Nous allons dans les ruines de la maison bourgeoise. Le temps s’y prête. Un homme dit éducateur viendra nous y rejoindre pour parfaire mon éducation. Les règles sont établies entre eux. Pour ma part, j’ai le droit de jouer, de ne pas tout subir, peut réagir selon mon ressenti.

Mon Maître est sérieux, ça calme quelque peu.

 

Attente dans les ruines…

Nous nous rendons dans une des pièces pour patienter. Des craquements nous préviennent de l’arrivée de l’éducateur. Masque, pas masque. Comment lire dans mes yeux ? Alors cela sera sans.

Personne ne se présente. Maitre MaX me demande de lui montrer mon bleu à la fesse qu’il m’a fait à notre dernière rencontre.

Prétexte pour me mettre contre le mur, me faire remonter l’imper et baisser mon jean. J’ai mis les bas mais pas de sous-vêtements.

Offerte, il prend des photos de mon indécence (impudeur). Cela me fait sourire. Je m’imagine aussi l’arrivée de l’éducateur, me trouvant dans cette posture, prête.

Je suis zen, mine de rien, vraiment curieuse de ce que je vais vivre et rassurée par la présence de mon Maître.

 

Caresse entre les jambes…

Plus le temps passe; plus je ne vois que nous…. et plus ma chatte s’excite ;

Pourquoi je mouille tant ?

Mais par ce que c’est lui qui joue avec moi. Parce que c’est lui qui me parle à l’oreille.

 

Claques sur les fesses, ...anodines !

Puis mon Maître prend le fouet dans mon sac.

Cela va se corser avant l’arrivée de notre partenaire!

Les lanières de cuir claquent, cinglent mes fesses. Les premiers coups brulent en douceur mais le cumul sur certains endroits ou la force mise me font grimacer (serrer les dents et fermer fort les yeux) le temps que la brulure se diffuse. Vicieux, il change les parties fouettées, les temps entre les coups. Pas possible de se préparer.

Il compte comme pour me donner un repère. Mais je ne sais pas combien tenir !

Et puis j’entends plus que 10. Pourquoi les dernières sont plus douloureuses ? : La force qu’il y met ou ma sensibilité. Je le vois frapper et il ne me ménage pas.

Entre les clacs, je me cambre, je m’offre par décontraction. Pendant, je me contracte pour intégrer la sensation, la diffuser dans mes chairs, l’amoindrir.

La séance fouet est finie et je me dis effectivement que j’aurais pu en supporter plus mais pense également que si l’éducateur arrive cela risque d’être une préparation douloureuse. Je ne dis pas « encore », je reste sage….

 

De nouveau face à face. Notre éducateur n’est toujours pas là.

Ses caresses passent de mes fesses à mes seins nus sous mon pull.

Mais les caresses se transforment en pincement. Il serre mes tétons, les tire. Son souffle près de mon visage, son étreinte se mélange au supplice. Mais la sensation est délicieusement douloureuse. Diffusion sublime. Mes seins qui s’étirent me donnent encore plus l’envie de tendre la poitrine. La chaleur monte en moi, toujours guidée par son souffle et son regard. Une chaleur qui se retrouve au plus profond de moi, réchauffant mon bas ventre. Les muqueuses brulent à leur tour et je sais que je coule. Mon clito se gorge et la main de mon maitre qui se pose sur lui me confirme qu’il est d’une sensibilité extrême. Un doigt dessus me fait partir. Une pulsion sanguine. Une caresse interne. Au bord de la jouissance. Je pourrai jouir tel quel ! (après coup, cela me rappelle « la main sur ma chatte » qui par deux fois m’aurait emportée par attouchement : les vignes et dans le bureau).

 

Du crochet au Fist anal…

A nouveau dos à mon maitre, il me saisit un doigt dans l’anus.

Crochet (notre vision, nos sensations).

Et puis, il glisse un autre doigt, s’immisce un peu plus. Et puis encore. Il atteint les zones qui instinctivement me font cambrer à la recherche du plaisir. C’est là. Encore. Reste. Je fléchis sur mes jambes, désir intense de m’empaler sur sa main pour qu’il aille plus au fond. Qu’il y cherche mon plaisir, qu’il le sente… c’est bon et retrouve les sensations jouissives, ma chatte coule, il m'emporte à nouveau …

Je suce ses doigts en même temps, les mords… envie de déguster ceux de l’autre main, celle de mon exploration. Je lui demande. Encore plus comblée de savoir ainsi que rien n’aurait pu le perturber, qu’il a pu savourer ce moment.

