Ce matin, tôt, encore dans mon lit, échange de sms.

 

Mon Maître m'excite, je mouille et Cocu le constate.

Cela l'excite aussi.

Mon Maître m'annonce sa venue : RDV sur la terrasse ou dans le lit de cocu ?

Cocu est monté sur moi, me montre son désir. La porte s'ouvre.

 

Mon Maître est là.

 

Quand il apparaît à la porte de la chambre, des palpitations me bloque puis je me précipite vers la porte. Pas la peine qu'il vienne dans notre lit.

PS : S'il s'était déshabillé, il m'aurait rejointe à coté de cocu.

 

Un instant pour retrouver la saveur de nos baisers, de nos corps. Dans la pénombre du couloir, j'essaie de le voir. Mais le sentir dans tous les sens du termes exalte mes envies.

Envie d'être blottie dans ces bras

Envie de m'offrir

Envie qu'il me prenne

Envie de retrouver toutes nos saveurs et nos ardeurs.

 

Mes caresses me mènent sur sa queue que je la sens désireuse.

Plaisir intense de retrouver l'objet du plaisir.

J'ôte ses vêtements puis les miens.

Je m'accroupis.

Plaisir de la prendre en bouche, 

Plaisir de le sentir apprécier

 

Des échanges auxquels cocu assiste en se levant pour se préparer. Boulot oblige !

Nous, nous allons dans la chambre.

Me baiser sur lui, sentir enfin sa queue me pénétrer et me caresser bien au fond.

Le voir s'abandonner.

Me voir le savourer.

 

Puis une envie de retrouver sa puissance, sa possession. Je le laisse prendre le dessus et m'abandonne.

Les coups ne tardent pas à me ressensibiliser. Je mouille atrocement.

Je sais que cela perturbe mes sensations, que cela affaiblit l'efficacité de ses impacts.

Je savoure le fait d'être remplie, les va-et-vients perturbants qui me font frissonner, qui titillent les parois gorgées de désir.

Il viendra.


Temps de calme. Cocu a besoin de sortir et la voiture gêne. Occasion sans nul doute pour m'enlever mon Maître. N'est-ce pas ?

 

Des retrouvailles courtes mais dont les saveurs ont empli mes sens et re-stimulé mes envies d'expériences....

 

Par Chienne Saly
Mardi 31 août 2 31 /08 /Août 09:21

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Deuxième fois que nos corps sont éloignés.

Défi pour eux, défi pour nos esprits.

Nous savons mieux nous préparer. Nous savons mieux le vivre.

Mais nos esprits ne sont pas au repos pour autant...........


Dans ces moments là, je ne redeviens pas forcément la femme lisse et socialement correcte.

La chienne se cache un peu plus profond en moi mais elle est là.

Pas encore prête à assumer, alors, en demi-teinte.

C’est mon esprit qui vit les situations, qui en crée et en découvre de nouvelles sachant maintenant que beaucoup de choses sont possibles.

La femme d’avant qui enfouissait et refoulait cela, vit avec aujourd’hui.

J’assume mes pensées, m’en amuse, les archive comme autant de propositions à réaliser (dans la mesure du possible, bien sur).

J’y associe des sensations et peut ainsi les vivres dans ma tête, les ressentir dans mon bas ventre : elles me sont plus réelles.


Bien sur, au niveau de mon parcours avec mon maître, je sais que de belles expériences restent à venir. Elles sont pleines de promesses au vu de ce que nous savons vivre et ressentir aujourd’hui.  

Ce futur, m’inspire et m’aspire.


Mais je sais aussi savourer le moment présent et le mettre à profit pour être plus forte… et dans ma vie de chienne et dans ma vie de femme.

 

Pour ne pas oublier nos conditions de maitre et chienne et ne pas manquer à mon dressage dans cet éloignement, des défis mutuels nous permettent de ne rien oublier.

Stimulation des sens, des images, des envies, si tenté qu’il en faille…

En tous cas, un plaisir du présent pour préparer le retour de l’autre…

Par Chienne Saly
Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 09:22

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Mon maître doit s’absenter.

Je rêve de l’intercepter avant son départ pour vivre des instants qui resteront graver en moi durant son absence… Envie de plaisir et de jouir.

Envie, depuis ce matin, de sa queue tout au fond de moi.

 

Echanges sur le net. La tension monte.

Mon corps a froid mais ma chatte brûle, mouille, liée à une toute autre partie de mon cerveau …

Il a simplement fallu que je le dise et c’est arrivé, il est venu m’honorer, avant son départ, avec une intention : essayer mes liens….

 

Dans la chambre du fond, j’apprécie ses mots directs : déshabille-toi, déshabille-moi !

Nus, nos premières sensations passent par la respiration de nos corps…

Il me met mon collier de chienne…

Ma condition est fixée…

Je la ressens.


Assise sur le lit, j’attends ses désirs.

Il me laisse baiser son corps…

Sentir et m’imprégner.

Puis, s’allongeant sur moi, il prend possession de mon être…

 

Après quelques jeux de langues, il se saisit du premier bracelet de cuir qu’il passe à mon poignet ….

Prise de pouvoir lente, entremêlée de baisers, d’élan, de désir mutuel… puis le deuxième poignet….

Je sens monter en moi l’excitation, la porte de mes désirs profonds d’attaches et de contraintes s’ouvre…. J’entre dans un fantasme…

 

Troisième bracelet cuir, à ma cheville, qu’il relie à mon poignée par une chaine.

Ma jambe pliée ne pourra plus se tendre.

 

Quatrième bracelet de cheville puis la chaine….  

Je lui appartiens, je sais que je ne pourrai pas esquiver ses désirs ou apprivoiser les miens…

 

Je suis tout excitée et me demande à quoi il va « jouer », ce qu’il va me faire ? …

A quoi a-t-il pensé en si peu de temps … ou depuis si longtemps…. !!!!

 

Il me fiste la chatte en me fixant du regard.

Il me fouille et j’aime ça !

Cela déclenche tant de choses…en mon intérieur.

