé……

Il me relève et me penche sur les coussins pour mieux enfiler ma croupe. Ses coups de reins se veulent plus forts et plus profonds. Mon corps en avant, lui permet d’atteindre les méandres de la jouissance.

Mon vagin se met à couler à chaque éclat de plaisir.

 

Enlacés sur le canapé, nous savourons en amants le plaisir que nous avons eu.

 

Pourquoi dis-je « cocu nous a vu » ?

Car au départ de mon maitre, nous constatons que des vêtements ont été déplacés.

Cocu, tu dis être venu à 50cm de nous. Certes nous avons entendu des bruits mais jamais ne t’avons vu.

Je suis venue chercher les préservatifs, juste à côté de notre lit. Tu dormais….

Filou, voyeur, tu n’as pu que constater, une fois de plus, le plaisir et la jouissance que m’offre mon maitre, mon amant.

Sa queue, ses coups de reins...

...

Par Chienne Saly
Mercredi 6 octobre 3 06 /10 /Oct 15:47

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Toute une journée, non loin, l’un de l’autre de par nos occupations...

Que d’envies, d’imagination. Je ne serai pas un ange aujourd’hui !

 

Fin de journée, je vais le croiser,  surement et je ferai tout pour… même si je le laisse maitre du jeu…


Envie de chocolat… un plaisir sensuel et délicat

Je sais que mon Maître peut me trouver dans ce magasin là.

Prête à rentrer aussi s’il le fallait.

Je ne suis pas directe, certes mais j’aime aussi ce jeu. Et j’en accepte les règles notamment le possible refus, l’impossibilité…

 

Je déguste mon chocolat, m’apprête à partir quand des sms m’interpellent et me décrivent ma tenue.

Mon maitre est là et je ne le vois pas…

Pas du tout…

Il ne se montre pas, joue…

Impatiente, je le provoque en rejoignant ma voiture…

Il ne tarde pas à m’y rejoindre…

 

Beaucoup d’échanges, de désir, d’envie.

Envie de nous isoler… Un hôtel, un lieu pour se déguster…

Direction notre parcelle de vigne. Il pleut et nous restons à l’arrière de la voiture.

Mon maitre me désire sur lui…

Il veut aussi ma chatte…

Me renversant sur le siège, il écarte mes jambes, le string. Le pantalon a glissé, je ne sais quand…

Il me dévore, me lèche, introduit sa langue. Joue de mon clito. J’adore

Plaisir … Montée en pression…

Tension, il va me faire venir, il est proche.

Je n’ose bouger.

Une main sur sa tête, je le presse, le force à rester à certains endroits.

Je veux que sa langue appuie encore, et encore, insiste et m’emporte.

Cela ne tarde pas.

Délicieux moment où l’orgasme contracte mon corps, où ma conscience veut fuir, pour ne pas subir.

Je pars même dans cet espace étriqué.

Il insiste mais l’orgasme a tari la source.

Besoin de quelques secondes.

Je l’embrasse, sens mon fiel et m’en délecte.

Excitation , désir "d’encore"...

 

Assise sur ces jambes, ma chatte contre sa queue.

Désir de se sentir. Envie de le mouiller, de l’enduire.

Toujours une furieuse envie de jouer de nos sens.

Frissons, vibrations, nos corps réclament et s’expriment, s’apprivoisent et fusionnent.

 

Il se laisse aller.

Les yeux clos à tour de rôle, nous savourons ces instants.

Prendre sa queue et la glisser dans ma chatte.

Moment sublime où il me laisse faire et où je ne pense qu’à nos sensations à la pénétration, à lui faire sentir chaque paroi, chaque coin de cet antre de la jouissance.

Le baiser, lentement, profondément.

Le serrer, l’enserrer.

Ne pas le lâcher,

Le faire jouir,

Lui donner du plaisir…

Les mouvements lents nous caressent. Exploration d’un monde de sensations.

Recherche d’extrême peut-être.

Le plaisir dans nos yeux se lit et se veut…

La chaleur monte.

Besoin d’air frais…

Puissant, il me soulève pour me pénétrer plus profondément.

Il est meilleur sans nul doute.