 

Il souhaite ensuite que je le prenne en main...

Ouverture délicate de sa braguette, troublée par sa demande et mon envie. Sa queue est gorgée de désir. Je la prends en bouche, m’en délecte. Mais assez vite il force la pénétration jusqu’à la gorge. Plaquée contre le mur je ne peux que subir mais apprécie cette contrainte. Je lui rends des gorges profondes et le laisse faire. Me baiser la bouche, les joues et s’enfoncer à ne plus sortir de ma gorge. Mes yeux coulent dans l’apnée. Ce n’est pas moi qui vais craquer mais mes poumons qui l’expulsent tout à coup (n’ai rien senti venir).

Il m’embrasse, me calme, demande à ce que je l’embrasse.

 

Toujours accroupie, je mouille encore. Il descend face à moi.

Ma main glisse jusqu’à ma chatte. Je veux savoir dans quel état elle est mais mes doigts reste sur mon clito. Je me caresse. Toujours ce plaisir à en jouer face à lui.

Ses doigts viennent me rejoindre. Mes fluides ont tôt fait de le transcender. Ses doigts pénètrent en moi. Il me remplit, me caresse, m’immobilise. Ses genoux m’écartent encore plus les cuisses.

Je dois me faire jouir. Compliqué sans bouger le bassin, observée droit dans les yeux. Mais mon plaisir se lit en lui, passe en lui. Circuit fermé de sensations.

Mon but, me noyer dans ces yeux en jouissant à l’orgasme. Il maintient la pression, joue de moi, je suis au bord mais toujours sans bouger, je reste dans cet état. Une volonté forte de jouir par lui, par ses yeux. Il les ferme… Non pas ça !!. Il les ré-ouvre, j’entre en lui et bascule enfin. Cet orgasme est particulièrement puissant, encore plus prenant (dans tous les sens du terme). Mes jambes en flanchent, je perds pieds, mon souffle a du mal à s’en remettre. Il est parti avec moi, dans ma jouissance, j’en suis aux anges.

Quasi calmés, il me relève.

Il vient se plaquer contre moi.

Sa queue entre mes jambes

Entre mes fesses

Et puis, il se recule. Remonte son pantalon, me demande de faire de même. Nous devons y aller.

Pffouu ! Quelle frustration !! ne pas pouvoir lui donner plus. Mais soit. Je sais aussi que j'ai pu lui offrir un sublime moment. Une étreinte le temps de faire descendre la pression, d’intégrer son choix, de le sentir, de m’imprégner de ses effluves avant de rentrer.

 

Sur le chemin du retour…

«J’ai envie de te prendre contre l’arbre ! », voilà comment on excite une jeune femme à la rendre folle, heureuse. Du moins, moi !

Il m’attire vers l’arbre. Le jean tombe vite et sa queue passe entre mes cuisses. Les jambes toujours liées par le pantalon, la position n’est pas très propice à son entrée. Alors j’ôte mon pied du lien. Il se saisit de ma jambe et me prend sauvagement. La fougue se lit sur son visage. Sa queue est percutante, dans un angle inédit. Bloquée contre l’arbre, je prends appuis et renforce l’emprise. Sublime moment de nature. Nous en jouissons. J’aime qu’il s’abandonne au plaisir, à la jouissance, à notre jouissance, à son plaisir. J’aime voir cela sur son visage.

 

Par Chienne Saly
Mercredi 15 décembre 3 15 /12 /Déc 14:44

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Une envie, qui nous caractérise

De la douceur, de la détermination

Des caresses, des morsures

Nos poils se hérissent, sous les doigts, sous les lanières de cuirs

Nos peaux se réchauffent, l'une contre l'autre, les fesses rougies par les fessées

Nos salives, ta mouille

 

Mélange des saveurs

Les baisers sont des fessées,

Les fessées des baisers

 

Le plaisir est au-delà

Dans nos têtes

Par Maître MaX
Jeudi 9 décembre 4 09 /12 /Déc 09:17

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Venue inattendue….

Un jeu pour nous retrouver : se « mettre à nu » dehors dans le froid avant d’entrer.

Mon Maître l’a fait, je l’ai accueilli nue, au string prêt ! Il me l’ôte délicatement en le faisant glisser sur mes cuisses. Placé ainsi c’est une vision qu’il me dit avoir souvent.

Quelques baisers, peau à peau.

Il s’éloigne.