 

Il place ensuite le masque sur mes yeux.

Là, je suis ailleurs… plus dans la chambre mais pas totalement non plus dans une autre pièce imaginaire … juste ailleurs

Le noir et rien que mes sensations auditives, tactiles et olfactives.

Le bruit des chaînes et des anneaux résonne.

 

Ses mains et ses doigts se baladent, me caressent, me taquinent. Tout est réactif même ma poitrine, …….tout est sensible.

Je l’entends et essaie d’imaginer ce qu’il prépare. Difficile, je sais qu’il est capable de beaucoup de choses…

je sens ses lèvres, ses baisers qui n’ont plus le même gout. Je sens ses doigts s’immiscer en moi, me fister, me faire vibrer de l’intérieur… toujours un délice pour moi… des sensations magiques…

Ses lèvres et sa langue jouent avec mon clito et avec ma chatte. Je me sens offerte, ouverte, sans contrôle sur mon corps, mon apparence… je ne peux que me laisser aller, m’abandonner au plaisir.

SensationS…

 

Puis des moments de silence, il se retire …

Il est plus loin, je ne sais pourquoi…

Que prend-il ?

Qu’attend-il ?

Que regarde-t-il ? Des clics de photos….

A IMG 0052

Les autres fois, abandonnée, ailleurs, dans l’action, je n’ai jamais vraiment eu conscience de la prise des photos. Mais là, je suis soumise à ne rien gérer tout en étant consciente par le bruit.

Soumission, acceptation de soi et acceptation face à lui … pouvoir sabandonner à soi, à lui, aux autres par désir, par envie… offrir.

 

Je sens sa queue près de mon visage.

Il la mets dans ma bouche.

Il me frappe avec .

Je la sens plus lourde, plus grosse.

Les coups me paraissent plus forts que d’habitude.

Je les reçois comme un dû.

Je ne sais pourquoi.

Juste, peut-être, par acception de ma condition.

 

Et puis tout s’arrête…

Il veut que je demande les choses dont j’ai envie.

Difficile de sortir ces mots qui bouillent dans ma tête.

Il compte à rebours et menace de tout arrêter.

Sourire …

Je finis par lui demander de jouer encore avec moi.

Trop vaste pour lui mais moi, j’ai encore envie de surprise…


Alors je lui demande sa queue.

Il me l’offre. Il me pénètre la bouche, la baise et je l’avale en gorge profonde…

Plaisir intense que j’éprouve à cela. Plus de souffle, une impression de le maitriser, de le posséder dans l’effort de l’acte. J’aimerai ne plus le lâcher.…A IMG 0054

Sa langue reprend mon clito. Le plaisir est plus intense, plus fort… la jouissance monte…et quand à quatre pates sur moi, il enfonce sa queue dans ma gorge, bloquant toute respiration, m’immobilisant le buste et la tête, je sens mon bas ventre monter en désir, se gonfler de plaisir. L’orgasme n’est pas loin… Il joue, il continue, il arrête… Je me défile pour respirer… ca vient… ca monte… je pars …

 

Dans nos échanges, je peux lécher et sucer sa queue ; il m’offrira aussi ses couilles et puis son anus. Ma langue s’y faufile, j’apprécie. Je suis peut-être chienne mais c’est un moment de soumission et de plaisir à donner que j’attendais.

 

Ses doigts et sa langue m’emmèneront jusqu’à l’orgasme. Enchainée, bloquée mais puissamment emportée… ce moment fut sublime.

 

Besoin de reprendre mon souffle pour apaiser mes ardeurs, maitriser un peu mon corps…

Attente… encore des photos…

 

Il me pénètre. C’est percutant, bon, et jouissif. Le sentir enfin au fond pour m’emporter avec lui. Il maîtrise encore et je sens sa hargne, son esprit démoniaque, son envie de possession. Je l’imagine en démon…

Ses baisers sont fougueux, puissants …

Il marque sa domination en salivant dans ma bouche… Une offrande que j’avale sans aucune réticence, une envie d’encore… je suis à lui et fière. Le plaisir est partagé.

Il ôte mon bandeau. Ses yeux ont effectivement la profondeur démoniaque que je voyais. Malgré la vue retrouvée pour tous les deux, je vois bien qu’il est encore possédé.

Prise par devant et à quatre pattes, la jouissance est là, avec ces niveaux d’intensités, ces sensations différentes ….

 

J’ai aimé me sentir possédée par ce démon que je ne connaissais pas encore. Une promesse de plaisir à venir non dissimulable.

Et une vision de la chienne qui, au fond de moi, peut se laisser aller dans ces moments sans repères et apprécie les choses plus vicieuses et perverses … J’ai senti cette chienne se rebiffer par provocation… échanges démoniaques.

 

J’entends encore le bruit des chaînes et des bracelets…

Par Chienne Saly
Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 09:55

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Une semaine d’absence, de silence, besoin de retrouver nos marques.

Retour dans cette parcelle de vignes empreinte de saveur.

J’ai été sage.

La chienne qui est en moi n’arrive pas à se libérer seule.

Pas encore envie, pas encore la fibre extérieure et instinctive…

Mais dès que je suis dans ses bras, les désirs interdits remontent.

L’envie de provocation surgit…


Quand il me pousse sur le capot de la voiture, je ne peux qu’écarter les jambes et lui offrir ma chatte nue et lisse …

Je retrouve ma condition de chienne, mon appartenance à ce Maître…

Je m’offre à lui sans retenue, je n’ai pas envie de moins … je le provoque…

Il me saisit, en profite, me lèche, me caresse…

Je suis aux anges, je subis et je m’abandonne, j’aime ça !


Nous jouons sur ce capot, sexe contre sexe.

Sensation de pénétration…

Passage de sa queue entre mes jambes, entre mes fesses.

Ma chatte brûle intérieurement. Des contractions m’amènent aux portes de la jouissance. J’y suis presque. Mes jambes et mon corps frémissent. Mes yeux clos amplifient mon ressenti interne.

Je coule.  