 

Le maitre mot, jouir … Il aime à me faire jouir…

Plaisir des sens

 

Vue du Maître :

Joueuse, tu sais aussi te montrer provocatrice

Et quel que soit l'endroit ou l'espace dont nous disposons, nos anges se retrouvent

Un sacré lien que nous avons tissé, source de jeu et de plaisir

Par Chienne Saly
Mardi 5 octobre 2 05 /10 /Oct 20:16

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Ce soir là, Cocu et moi, nous nous sommes croisés.

Il est parti, tant pis.

Une douche et mes pensées dérivent : le téléphone pas loin me permet d’être en contact avec mon maître.

Envie, oui.

Des stimulations sur tel me rendent folle… j’enfile une jupe …attends à demi-nue un message de sollicitation… mais rien …

Je m’allonge sur le lit, le tel à la main… Nous échangeons …

Mais quand va-t-il me dire de venir, me donner un RDV.

Tellement démoniaque qu’il se peut qu’il n’en fasse rien. Je le sais …

Et moi, tellement chienne que je ne pense qu'à ça....

 

Alors j’attends… le désir monte … prête aussi à jouer seule…

Je sens ma chatte en demande.

Pas sur le net … où est-il ?

Des messages longs à venir…

Des messages qui suggèrent notre rapprochement mais pas de proposition… une attente délicieuse où je suis prête à tous les plaisirs…

 

Le chien aboie, sursaut, est-ce lui ou des amis ?

Une veste enfilée, j’ouvre la porte… c’est lui !

 

Etreinte dans l’entrée, prise en main dans les deux sens du terme…

 

Entrainée vers la table du salon, mon maitre m’y fait assoir. Une table à lame de bois propice à  toute imagination.

Il m’a à sa merci, les jambes ouvertes, la chatte nue.

Il joue de moi, la veste tombe, il m’allonge et se frotte à moi…profite de moi...

 

Sur le canapé, il me prend sur lui. Jeu de friction, de caresses, sexe à sexe.

 

Puis la cuisine. Il me retourne, m’ordonne d’écarter les jambes.

Le ton emballe mon excitation.

La tension montant, je coule.

Un doigt, deux doigts, mon maitre se joue de moi. J’aime quand il me possède par mon antre, qu’il me remplit de la sorte.

Je cède et m’empale pour qu’il aille encore plus profond…

Je sens son poing résister, insister  … Envie de l’engloutir … sensations intenses mais incapable de discerner jusqu’où il l’enfonce …

 

Envie de me prendre certes, mais il sollicite mes envies.

Alors ce que j'avais entrevu refait surface.

Je l’entraine dans la chambre du fond. Et là, le jeu s’inverse.

Je prends mon masque et lui place sur les yeux.

Privé de ce sens, je veux qu’il sente tout, d’une autre façon et peut-être plus profondément.

Je le guide sur le lit.

Me glissant sur son sexe, je peux m’y frotter avec délice, l’enduire de mon miel. Lui faire sentir, lui faire savourer. Je coule et nous apprécions ce plaisir.

Puis je le laisse quelques instants.

Désir qu’il me pénètre. Je glisse sa queue toujours gorgée d’envie dans ma chatte. Assise sur lui, je joue, bascule et me caresse. Je mène les sensations où bon me semble. Mais reviens toujours au point de la jouissance. Je vibre et frissonne. Mes mains sur son torse m’aident à me cambrer et amplifier la pénétration. Aller chercher tout au fond un plaisir tout autre… J’aime cela et j’aime aussi le voir s’abandonner et ressentir ces mêmes plaisirs. Il savoure, je le sais, je le sens.

 

Quelques instants puis je lui offre l’occasion de me prendre comme il sait si bien le faire.

Sur moi, il entre dans ma chatte. Humm….

Belle image que de le voir sentir le plaisir...

J’ôte le masque pour qu’il voie le mien, pour qu’il nous voie… pour que tous nos sens se réunissent……

Par Chienne Saly
Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 20:04

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Maître, nous allions nous croiser

Je ne pouvais faire autrement que de vous solliciter,

 

Mon maître m'a rejoint, je sais que je l'ai tenté,

Rencontre en bord de route,

Je descends et me dirige vers lui

Il me fait asseoir sur ses genoux

Nos baisers en disent long sur nos désirs

Nos souffles trahissent l'envie et l'excitation

Nous sentons bien que la folie nous guette

 

Il me demande de passer à l'arrière et de fermer les yeux

Je ne peux pas vraiment, trop envie de voir les siens,

L'envie de le fixer, de l'ensorceller est là,

Son regard brille dans le noir et montre le démon qui l'habite,

Je sens qu'il a envie de me posséder

J'ai envie de m'abandonner à lui

La fougue s'empare de nous

Il a envie de ma chatte et ne tarde pas à oter mon string


Enragé(s)