Nue face à lui, obligée de le regarder. Pas envie de fuir. Envie d’affronter ma gène, son regard, éventuellement son jugement. Mais il est là pour me rendre plus jolie, plus désirable. Je le sais. Je dirai même pour me sublimer et si j’emploie ce mot aujourd’hui c’est parce qu’il correspond à une avancée personnelle de ma considération.

Postures choisies, j’écoute et exécute ses mots, ses demandes. Présentation de mon corps que j’apprécie, que je lui offre pour qu’il me désire, qu’il me caresse ou qu’il s’exprime en tant qu’ange ou démon.

 

« Tu veux que je te fesse »

« Oui », toute excitée à cette idée.

Cercle vicieux : je coule et il peut me fesser pour cela et plus il le dit et plus cela m’excite. Ma chatte ne s’en cache pas.

Envie de me punir, nous allons dans la chambre.

Il me demande si je veux me soumettre ou être contrainte. Si je résisterais sans être attachée. Cette question me montre qu’il peut aller loin. Moi, je préfère être contrainte par jeu mais aussi pour savoir ce qu’est de supporter sans pouvoir se dérober. Moyen aussi de m’abandonner à lui, de lui offrir les rênes, de lui laisser le choix des limites.

Il place alors mes liens aux chevilles et aux poignets et les unis de part et d’autres de mes genoux pliés. Assise ainsi il me bascule et mes fesses lui sont offertes. Cambrure appuyée de sa main, il me caresse, profite mais n’hésite pas longtemps avant de se lancer.

Facile de me renverser comme il le souhaite, sur le côté, sur le dos mais les jambes écartées, fesses offertes. Certes cela me permet aussi de bouger de changer les zones d’impacts mais parfois les claques restent sévères, au même endroit, m’infligeant une brûlure qui se propage dans mes chairs et se dissipent je ne sais où.

 

Fermer les yeux comme pour faire disparaitre la douleur, ouvrir et le fixer pour lire ses souhaits, ses désirs, ses sensations. J’ai du mal. Je le vois mal. Claques sur mes fesses, sur mon entre jambes et à l’intérieur des cuisses. Parfois un moment d’attente, me permets de reprendre mes esprits, d’estomper la brulure mais aussi d’appréhender la suite.


Les frappes sont percutantes et douloureuses, bruyantes aussi. C’est impressionnant. Je résiste à la douleur, mais ne part pas, ni dans un état d’annihilation de la douleur, ni dans un état de plaisir. Je ne sais pas où je vais, ce que je peux attendre. J’ai sincèrement mal mais je sais que je ne suis pas au bout du supportable (des réflexions viendront plus tard sur la douleur et les limites).

Quelques frappes puissantes ont raison de mes larmes. Souffrance physique et vision de bout, avec mon incapacité à faire de cela une offrande pour lui, quel qu’elle soit.

Un moment de douceur, les claques reprennent.

J’en demande encore, certaines sont délicieuses à recevoir.

 

Quand je me sens perdue, je pense au comptage qui me permettrait de savoir l’effort de résistance à fournir de jauger l’acquis. Envie de le demander, mais  pense aussi qu’il souhaite cette perte de repère. Je ne crie pas, résiste et m’offre totalement.

Pouvant me dérober quelque peu, je me retrouve sur le côté. La position me permet de recevoir les frappes piquantes mais elles se diffusent et je ne les sens plus. Il arrête… « tu pars ! » me dit-il. Et pourtant j’étais bien, là. Ne sentais plus, certes, mais consciente d’être bien.

 

Mes fesses sont rouges, à quel point je ne sais pas mais elles me brûlent et sont toutes boursoufflées. Il me prend dans ses bras. Je me sens d’un calme étrange. Apaisée, peut-être épuisée. Soulagée et fière d’avoir résistée et un peu déçue (peut-être de ne pas m’être transportée quelque part, de ne pas avoir transformée la douleur, de ne pas lui avoir offert quelque chose).

 

Mon Maître me pose une question à plusieurs reprises et aussi à la fin. A savoir si je tiendrais ? Question sans réponse évidente et il le dit lui-même. Je le ferais pour nous, pour lui, pour moi selon mon état d'esprit, mes sensations, le but à atteindre. Mais sa question signifie qu’il peut aller beaucoup plus loin, qu’il le désire…. Pour les punitions mais aussi pour le reste. Moi, je ne désire qu’une chose, poursuivre…

 

Puis nos jeux, nos ébats reprennent :

Il me pince, me mord les seins, les tétons. Je retrouve la douleur des pinces mais habituée à cette nouvelle sensation je visualise sa diffusion comme pour l’intégrer encore plus à mon être, à mon corps. Sa force passe par ces dents et entre moi. Il joue avec mes limites mais je peux me dérober. Joue encore, teste nos limites ! … Ce supplice-là est délicieux

 

A genoux dos à lui, toujours tenue par mes liens, mon Maître me demande de couler pour lui. Je ferme les yeux et visualise l’intérieur de mon bas ventre, en ressens les muscles et les parois. Contraction pour me stimuler, je sais que mon esprit s’imagine rempli, imagine la jouissance, imagine l’après avec mon maitre et cela fonctionne. Pas autant que je le voudrai mais c’est un début.