Ces moments sont forts en intensité…. Nous les aimons car ils transcendent la jouissance physique.

 

Moi, trop sage à son goût et lui, trop envie de s’adonner à ses désirs, je sens une claque sur mes fesses. Alors je m’incline et lui offre mes arrières. 

La fessée est appuyée et cinglante. Elle sera courte. Mais j’ai l’impression que des pulsions sont remontées en lui.


Trop le désir de me faire jouir. Il me met la tête par la fenêtre et me prend par derrière. Je savoure cette pénétration et ses mouvements de va et vient. Je retrouve ses caresses percutantes.

Plaisirs…

 

Nous passons sur les sièges arrière. Ma position courbée amplifie les effets, ma chatte parait plus étroite. Il sollicite mes profondeurs sans retenue.

Cela me passe partout.

Des vagues de sensations .

Je sens sa queue gonflée plus qu’à l’habitude, je la sens glisser sur les parois.

Les impacts sont plus marquants, plus appuyés.

… Il vient… je suis heureuse et comblée...

Par Chienne Saly
Dimanche 8 août 7 08 /08 /Août 10:11

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Passer non loin de lui, c’est l’envol de l’esprit

Il suffit d’un message et tout bascule…

 

Hier, j’étais proche et suis rentrée sans le tenter

Difficile, j'en mourrais d'envie...

 

Aujourd’hui, toute proche, un message m’a fait faire demi-tour

Je n’y tiens plus et lui non plus.

Envie de voir mon maître, de le sentir là

Envie de vivre mes pensées du matin où je savourais sa queue

 

Il passe me prendre.......

Nous roulons : nous allons faire le tour de la ville .

Je me rapproche et je sens son désir :

Désir que je prenne sa queue, là,

Désir de frisson, de sensation et d’exhibe.

 

J’entre dans notre délicieuse bulle.

Je savoure, je joue.

Je reste attentive,

A ces lâchers prise, à son plaisir.

Je ne vois pas la route, je ne vois pas les gens, ni leurs regards.

Je sais seulement que l’on peut me voir.

L’excitation monte.

 

Nous allons à la maison.

Cocu est là, étonné de notre arrivée.

Avant de descendre, Maitre MaX me fait ôter mon string mouillé. C’est un cadeau que je remets à Cocu pour qu’il constate l’effet de mon excitation, le temps d’un trajet.

Dès l’entrée dans la maison, nous nous laissons envahir par le désir.

 

Cocu est chargé de prendre des photos.

Mais bien vite, il sera mis à contribution.

Il doit me lécher, tandis que face à mon Maître, je me délecte encore de sa queue.

Des échanges de regards complices, dans l’excitation que nous procure la situation, font monter le plaisir.

Je jouis sans résistance, j'ai laissé mon corps ne plus être mien.

J'ai laissé mon esprit s'adonner, s'abandonner au plaisir.

 

Nous allons dans la chambre, Maître glisse sa queue dans ma chatte.Une différence avec celle de cocu... n’est ce pas ?

Je le sens impressionné et il l’a été.

Dessus, je descends,

Je savoure la pénétration jusqu’au fond de mon antre, les va-et-vient variés stimulent mes parois désireuses.

Je joue, je le sens. Tout n’est que sensation. La jouissance est là.Copie de Jlt2010 013

 

Volte face, mon Maître prend les choses en main.

....

Sa puissance, ses percussions, les rythmes m’enivrent et me font jouir.

 

Ces situations provocantes sont pour tous les trois la force de notre relation, la stimulation de nos plaisirs, la puissance de notre imagination et le moteur de notre perversité… 

 

Par Chienne Saly
Vendredi 23 juillet 5 23 /07 /Juil 09:35

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Maître MaX souhaite jauger mon état de chienne et mon obéissance.

Les consignes pour cette rencontre : une mini-jupe, un chemisier, les bas, pas de culotte et le plug.

PS : Il fait tellement chaud que je n’ai pas mis les bas. Mais je les ai emmenés au cas où cela poserait un problème.

 

Le RDV est pris.

Mon Maître m’amène en voiture sur les lieux qu’il a choisi : ruine d’une ancienne maison bourgeoise.

Une voiture nous suit. C’est l’autre maître, l’éducateur !  

Je ne vois pas son visage dans le rétro.

J’aurais aimé l’entrevoir. Pas voir, juste entrevoir mais j’aime cette idée, cette situation et joue le jeu.

 

Arrivés, nous descendons les premiers et nous nous dirigeons vers la maison. Je ne me retourne pas.

Sur les lieux, mon maître me prépare : il me met mon collier, me serre dans ses bras puis me masque les yeux. Nuit noire. Il me plaque contre le mur et me demande d’attendre.

Sentiment étrange de solitude, pas d’appréhension, j’attends les évènements. Curieuse de connaitre de nouveaux plaisirs.

 

Les pas reviennent, mes sens essaient d’évaluer la personne qui arrive, de différencier les pas de mon maitre et les siens.

Copie de Jlt2010 002

Je lui suis présentée. 

 

La tension monte.

 

Cet éducateur me touche, me tâte, ces mains étrangères m’encerclent.

Je suis toujours contre ce mur, mon seul repère, ma seule image.

 

Je suis présentée comme une « pouliche », devant, derrière.

 

Ses mains ouvrent mon chemisier, remontent ma jupe.

Je suis offerte à leurs vues. Je sens le recul de cet éduc pour mieux me regarder de bas en haut. 

 

Cette sensation d’être mise à nue est angoissante. J’ai l’impression d’être jugée et même que l’on peut lire en moi sans pouvoir jouer de mon apparence, de mon charme.

Etrange sensation de ne pas échanger, d’être juste l’objet de mon maître, offerte à cet étranger.

Dans ma tête, cette conscience des faits m’oblige à un travail pour passer outre le jugement des autres et à lâcher prise sur le bien paraître.

 

J’écoute cette nouvelle voix qui me demande de lui répondre, de me positionner. Encore un challenge : parler, répondre sous ses regards inquisiteurs. Je sais que je dois le faire. c'est comme cela.