 

Nous nous mordons,

Stimulation intense

Nos corps se figent l'un contre l'autre

Mon bas ventre exprime son excitation par des contractions vaginales

Ma chatte coule, s'ouvre, s'offre 

Mes soupirs rejoingnent mes contractions et sa respiration

C'est le désir qui monte

La sollicitation corporelle

 

Incontrôlable,

Jouissive

 

Nous nous respirons, nous nous sentons

Nous vibrons ensemble

Fusions

Sensations

 

Sa main sur ma chatte, des mots magiques qui se transforment là, en sensation

Ses doigts sont trempés de ma mouille

Il les déguste, je les savoure

Délicieuse substance

Effluve du désir

Sa main entre dans ma chatte et ses doigts jouent de moi.

Le plaisir monte, la jouissance aussi

Chaque mouvement imprime en moi le plaisir

Stimule mon corps et mon esprit

 

Je lui en demande plus

Je veux qu'il me fiste à fond

C'est "sa chatte" et le lui rappelle.

Sa prise de posséssion ne se fait pas attendre

Mon démon est là

Mon démon, mon maître

Mais je crois que le mien aussi !


Que j'aime ces moments où nous partons dans un monde de plaisir et de jouissance sans autres mots que "encore" ou "plus fort"

 

Ces retrouvailles intenses ne se calmeront pas de la nuit à l'intérieur de mon corps.

Puissance des sensations

Je sais que mon maitre a emporté mon effluve, mon fluide

 

Une envie de poursuivre, nous submerge...

Par Chienne Saly
Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 08:50

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 Un clic manquait...

Le clic du portail qui a mis la puce à l'oreille de Cocu


Mais le déclic y était...
 
Ce soir là, la nuit nous a fourni un écrin de soie
Tout était réuni pour provoquer en nous la fureur
le noir et le brillant,
dans le ciel, sur toi et dans tes yeux
 
Il est tard, retrouvailles sans prémice
Fusion intense
Le maître retrouve sa soumise,
L'homme, sa chienne
 
De cette soirée restent gravées ces visions :

 

Vision de Faust

Dans le miroir  de l’entrée

Moi, nue devant toi, dans tes bras

Une phrase : « Regarde-toi »,

Je me suis vue, telle Manara,

Abandonnée, en ta possession

Toi, derrière, dans l’ombre,

Ton bras autour de mes épaules, de mon cou

Vision de l’emprise

 

2ème vision

Je suis à genoux, écrasée au sol, à tes pieds

Je me visualise comme si j’étais sorti de mon corps

Expérience étrange d’attente où l’on se voit,

Surement par mimétisme à des images emmagasinées

Je n’ai même pas levé les yeux vers le miroir pour voir ton visage

Je l’imaginais  jouissif, comblé

Les yeux pleins d’envies, de flammes…

 

Autre vision :

Nos ébats fougueux sur le lit

Nos morsures,

L’envie de mordre tel un animal auquel on a fait mal

Attente, la chair entre les dents,

La mâchoire prête à serrer au moindre signal de rébellion ou de sollicitation

Jeu de stimulation, de recherche, de tests

 

Vision :

Toi sur moi,

Je fais parcourir une ceinture de cuir sur tes reins, sur tes fesses

Entre tes fesses

Envie de savoir ce que tu as ressenti  à ce moment là

Aurais aimé savoir frapper, aurais aimé la faire cingler pour voir ta réaction

Mais là, j’avais le plaisir de lire le doute, l’attente dans tes yeux

J’imaginais que tu aurais pu t’en saisir aussi et retourner la situation

Jeux dangereux mais tellement excitant

 

Sensation de douleur :

Je l’ai appréhendé effectivement

Tu as frappé sans ménagement sur la même fesse

Les arrêts étaient les bienvenus pour calmer le feu

Et quand je dis feu, le mot n’est pas léger.

Tu aurais pu changer, y pensais, le souhaitais

Mais punie, avais-je le droit de parler?

Pourtant, la fesse rougie, boursoufflée, ne m’a laissé aucune marque pour me rappeler à toi durant le week end qui a suivi.

 

Sentir nos démons dans une ambiance propice.

Sentir qu’ils sont là

Sentir que nous pouvons

Sentir qu’il va falloir les apprivoiser

Savoir que nous vivrons dans l’intensité, dans la force, la possession

Pas dans l’illusion……


Maître, pense à cette chienne qui t'a entraîné dans la chambre
Pense à nos yeux noyés
Pense à nos dents acérrées

Pense à lui...

Par Chienne Saly
Mercredi 29 septembre 3 29 /09 /Sep 10:01

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Maître, le temps nous joue des tours,

 

Je suis en attente

Tout mon corps te réclame

Manifestations physiques : ma chatte est ouverte comme jamais, je mouille à vos mots.

Mon esprit est en divagation : multiplicité des scenarii

J’ai envie de mon maitre, envie de mon amant, envie de mon démon…

Désolée cocu, tu n’y peux rien. Tu calmes mon clito mais il ne me tarde qu’une chose : sentir sa belle queue pénétrer en moi, sentir chaque millimètre sur mes parois…

l’avaler tout entier,

pour qu’au fond, il m’emporte.

Nos jeux iront loins...

 

Mon amant, je suis à toi

Mon maitre, soumettez moi

Mon démon, possède moi...

 

Ta chienne Saly

Par Chienne Saly
Mardi 28 septembre 2 28 /09 /Sep 11:33

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Chienne,

Nous avons du retard

à retranscrire la suite des étapes...

à rattraper...

 

Et comme à chaque fois d'autres envies surgissent, toutes plus surprenantes les unes que les autres...

Submergés, il faut cependant faire face...

 

Voici quelques images...

Quelques symbôles de ta soumission

 

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En attendant...

Par Maître MaX
Lundi 27 septembre 1 27 /09 /Sep 14:55

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Cette après midi est réservée pour mon Maître à sa demande.

 

RDV sur le parking d’un hôtel.

Je n’en sais pas plus.

Si ce n’est que mon Maître souhaite me revoir porter mon corset à lacet noir et mon collier.

Je trouve l’image très belle et il me tarde de m’offrir à lui, vêtue comme cela.

 Je peux m’habiller sur place.

Alors je file en robe classe, talons et portant un string noir, le corset dans le sac, ainsi que le collier et les liens (au cas où !)....

 

Attente sur le parking, je suis seule.

Je repère une voiture que je connais : 1 acteur pour moi, sûr.

Il rentre dans l’hôtel.

Toujours seule,

Un sms m'indique chambre 40

Il faut que je monte !

Panique !

Mon maître n’est toujours pas là.

Que va-t-il se passer?


Plusieurs voitures deviennent suspectes.

Comment vais-je me présenter aux individus de cette chambre ?….

Certes, je stresse mais quelques respirations et je vais y aller.

Je peux avoir confiance en mon Maître.

Une ombre à une fenêtre, c’est lui.

Il vient me chercher.

Bien sûr, il ne peut que constater l’état de stress.

Pas eu le temps de respirer !!

 

Nous montons.

Il ouvre la porte.

Trois hommes dont 2 connus m’attendent.

 

Mon Maître sera direct, à peine les présentations faites, il me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit pour poursuivre notre discussion du matin en réel.

Je m’éxécute, ôte ma robe et me présente ainsi à ces hommes qui se déshabillent. 1

 

Les mains s’emparent de mon corps : seins, hanches, chatte, fesses. Les palpations deviennent de plus en plus insistantes. La tension monte et le désir aussi. Des doigts s’immiscent en moi.

Moi, je mouille incontrôlablement.

Bien sur cela les excite encore plus. Les queues commencent à se gorger.

On frappe. Un quatrième participant entre. J‘entrevois à peine son visage, il m’est inconnu et j’ai quelque peu honte qu’il me trouve comme cela : chienne à quatre pattes.

 

Mon maître leur propose de se faire sucer tour à tour.2

Des ordres plus secs « allez » me pousse à m’exécuter et assise au bord du lit, je suce le premier.

Prends la queue d’un deuxième et celle du troisième.

Je change. Ils tournent. Les calibres sont importants et j’apprécie.

Merci maître de cette sélection.

Je goûte chacun d’eux, passant des connus aux inconnus. J’aime sentir leur plaisir.

 

Puis mon maître souhaite qu’ils me baisent. Toujours ce mot qu’il fait résonner en moi.

Il me demande de me remettre à quatre pattes. 