Maître MaX me pousse à plusieurs reprises. Difficile, timide, j’arrive à donner mes réponses.

 

Cet homme me serre contre lui, passe ses mains partout et triture ma poitrine. Il me pince, me mord. Première fois que mes tétons sont mis à l’épreuve.

Copie de Jlt2010 006

 

C’est un peu douloureux mais je dois tenir pour aller plus loin, m’habituer pour progresser. 


 Je sens lorsqu’il est contre moi, sa queue pleine d’envie, dure. Son souffle est désireux. Mon Maître n’est pas loin, je l’entends, je le sens.


Dans cette situation, je mouille, je le sais. Je touche, je suis trempée.

Plaisir augmenté par les rappels à l’ordre de mon maître au moindre écart : « reste plaquée au mur », « écartes les jambes »…

Et puis sa main qui vient se poser sur ma gorge, me serre, m’étouffe pendant que l’autre jauge mes orifices, mon clito…  je sais, je sens que je dois obéir…

Soumise à son regard de maitre, je subis les attouchements de l’autre.

 

Face au mur, je reçois des claques sur les fesses. Fortes mais retenues.

Pour moi, c’est le début de ce qui m’attends, pour une fois, mon imagination part dans des délires de soumissions plus douloureuses : fessée plus forte, plus marquante.

Cela n’ira pas si loin.

L’éduc souhaite me faire jouir en me fistant.

Penchée contre mon maître, il ôte mon plug sans délicatesse. Une douleur intense se propage. Il me fouille. L’agitation de ces doigts bien placés me fait jouir sans résistance. Je ne peux m’empêcher de gémir ou crier. Je lâche prise dans les bras de mon maître. Je ne pense plus. Je subis. Je suis ailleurs.

 

Suite à cela, des questions me submergent : quelle vision a eu mon maitre de moi,, qu’a-t-il ressenti ? Les mots « chienne », « elle aime ça » et « jouisseuse » me reviennent en tête….

 

A nouveau plaquée, dos au mur, cet éducateur entreprend de caresser mon clitoris pour me faire jouir à nouveau.

Tâche plus ardue. La longueur de l’acte et l’éloignement de mon maître me font vaciller entre abandon et conscience de mon état. Pourtant, les doigts de ce maître sont assez doués. Je pars puis me raccroche à un bruit, une envie d’entendre mon maître. Finalement, je me laisse aller et jouie.

 

Ce n’est pas fini, encore une zone à tester.


Educ se met à me fister la chatte. Je me laisse aller et descends sur sa main pour l’enfoncer en moi. Je suis chienne... J’aime que l’on me fouille ainsi et que l’on titille mon profond intérieur.

Mon sentiment, à ce moment là, est que je subis les désirs de ce maître et choisie de m’empaler sur sa main (chienne avant tout). Mon Maître va-t-il réagir ? que pense-t-il de sa chienne ? Je n’ai pas un total abandon de moi, j’en suis consciente.

Cette situation tire mon esprit vers la perversion (empalée) et me laisse entrevoir la possibilité d’aller plus loin.

A certains moments, d’ailleurs, le pincement de mes lèvres entre ces doigts me laisse à penser qu’il me prépare à recevoir des pinces.

Mon imagination perverse à dépasser la réalité.

J’ai joui plusieurs fois.

 

Je dois accepter maintenant de ne pas en subir plus.

D’attendre une autre fois pour savourer les plaisirs interdits, la perversion.

L'éducateur s’en va, je suis contre ce mur et attends que mon Maître retire mon bandeau et me prenne dans ces bras.

J’espère ne pas l’avoir déçu, j’espère ne pas avoir fait de faux pas…

Il me réconforte.

Je me plais à retrouver ses bras, son regard, ses baisers.

 

Je ne sais pas le physique que pouvais avoir cet homme. C’est troublant. J’en ai une idée en tête de par mes touchés.


Et le soir, au resto avec mon cocu, je ne peux m’empêcher d’être perturbée par des hommes de ma stature avec des polos et pantalon en toile.

Qui a pu abuser de moi ainsi ? 

M’a fait jouir ? 

Me reconnaitra-t-il ? 

 

J’ai été prise et juger chienne par quelqu’un qui ne me connaît pas, que je ne connais pas. Encore une assimilation de condition à faire.

Mon esprit titillé a imaginé des choses plus perverses, se préparait, à recevoir des actes plus marquants…

Je me sens prête pour aller plus loin, c’est sûr.

Par Chienne Saly
Dimanche 18 juillet 7 18 /07 /Juil 22:25

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Il y a longtemps que je souhaitais m’offrir à lui dans les vignes.

Un message de mon Maître me sollicite pour une telle rencontre.

Nous faisons les vitres avec mon Cocu.

J’envoie un sms : « OK, je me change ». Je suis toute ardente.

Sourire aux lèvres, je laisse mes chiffons et part à la douche. Cocu L. me regarde étonné mais se doute de ce qui ce passe. Je le lui confirme en lui spécifiant de finir seul, je vais rejoindre mon Maître MaX.

Tout penaud, il reprend sa tâche et s’y applique.

Prête, robe dos nus simple et rien dessous, je file en précisant à Cocu L de passer le balai avant mon retour.

 

En route, un sms me guide vers une parcelle de vigne.

Je l’aperçois et il me dirige à la lisière d’un bois.

Sublimes retrouvailles, envie réciproque de les savourer.

 

Il fait particulièrement chaud. Dans la voiture, la clim essaie de calmer les feux qui nous consument depuis plusieurs jours. Mais nous ne tiendrons pas ainsi confinés. Envie d’exploser, d’espace, de liberté.

Nous sortons. Il me prend en main contre la voiture… désir charnel, sensualité……

 

Puis son côté dominateur prend le dessus. Nous allons entre les rangs de vignes.

Le jeu s’accentue, nos vêtements tombent. Les mots de mon maitre sont directs et précis : « tourne-toi », « montre-moi », « cambre-toi »

J’obéis, j’aime ces ordres là et à chacun d’eux se mêlent l’envie d’obéissance et l’envie de provocation par ces positions tellement féminines et aguicheuses. Je les aime et accentue le désir en me frottant à lui.