Le premier me prend sans ménagement. Je suis mouillée, je coule. Accueillante, ouverte, je le sais, je le sens.

Baisée, oui je le suis ! A fond et c’est bon ! 3

 

L’un d'eux me pince les seins comme jamais encore on ne me l’a fait.

La douleur est si forte que j’en grimace.

Je me concentre pour oublier, pour respirer, pour assumer mais c’est trop fort.

Mon esprit se balade entre la jouissance de mon vagin et la douleur de mes seins.

Dure expérience que la douleur mais elle a une saveur dans ce moment là.

 


Sodomisée, je le suis aussi !

Pas de préparation, mon antre les accueillent sans difficulté.

Mon Maître est là, gère et prend des photos pour Cocu.

Je croise son regard et ne peux m’empêcher de lui transmettre mon plaisir, ma jouissance et ma provocation malicieuse… 

Il est là et sur plusieurs pénétrations, il me prend l’anus tel un crochet. Tirée, immobilisée, prisonnière, il m’offre comme sa captive. Je suis transposée dans une de mes visions…….

Chaque queue me fait jouir en me sodomisant.

Je cris et je gémis.

Mais les mecs sont vraiment bons…

Je me baise parfois sur eux, j’accentue les mouvements, j’y trouve tout mon plaisir.

 

Je me place ensuite sur mon Maître.

Il m’offre à nouveau à la sodomie.

Plusieurs passent.

Je ne vois pas qui, je ressens seulement, je gémis différemment à chaque passage, à chaque effet.

Mon Maître se délecte de mon plaisir.

 

Puis, Maître MaX se lève et il me « baise » aussi mais avec sa fougue : puissamment, jusqu’au fond en me tirant les cheveux et en me claquant les fesses.

Mon corps n’a plus qu’à frémir, vibrer sous ses assauts.

Je sens tous les yeux sur moi qui ne me contrôle plus.

 5

Puis, je suis mise à quatre pattes en position plus cambrée par mon Maître.     

 

Cette position d’extrême soumise me plait et je sais qu’elle m’offre encore plus et que je ne contrôle plus les mouvements.

C’est lui qui prend les rênes.

Les hommes reprennent quelques tours…

 

 

La chaleur est intense dans cette chambre étroite.

Je m’allonge à plat dos et attends les honneurs de ces hommes.

Le premier vient dans ma bouche, le second sur mon visage…

Le troisième tarde quelque peu et le dernier me fera l’honneur de me recouvrir le corps d’un jet abondant.7

 

 

Vue du Maître :

Le plaisir de la surprise est toujours particulier : un rictus face à la peur

J'ai tôt fait de l'apaiser et calmer les craintes : je suis présent quoiqu'il arrive

Chienne, je t'ai vu changé et prendre de l'assurance : affronter ces hommes ne t'a pas fait peur

Tu y as même du plaisir!

Provocante et jouisseuse, il a fallu que l'assemblée réunie déploie des trésors de résistance et de vice pour te faire plier...

Mais il en faudra encore et encore plus

 

Par Chienne Saly
Mardi 7 septembre 2 07 /09 /Sep 00:00

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Nouveau défi : RDV dans un hôtel avec nouveau participant : je dois monter seule et « baiser » cet homme, abuser de lui et jouir.


Drôle d’épreuve qui me met dans tous mes états. Agir seule, devoir parler quelque peu et surtout prendre des initiatives sexuellement avec un inconnu. Dur challenge.

C’est sur, je ne pourrai pas me présenter comme le souhaite mon maitre.

J’accepte toutefois. Mon maitre m’accompagnera et restera en bas de l’hôtel. C’est mieux, je n’aurais pas à affronter un « public » en plus.... Bien que …….. En fait j’aurais aimé qu’il m’accompagne et me dise tout ce que je devais faire au fur et à mesure. J’aurais obéi en bonne chienne que je suis. Et ainsi, j’aurais appris à gérer le plaisir d’un homme abandonné à moi.

 

Robe de lin blanche, je porte des dessous noirs : Mi-ange, mi-démon, je me rends à l’hôtel.

Je suis prête à monter. Un message de mon maitre me demande de le rejoindre pour recevoir des consignes. Il est de l’autre coté de la rue, m’observe déjà depuis un moment.

Je le rejoins. Nous parlons du nouvel homme car il lui ressemble et surtout des mensurations qui me donne envie depuis plusieurs jours. Il en profite pour me demander de dire la fameuse phrase de présentation. Je ne pourrais pas et lui dit.

Je ne suis plus obligé de parler mais devrais prendre des initiatives pour amener l’inconnu sur le lit et jouer avec lui pour mon plaisir.

Mieux vaut pas trop réfléchir. Je dois y aller. Numéro de chambre ?

 

Là, maitre MaX me confit que l’inconnu s’est désisté. Mon cœur fait un bon, un vide m’envahit. Je fixe mon maitre incrédule et voit dans son regard la satisfaction perverse de son acte. Il a bien joué ! Pas de sentiments réels en moi : ni soulagée ni déçue… bizarrement.

Sa proposition est alors d’aller à la maison.

M’offrira-t-il sa queue ?

Cocu est absent. Nos jeux commencent dans le couloir. Des attouchements ciblés sur nos sexes, des frottements qui nous emportent dans une jouissance physique. Sa queue entre mes jambes, luit de mouille et les va et vient que je fais simulent la pénétration et nous emportent. Mon clito et sa queue sont gorgés de plaisir et de jouissance. Nos souffles exaltent nos sensations.

Ses moments sont si forts que mon corps vibre et frémit. Je pourrai dire : «  que nos corps vibrent et frémissent ».

 

Quelques pas dans la chambre, nous nous allongeons sur le lit. Au dessus, il m’est permis de me caresser et de poursuivre nos frottements sexe à sexe.

Je jouie encore.


Cocu rentre. Il vient dans le couloir, assister à nos ébats, s’éclipse dans son bureau et revient au moindre bruit plus soutenu. Il prend des photos et filme aussi. C’est son plaisir de cocu voyeur et cela nous stimule.


En 69, mon maître m'a pris la chatte en bouche. J’adore ça ! Sa langue s’immisce partout. Ses frottements et changement de rythme augmentent le plaisir et la jouissance.1DSC02548

Je sens parfois son doigt dans mon anus et cela me fait partir.

Moi, je peux enfin savourer sa queue. Il n’hésite pas à l’enfoncer dans ma gorge.  Echange de plaisirs. Similitude des gestes, nos langues se baladent ensemble du sexe à l’anus. Et oui, la chienne ne peut s’en empêcher.

 

Allongés cote à cote, nous reprenons nos esprits.

Puis mon maître sur moi me stimule à nouveau par ses frottements. Mon clito gonflé en redemande. Alors je glisse mon doigt et me masturbe en contact avec mon maitre. Il savoure cette sensation, ces vibrations qui me conduisent jusqu’à l’orgasme.

Je lui demande de faire la même chose.

Il se frotte et prends sa queue en main. En appui au-dessus de moi, ou en se relevant il ne la lâche pas. J’aime à regarder ses gestes et cette queue qui va venir. Délectables images qui me font couler.

Je reçois sa semence chaude sur le ventre. Bonheur intense de recevoir cette offrande.

 

Un plaisir fort, intense, si jouissif qu’il entraine nos corps et nos esprits.

Pas besoin de sa queue en moi.

J'ai oublié la perversité de ce RDV...

 

Par Chienne Saly
Lundi 6 septembre 1 06 /09 /Sep 00:30

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RDV avec mon Maître dans des ruines taguées que nous apprécions.

J’ai pris mes liens de cuir, mon collier sur ses consignes.

Vêtue d’une jupe en jean et d’un haut noir fluide avec une dentelle plongeante dans le dos. Pas de dessous.

Je suis prête pour lui.

J’imagine vivre un de nos scénarii : surement vais-je être attachée. Va-t-il abuser, profiter de moi, exiger… ?

 

Une phrase me revient en mémoire : à ma question sur le fait d’être seuls, sa réponse a été : « nous ne sommes jamais seuls ».

C’est vrai, nous sommes souvent avec nos démons…. !

 

Sur le chemin qui nous mène à cet endroit, les questions se bousculent dans ma tête et surtout celles de son choix de scénario… qu’a-t-il en tête ? En tout cas, nous sommes tous les deux et nos esprits vont pouvoir aller plus loin, fusionner, progresser… Je suis heureuse.

 

Dans les ruines, mon Maître me met les liens de cuir aux poignets et mon collier.

Il attache mes poignets dans le dos.

Quelques baisers et il ajoute le masque.

Plaquée contre le mur de pierre, j’obéis à ses ordres de position.