Séduction !  Peut-être ! Sûrement…

Chienne et femme….

 

« Mets-toi à genoux », « accroupie-toi »

Sa queue est là, belle, pleine d’envie et de désir. Je m’en saisie et savoure toujours autant sa douceur, sa grosseur. Je m’en délecte et ne peut m’empêcher de passer ma langue partout.

Le vent passe entre mes jambes, rafraichissant ma chatte mouillée, tout en attisant mes envies.

Puis, je prends sa queue entre mes jambes, le caresse, mouvements simulant l’acte, notre excitation monte et atteint son maximum. Mon clito est sensible au plus haut point, je frémis de plaisir, de jouissance.

Désir brutal de me prendre.

Prise par les cheveux, je suis plaquée sur un piquet, jambes écartées. Il s’imbrique, se frotte, me caresse, me bouscule.

J’aime être coincée ainsi à sa merci. J’aime subir cette brutalité. Elle me soumet, me rebelle, me permets de m’offrir plus encore…

Il me retourne et me prend…..

Une jambe levée, l’écart lui offre toute ma chatte. Sa queue ne tarde pas à atteindre le fond, les endroits qui stimulent des vibrations internes incontrôlables.

Enlacés, les pénétrations s’enchainent, changent de rythme, et je sens chacune d’entre elles comme autant de vibrations différentes.

Nous avons chaud mais le vent, sublime ce moment…..

Puis il me prend par derrière. Moins de sensations. Est-ce que je mouille encore de trop ? …

Il me dirige alors vers le capot de la voiture. Basculée dessus, je le sens s’immiscer en moi, reprendre ses mouvements. Toujours plaquée, soumise, jouissant de cette position.

 

Mais nos esprits se baladent…… Il sait que je peux être dessus, que j’aime lui donner du plaisir et trouver mon plaisir moi-même sur sa queue.

Pour être plus à l’aise, nous allons l’arrière de la voiture.

Allongé, mon maître me laisse glisser sur lui. Prendre sa queue et l’insérer dans ma chatte. Satisfaction immense de savoir qu’il m’offre la prise en main.

Je me caresse profondément ainsi. J’accentue des mouvements. Je cherche. J’apprécie.

Mais me soulevant dans ces bras, il se met à me percuter fortement et profondément.  Je trouve une position ouverte qui donne à ses mouvements toute latitude. Et là, Plaisirs des plus intenses, enivrements, il m’emporte avec lui, nouvelle jouissance.

C’était particulièrement plus fort et plus précis.

A savourer sans modération.

 

Nos souffles se calment dans les bras l’un de l’autre.

Retrouvailles intenses, attisées par le désir et nos échanges.

 

Je rentre, heureuse du plaisir qu’il m’a donné, heureuse de lui appartenir.

Cocu a fini ses tâches et ne peut que constater que la jouissance me ravie.

 

Par Chienne Saly
Dimanche 18 juillet 7 18 /07 /Juil 21:51

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Pourquoi me mettre à ses pieds ?

C’est mon Maître, je suis sa chienne.

C’est ma place en tant que telle, dira-t-on.

 

Nous évoluons toujours et j’évolue toujours sous sa gouverne. J’extériorise petit à petit beaucoup de choses qui sont en moi, enfouies pour des questions de bienséance, de paraître, d’intégration à la société…

Négligeant ainsi des fantasmes de femme et de jeune fille tout à fait accessibles, m’interdisant de me réaliser parce que je suis une femme et pas un homme.

Grâce à mon Maître, j’explore mes possibilités et mes envies.

Echange de réalisation personnelle.

 

Etre à ses pieds, un acte, partie de mes fantasmes.

Pas esclave, j'en fais le choix.

Je lui offre ces positions si provocantes et pourtant si symboliques d’un désir envers lui.

 

Et au-delà de lui offrir, j’y ai plaisir !

 

A ses pieds :

La soumission n’est plus perçue comme telle

C’est une offrande

Un désir de plaisir, ...de faire plaisir.

Plaisir de voir le désir,

Désirer et se faire désirer.

Susciter l’envie

Faire tomber les barrières de l’interdit,

De la bienséance.

Ouvrir les portes de nos esprits,

De notre conscience.

Les portes de nos propres réalisations !

 

A ses pieds,  

Heureuse, Désireuse, 

Séductrice et Provocatrice,   

 

Copie de Jlt2010 077

 

   Copie de Jlt2010 072  Copie de Jlt2010 066 Copie de Jlt2010 061

 

 

 

 

 

 

Par Chienne Saly
Samedi 10 juillet 6 10 /07 /Juil 22:02

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Aujourd’hui, envie d’attacher mes mains, de m’immobiliser pour me soumettre à ses désirs. Beaucoup de messages en ce sens. Mon Maître veut abuser de moi et moi je veux lui offrir mon corps.

Départ pour les bois.

Collier dans le sac…

 

Là, Maître MaX me lie les mains dans le dos, et me caresse. Puis il me bande les yeux. Je ne sens plus que ses lèvres, son souffle, ses mains et son corps. Je me sens plus sensible à ses touchés. Cela dure un moment que j’apprécie et savoure...

 

Le bandeau tombe. Alors dans un élan, il me penche dans la malle ouverte de la voiture, les jambes écartées. Ma tête en appui, je vois mon entre-jambe puis son visage et sa langue. Je la sens passer partout, m’effleurer, insister… humm 

Puis à nouveau ses mains ………

 

Là, j'entends une voiture s’avancer sur nos traces. Les portes claquent et d’autres participants arrivent…

   

Moi, penchée, offerte, prête à être ouverte.

Pourquoi me relever, mon Maître m’impose cette posture et je ne crois pas avoir envie de savoir exactement qui descend.

Sentiment de gêne et de honte mais plaisir d'être à disposition sous sa coupe. 