Je suis ses jeux de souffle sur moi, subit ses attouchements. 

1

 

Je fonds, la pression monte.

Je le désire.

Il me fait languir. Sa queue est gonflée. Je peux la toucher mais il ne me la laisse pas. 

Ses stimulations me font vibrer. Je me frotte à lui.

Le mur devient un troisième partenaire que j’utilise pour simuler la possession d’un autre homme ou comme support de « torture ».

 

Et puis, un craquement.

Quelqu’un peut-être.

Silence …

 

Des pas s’approchent mais aucune parole.

Oui, quelqu’un est là et ma jupe est retroussée.

Mes jambes encore écartées, je ne bouge plus.

 

Mon Maître ne tarde pas à me présenter et me demande de me tourner pour qu’il m’offre à son invité.

Je sens les yeux de cet inconnu se balader sur moi, du moins, je les imagine.

Encore soumise au jugement d’un autre sans pouvoir lire ses pensés… sans pouvoir diriger ou charmer. Je ne suis qu’un objet sexuel, offerte.

 

Mon maître l’autorise à me prendre, à me baiser pour reprendre ses termes. Il m’ordonne de me cambrer plus, d’offrir mes fesses et de présenter mes orifices. 2

L’inconnu s’immisce en moi. Sa queue est savoureuse. Suffisamment grosse pour la sentir glisser sur mes parois et pénétrer profondément.

Elle me remplit bien, elle me convient. Toujours cambrée, l’inconnu me baise. Ses va-et-vient sont efficaces. Tout mon intérieur est stimulé. C'est bon.

 

Mon maître se place alors devant moi, je sais qu’il veut me sentir vibrer. Il sait que je savoure.

 

Puis, la queue de l’inconnu se positionne sur mon anus.

Il me dit de le faire seule.

Je m’empale alors délicatement sur sa queue et pousse la pénétration jusque dans mes profondeurs.

Sublime moment d’attente où je savoure le fait d’être remplie, captive.

Quelques aller-retours et je me sens ouverte. Les coups s’accélèrent et tapent de plus en plus profondément. La position est idéale. Les vibrations montent en moi, du bas ventre jusqu’au thorax… ses percutions sont jouissives… la tête sur le torse de mon maître, je n’en peux plus, je sais que la jouissance peut monter encore……

Alors je demande à maitre MaX de me détacher pour prendre appuie et faire en sorte que les coups que je reçois, restent puissamment sur les points sensibles.

C’est le cas ! La jouissance monte, monte. Mon vagin coule. Je pars.

J’aime cette sensation et ma main ne peut que constater l’ampleur de la jouissance en dégoulinant de mouille.

 

J’ai dû mordre mon maitre durant cette phase. Pas par vengeance mais pour taire quelques peu mes cris de jouissance et essayer de gérer le plaisir quand je me sens partir (peut-être un moyen de me raccrocher au réel ?)

 

A genoux, sur les ordres de mon maître, je touche cette queue et la prend dans ma bouche. Elle est pulpeuse, belle en main. Je l'apprécie. 

3

   

L’inconnu vient dans ma bouche. Son suc n’est pas désagréable et il est abondant, abondant. 4

Impressionnant. 


J’en ai partout sur le visage .

 

Recul de l’inconnu, il se rhabille et part sans beaucoup plus de mot qu’à son arrivée !


Mon maître me prend dans ses bras et m’ôte le masque.

Je n’ai pas droit à sa queue et il me confirme qu’il faudra attendre encore. Je ne m’en offusque pas. Je sais que je la savourerai d’autant plus qu’en il me l’offrira.

 

Sur le chemin du retour, je suis ailleurs.

J’essaie de mettre en image les sensations physiques que j’ai eu, de visualiser l’inconnu. Je revis les sensations …

Peu de mot ont été prononcés durant cette séance. Mais beaucoup de sensation, d’impressions, d’imagination…

Encore un inconnu que je suis susceptible de croiser dans la rue. Encore un inconnu que je vais voir partout à la moindre odeur ou au moindre son de voix.

Que pense-t-il  de moi, comment m’imagine-t-il ?

Une chienne assurément vu ce que j’ai fait.

Par Chienne Saly
Dimanche 5 septembre 7 05 /09 /Sep 23:38

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Disponibilité requise en fin d’après midi.

 

Est-ce que l’idée de me faire prendre par des jeunes me rebute?