Ne pas reconnaître de suite les visages, entendre mon Maitre les convier....

Sentir qu'il leur offre la possession de mon corps, savoir qu'il est là, même en retrait………Voilà ce que j'ai aimé, voilà ce qui m'a fait mouillée.

Ce n’est pas tant leur queue que la situation.

Je suis partagée entre savoir qui arrive exactement et l’envie de fermer les yeux pour tout ignorer. Mais j’ai regardé.

 

Et les mains commencent à me caresser, les doigts à me pénétrer la chatte, puis l’anus. Certains écartent mon soutien gorge.

Je ne sais pourquoi je ne vois pas, mais je ressens toujours la honte de m’abandonner entre leurs mains pour leurs plaisirs, pour qu’ils me donnent du plaisir….

Je me sens chienne, à ce moment là…

 

Puis, Maître MaX me fait mettre à genoux pour que je puisse admirer chacun d’eux, que je puisse les gouter un à un. Trois queues, trois visages connus.

   

Il s’allonge ensuite au sol, me demande de venir sur lui et de prendre sa queue en moi.

Je m’exécute.

Je sais ce qui m’attend, ce que nous allons vivre et savoure déjà.

Plaisir de la double pénétration comme s'ils nous baisaient tous les deux en même temps.

Se mêlent alors les sensations physiques (selon les mecs) et les sensations de partage du plaisir.

Encore plus intense.


J’aime toujours autant être prise en étau, remplie et prisonnière.

Toujours des mouvements de bassins pour accentuer les ressentis internes et caresser mes partenaires.

Chacun y passe. Puis il me relève et veut m’offrir en sodomie. Pour le provoquer quelque peu, je me mets en appuis sur lui. Il sait que les effets divergent. Il lit dans mes yeux et jauge surement les impacts. En tant que maitre je sais aussi qu'il observe mon désir et mon plaisir… Je sais qu'il me lit…


Cette séance fut longue et jouissive.


La fin de la séance est une offrande de sperme de chacun, perturbée, il est vrai par nos états de démangeaisons avancés dus aux piqures de moustiques. Les aléas des bois.


Une étape où j'ai entrevu quelque peu aussi, dans cet état de fatigue, comment on pouvait basculer, devenir un "objet" si mon Maître et ma raison n'avaient pas été là.

 

 

Par Chienne Saly
Jeudi 8 juillet 4 08 /07 /Juil 17:43

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Ce nom, nous l'avons choisi ensemble.

Tu devais me dresser, il fallait que tu me désignes par un surnom qui me rappelle sans cesse ma nouvelle condition : de soumise à salope les choix étaient multiples...


Mais rien ne correspondait à ma personnalité ou du moins à mes envies, à mes désirs de réalisation. Ceux enfouis au fond de moi, ceux qui me revendiquaient comme femme libre de ses plaisirs, de ses choix et surtout pas esclave d'un homme.


Comment concilier tout cela ? Comment se donner à son Maître sans en être esclave? Comment concilier mon fort intérieur à cette nouvelle condition?

 

Nous ne savions pas la voie que nous allions prendre et en l'occurrence que nous allions quitter les sentiers battus de tous schémas maitre/soumise.

 

Après nos premiers échanges, "chienne" est venu naturellement pour moi, pour nous. 

D'une part parce qu'en situation je réagis comme une chienne en chaleur, j'en veux et en redemande.

D'autre part parce que j'ai besoin de me retrouver au pied de mon maître, de sentir ses caresses, ses regards, de lire en lui comme il lit en moi.

Fidèle comme une chienne, pas d'envie d'aller vers d'autres maîtres, d'autres hommes. J'écoute et obéis avec, c'est vrai, quelques bribes de caractères rebelles.


Chienne simplement pour tout cela...

 

Par Chienne Saly
Mardi 6 juillet 2 06 /07 /Juil 21:45

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Chaleur intense en extérieur, orage dans l’air, "lourdeur" du moment……

Envie d’une douche.

 

Mon maître et moi en avons une envie irrésistible nourrie par les souvenirs antérieurs de nos caresses sous les eaux.

Je rentre à la maison, encore toute en chaleur (de part les transports que je viens de quitter).


Puis un deuxième sms lui commande l’ouverture du portail.

Je n’y crois pas, mon Maître va venir...


Cocu ne quitte pas son bureau.

Moi, en robe dos nus, je ne porte plus rien dessous. Pourquoi ?

 

Explication : en rentrant sous cette chaleur, Maitre me fait part d’une demande par sms. Il fait chaud, je n’ai pas de soutien gorge mais un string : « enlève ce string dès que tu seras sur le parking avant de prendre la voiture ».

Terminus, clé en main, je file sur le parking. Ma voiture est en fond, chacun monte dans la sienne et moi, j’ouvre la porte, j’ôte mon string et sans me retourner, le balance sur le siège passager. Je prends place et j’avoue que je ne me suis pas retournée pour voir si quelqu’un avait vu la scène…

Je sors et rentre à la maison, jupe relevée et string à côté.

NB : J'avoue que j’ai juste abaissé ma jupe, lorsqu’à un feu, une mobylette s’est arrêtée à coté de moi. Pardonne-moi pour cela STP.

 

La porte d’entrée s’ouvre, mon Maître est là. Je n’ose pas dire « enfin ».

Echange de regards, l’atmosphère est pesante, nos corps brûlants, un seul désir : s’enlacer sous l’eau.

 

Dans la salle de bain, jouxtant le bureau où nous avons envoyé Cocu, les vêtements tombent un à un.

Il me bascule sur l’évier et ballade ses mains, ses doigts, me presse son sexe sur les fesses. Exquise sensation de désir, de possession ……

Exquise sensation de couler sous ton emprise….

Je sens sa queue gonflée tout contre moi …

 

Au bord de la baignoire :

Il est assis, je me plaque sur lui. Enlacés, nos sexes se rapprochent, se frôlent.

Là un désir tout autre nait. Je prends sa queue et la maintient pour me frotter délicieusement dessus. Je coule de plus belle.  

Divine sensation d’offrir du plaisir à celui que je vénère.

J’aime ces instants, ces caresses…

Comme si je pouvais le posséder quelque peu….

Nos sens s’emportent, nos souffles s’expriment et les caresses nous mènent à la jouissance…

Il se retient, savoure, parfois plie mais ne cède pas…

Moi, je frémis, mes jambes tremblent un peu et fléchissent sous le plaisir qui m’envahit et me fait lâcher prise.

 

Sous la douche :

Nous aimons sentir l’eau s’écouler sur nos corps brulant de désir. Emplir nos bouches en appel l’une de l’autre, boire quelques gorgées comme si l’on buvait l’effluve de l’autre. Tenter par le mur d’eau d’éloigner nos peaux magnétisées.

Le jeu est intense en sensations, ressentis profonds, internes, physique et psychique.

 

Nous demandons à Cocu de nous apporter les serviettes. 

Amplifiant notre excitation, notre provocation, nous poussent vers la chambre.

 

J’aime quand mon Maître m’allonge avant de se glisser sur moi.

Quand je sens petit à petit son corps me recouvrir, sa queue arriver entre mes jambes qui ne peuvent que s’ouvrir sous le désir.

Encore des jeux de caresses.

Des jeux d’échange de règles où je peux tenter de te dominer, de l’amener à moi en lui donnant du plaisir, en me donnant du plaisir.…

Envie de me pénétrer, d’aller tout en moi, pour me faire vibrer.

Il me pénètres...

 

Douceur d’un moment subtil.

Puis la fougue, le désir de m’emporter là où je ne me contrôle plus.

Il sait si bien le faire maintenant.

Je ne peux résister à cet élan ciblé et efficace.

Il connait les positions qui me transportent.

 

Cocu assiste au final de jouissance.

Couchée sur sa cuisse, il répartit sa semence à portée de langue.

Je le lèche, non sans excitation, savourant ce breuvage que j’aime tant...

Par Chienne Saly
Mardi 6 juillet 2 06 /07 /Juil 00:53

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Je relis les articles "Obsession" et "Envies"

 

"Envies" résonne toujours au fond de moi.

 

Mais nous pouvons y ajouter des envies de liens, d'attaches et de punitions.

Des envies de plaisirs différents, toujours dans l'intensité.

Des envies de réalisation, dans tous les sens du terme...

 

Maître, Démon, emmènez-moi encore, encore plus loin...

En moi et en vous...

Là bas...

 

Ta chienne Saly

Par Chienne Saly
Samedi 3 juillet 6 03 /07 /Juil 17:29

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Poursuite de nos expériences pour toucher à ce que j’affectionne dans mes fantasmes : l’attache, le bondage, l’immobilisation pour la soumission aux plaisirs…

Maître et moi, nous sommes rendus dans un lieu isolé où C. nous a initié au bondage et suspension.

 

Maître, lecteurs, voici ce qui m'est passé par la tête :

1ère posture
: la mise en place est très excitante, longue. Les mains et les cordes me frôlent le corps, les parties intimes.
Pas évident, non plus, de se retrouver nue devant un inconnu, qui s'approche et ne peut être que témoin de cette soumission à mon Maître... et de cette ouverture possible aux autres....

 

Copie de J2010 008

Copie de J2010 016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- La corde dans les fesses m'a rappelé la situation de Sasha qui m’avait tant excitée et dans celle de mes nombreux fantasmes.  

J'ai savouré cet instant et il était tel que je l'imaginais…

Copie de J2010 037                 

Copie de J2010 038

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La suspension m'a faite me concentrer sur les points qui me faisaient mal ou plutôt me concentrer sur un état où je pouvais les oublier….. Etrangement, j'étais bien.


Copie de J2010 039
Je n’étais pas que dans ma bulle et mon Maître a su intervenir.

J'ai aimé quand mon Maître m'a fessé parce que je ne pouvais bouger.  

Aimé quand il a joué à me fouiller, à me caresser.......

Certes il ne pouvait pas abuser de moi et cela l'a peut être frustré et moi aussi.

Nous ne pouvions aller plus loin...... mais cette soumission était pleine de plaisir....voir jouissive.

Je me souvienscomme ma chatte était mouillée …..

 

Quand C. a desserré les liens du buste pour me faire pencher en avant, je me suis retrouvé à hauteur de vos ceintures. Là encore, mon imagination est repartie : Maître aurait pu me faire sucer sa queue, pour une fois que je n'avais pas les mains libres !!

Je crois que l'on était plus ou pas dans le truc..... Mais moi, les idées me passaient dans la tête.

 

Puis vous m’avez laissée, je ne sais combien de minutes, seule, suspendue. Copie de J2010 044  

 

 

 

Je ne craignais rien, j’étais bien. Je suis restée à attendre, calme, concentrée, que vous veniez me libérer de cette soumission. J’imaginai être puni dans l’attente d’une suite plus sévère……je me calmais petit à petit dans une apnée……..

 

 

 

 

 

 

2ème posture :


Copie de J2010 065Copie de J2010 070Copie de J2010 072

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J'aurais aimé déclencher quelque chose chez mon Maître, chez vous.

 Mais celle-là était plus douloureuse : aux cervicales, aux jambes et au thorax. Elle m'a vraiment forcé à me concentrer à ne plus jouer à mordre ou autre...

Mes sourires étaient plus crispés.

La tension est redescendue.

Quand mon Maître m'a léché, j'ai oublié quelque peu la douleur mais c'est vrai que je vacillais entre les deux et j'ai vu dans ses yeux que même s'il aimait ça, il n'était pas à l'aise...

 

Voilà mes sensations du moment. En dehors du côté sexuel, plaisir et jouissance, je suis heureuse d'avoir mis mon corps et mon mental à l'épreuve. 

 

Pour moi, nous n'avions peut-être pas suffisamment décidé de ce que l'on voulait mais c’est par manque de connaissance peut-être.

Ce que nous savons maintenant c'est qu'il nous faut des jeux associés.
Je sais que je peux supporter, nous pouvons donc aller plus loin. Première étape réussie !