Oui, au premier abord.

 Puis je revois mes fantasmes où souvent des jeunes sont formés à la sexualité et je leur sers de support. Et si mon Maître leur faisait une démonstration de sa puissance, de son impact, de son emprise sur moi?

 J’accepte…

 

RDV pris, nous nous retrouvons dans un petit studio.

Mon Maître passe mon collier autour du cou, signe de son emprise, et les poignets de cuir. Les jeunes participent mais sont moins alertes. Déjà impressionnés.

Un dernier baiser, un pas en arrière et les ordres arrivent. Ma condition s’affiche et s’immisce en moi.

 

J’obéis


A IMG 0227

A genoux

Je prends leur queue tour à tour. 

Leurs doigts testent ma chatte. Je suis mouillée.

La tension monte en eux.

L’excitation et l’étonnement se sentent.

 

 

 

 


Je suis amenée par mon Maître à m’allonger sur le canapé. Offerte, il m’ordonne d’écarter les jambes. Il sait que ces mots résonnent en moi et m’excitent.

Je coule encore plus.

Il autorise ensuite les jeunes à prendre possession de mon corps, à me lécher, à me fister…


« Vous pouvez y aller »A IMG 0232

« Tu peux la fister », « tu peux la lécher »

« Allez-y »

Des mots qui résonnent aussi, qui font que mon esprit et mon corps s’abandonnent.

Moitié dans la réalité, moitié dans mes fantasmes.

 

J’entends encore ces mots…

 

Les doigts, les langues s’affèrent sur mes seins, ma chatte, mon anus.

C’est bon de se sentir remplie, abusée, soumise. Et ce d’autant plus qu’ils me tiennent les jambes écartées sous la gouverne de mon Maître.

 

Sa poigne est plus forte, plus incisive, je le sens sur ma cheville.

Il les pousse à plus et encore plus.

Les jeunes sont parfois hésitants, ou maladroits et d’autres fois « fous » de profiter de mon sexe, de ma bouche, de mon anus.

 

« Vous pouvez la baiser », « vas-y »

  Encore des mots qui sonnent.

 

Je mouille tellement que je sens peu les pénétrations vaginales. Ma bouche a toujours une queue en elle, ma main aussi. Je suis abusée de tous les cotés.

 

Pourtant, au bout d’un moment, j’ai envie que mon Maître me « défonce », leur montre comment on fait jouir une femme, comment on doit me prendre…

 

Il se lève… et me fait mettre à quatre pattes.

Offrande certaine de tous mes orifices.A IMG 0248

 

Fist à nouveau et puis lui, ses doigts qui prennent la relève. Les vibrations stimulent tout mon intérieur. Mon clito est gorgé du désir de jouir, mon ventre en meurt d’envie.

Il frotte mon clito, me regarde et sais que je suis sensible.

 

Je n’en peux plus, je sais que je vais jouir.

Il sait que je vais jouir

Et là, un ordre :

 « Ne jouis pas ! »

 

Chaque fois que cela vient, j’entends … « ne jouis pas ! »,

Je serre les dents, grimace sûrement, c’est difficile.

Pourquoi est-ce si difficile d'ailleurs de contrôler mon corps ? Probablement parce que mon esprit se bataille entre l’envie de jouir et l’envie d’obéir.

Je ne jouis pas mais l’orgasme était là, si près…

 

Mon Maître est un démon.

Soumise, j’apprends la maîtrise aussi dure soit-elle.

 

Prise anale. Sensations de repartir mais encore manque d’un petit quelque chose. Abandon certain de mon corps à ces mecs, à mon maitre….

Et puis sa queue, enfin en moi. Je suis abimée mais je savoure le fait qu’il me remplisse, ses glissements et ses impacts profonds….

 

Allongée, j’attends maintenant que ces hommes viennent sur moi, sur mon visage ou dans ma bouche. La chaleur est intense dans la pièce.

Telle une chienne, je joue et mords mon Maître.

Un tour sur lui-même et la prise par les cheveux me met à genoux. Je ne bouge plus.

Chacun s’approche et je reste corps, visage et bouche offerte à leur désir. J’attends leur semence.

 

Une expérience forte

dans le mélange de la réalité et de mes fantasmes,

dans notre réalisation de dominateur/soumise,

dans l’évidence que nous irons plus loin

Par Chienne Saly
Mardi 31 août 2 31 /08 /Août 09:23

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