Copie de J2010 047 Copie de J2010 051

Maître, sachez également que cette séquence a eu des effets pervers sur moi ce WE.

   

La nuit suivant cette étape, j'ai été obsédée par mon Maître.

Tu m'as réveillé toute la nuit : les cordes ont gravé sur mon torse une marque et une douleur interne qui me piquaient au moindre mouvement.

Et j'ai bougé, croyez-moi.......

A chaque réveil, mon Maître était là, je pensais à mon appartenance, ………

Omniprésence de son regard sur moi.

 

Le soir de cette étape, impossible de remettre une culotte et même de fermer les cuisses. Les cordes m'ont rimé l'aine de mes jambes m'obligeant à rester les jambes écartées encore offerte....

La sensation que mon Maître me contrôlait encore... !! 

 

Cette étape désigne ma soumission et plus, marque sa domination sur mes sens.

C'est obsédant, marquant dans tous les sens du terme.
Il m'a dit ne pas être entré sur le moment dans ma bulle, je crois qu'il n'a pu se défaire de la sienne.

Si nous avions été allés plus loin mais qu’auraient été ces pensées et cet obsédante sensation de contrôle !!!!!

Par Chienne Saly
Dimanche 27 juin 7 27 /06 /Juin 00:44

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Nous sommes après ma journée "pluguée".

Maître MaX est là, il vient d'arriver sans prévenir, par envie de moi, par envie de m'avoir à lui.

Je porte encore le plug et n'ai d'autres choix que de lui montrer sous les yeux de Cocu.

Mise en position de soumission, je sais que tout se voit et que mon antre est béante au travers de ce plug translucide.

Cocu prend des photos...

Je suis mouillée évidemment, la surprise de le voir arriver n'y est pas indifférente. Enlacés dès le début, le contact de nos deux corps a eu raison de mes sens.

 

Jeux à 3......


1er étape, Cocu doit me baiser avec mon plug et sous les yeux de Maître MaX attentif à mes souffles, à mes attitudes...

Cocu abandonne et me lèche....

Situation de plaisir ...je me délecte plus du scénario que de l'effet......


2ème étape, nous mettons Cocu dans le placard à persienne de la chambre......

Il regarde par les interstices....

Allongés sur le lit, nos deux corps se respirent.  

Plaisirs d'un jeux de caresses corporelles, de stimulation sexe à sexe, de mains....

Une jouissance montante et nouvelle pour moi que j'éprouve et apprécie de plus en plus avec mon Maître....

Une pression qui monte semblable aux caresses menant à l'orgasme.  

Est-ce physique ou psychique ?

Les yeux clos et le souffle de mon Maître me font comprendre qu'il vit la même chose.

J'aime, et je ne sais quand cela peut finir.  

Douce intensité.........

 

Envie de me pénétrer..... pas encore,...... encore envie de ce plaisir.....

Plaisir qui se traduit par des regards, des soupirs, des souffles, des frissons, des vibrations..........

 

Quand il me pénétre enfin, l'excitation préalable fait que mon intérieur est encore plus sensible qu'à l'habitude.... l'atteinte de mes profondeurs se traduit directement par une jouissance : une vague de plaisir qui envahit mon antre, mon ventre et remonte au plus profond de moi........ les va-et-vient lents prolongent cet effet.....

Puis l'apaisement et l'appréciation des butées profondes comme autant de vagues qui arrivent sur les rochers....

Maître l'a compris, il faut changer l'intensité.

Comme un orage arrivant, la foudre et les éclairs n'ont de cesse de me pénétrer et stimuler tous les points les plus sensibles. Cela s'enchaine comme autant de vagues déferlantes par ce temps orageux. C'est si bon de perdre pied, de ne pouvoir contrôler les impacts de foudres et de sentir qu'ils s'enchainent que pour votre plaisir..........

Et celui de mon Maître.......

 

Jouissance extrême....

Parce que je ne controle pas.....

Parce que ces sensations profondes me font basculer, ..........

Parce qu'il me comprend........

Parce qu'il aime le plaisir et la jouissance réciproque.........

Parce que nous sommes en osmose.......

 

Nous ouvrons le placard, Cocu y est à l'étroit.

Maître a répandu sur mon ventre sa semence.

...

Cette semence que j'apprécie tellement........

 

Cela promet de doux scénarii à venir....

 

 

 

Par Chienne Saly
Jeudi 24 juin 4 24 /06 /Juin 20:50

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Je l’ai mis en début d’après midi et envoie de la photo à mon maitre.....

mise en place du plug

 

 

J’ai mangé, vaqué à mes occupations et discuté sur le net avec mon Maître.

Le porter assise n’est pas vraiment agréable entre les fesses mais donne un plaisir apaisant en mon intérieur.

Lors de mes occupations (en jupe et sans culotte, je précise) je me suis accroupie, penchée… Pas de sensation que j’allais le perdre, juste des contractions pour vérifier son positionnement.

Impossible d’oublier qu’il est là. C’est sûr. Sensation permanente.

Assise, mon vagin a coulé mais étrangement sans autres ressentis. ….

 

J’ai ensuite décidé d’aller marcher pour connaître d’autres sensations… J’ai fait les magasins…

Pas de grands éclats, de grandes stimulations. Juste mes pensées continues sur mon cul et les contractions de vérification…

Alors j’ai marché plus et plus longtemps. J’ai juste eu la sensation d’avoir quelque chose dans les fesses. Un peu plus de caresses internes qui m’ont fait mouiller encore, c’est vrai…

 

Ce n’était pas une expérience extraordinaire. Juste ces pensées permanentes sur mon cul et envers mon Maître mais pas de jouissance.

Une soumission par la pensée à mon Maître, oui...

   

Peut-être devrais-je marcher plus longtemps sans interruption ?....

 

Le soir, Maître MaX est venu vérifier le port devant Cocu  vérification du soir

 

 

Par Chienne Saly
Jeudi 24 juin 4 24 /06 /Juin 12:48

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