 

Puis, sa main en moi, ses doigts m’accompagnent dans une série de jouissances. La fougue qu’il y met est une possession de mes antres et de mon plaisir que j’adore et savoure. Impossible de résister à cela.

 

Cette rencontre se termine par une étreinte. Nous souhaitons retrouver le plaisir comme ultime récompense de ce débat avec nous-même (nos esprits, nos corps).

Et puis jouir dans la fusion de nos corps, de nos esprits, nul doute que nous le méritons et que nous en avons besoin dans cette étape.

 

Cocu, à maintes reprises, n’a pu s’empêcher de venir voir, sans rester pour autant malgré nos sollicitations. A lui de nous apporter un préservatif, de me préparer. J’adore cette situation de possession, de contrôle. 

Puis, nous nous allongeons. Cocu me lèche encore avant laisser seul.

Me prendre sur le côté, passer dessus. Le déguster dans le fond de mon antre, me caresser. Puis le laisser reprendre la maitrise de nos jouissances. Me soumettre. Le posséder. Lui offrir mes yeux puis mes fesses. Partager. Sentir, ressentir. Au plus profond de nous (dans tous les sens du terme).

J'aime jouir sous ses feux et savoir qu’il vit cela avec moi me comble.

Deux mots, en résume : exquise fusion.

 

Soirée, impossible de rester assise…

Lendemain, les bleus me rappellent la douleur

Balbutiements, prémices

Il me manque son regard…

Par Chienne Saly
Mardi 7 décembre 2 07 /12 /Déc 10:46

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Un RDV spécial aujourd’hui. Une boule au ventre, plus que d’habitude mais une détermination intuitive, naturelle. Mon Maître m’a donné la tenue : bustier, string, pantalon ou jupe et un manteau long. Mais il a précisé que jupe ou pantalon, peu lui importait, car je devrais l’ôter sur le parking ou dans l’ascenseur.

 

Je me gare dans le parking de l’hôtel,  et attends mon Maître. Un sms : « ôte ta jupe ! ». Beaucoup de monde circule et les fenêtres en face me perturbent. Inspiration, puis excitée par le défi et tremblante un peu, je la retire. Mon Maître vient me chercher. Je me suis calmée. Manteau un peu court, j’ai l’autorisation de remettre la jupe pour traverser le hall. Mais c’est sans compter sur sa détermination, je dois l’ôter dans le couloir.

 

Accueil agréable. Mon maitre me demander de poser mon manteau. En bustier, bas et chaussures, chatte nue (ai oublié de mettre le string !),  je me retrouve devant cet homme.

Maitre MaX met  mon collier : instant où je lui offre les rênes, où il prend possession de sa chienne. Vision de ma condition dont nous ne doutions pas.

 

Mise en place.

« Mets-toi à genoux ».

Contre sa jambe,  j’intègre ma soumission, je le respire, m’imprègne, j’attends, j’attends les consignes. Sans me relever, il me guide vers l’homme. Impression étrange de devoir marcher à quatre pattes. Je n’ai pas l’instinct de me relever, je le fais. Je suis prête à faire tout ce qu’il me demande et lui montre (même si cela avait commencé par la jupe !). Et puis, l’homme n’est pas loin derrière moi.

 

Les bras le long du corps comme mon maitre le souhaite, je sens ce jean, imagine « la bête ». Puis l’homme sort sa queue. Belle,… à travailler pour la rendre magique.


J’attends l’ordre de la prendre, tente mais mon maitre me retient par le collier. Je savoure de loin. Je sens seulement. Le collier me serre. Remise en place. Tête en arrière, mon Maitre préfère m'offrir aux yeux et aux mains de l'inconnu en premier lieu. Celui-ci ne se fait pas prier pour me tâter, me palper. Je me laisse faire. Il m’offre et j’aime ça, ferme les yeux pour minimiser ma gêne (flouter les jugements potentiels).

 

Et puis, j’ai l’accord de le prendre en bouche, les mains dans le dos.nb2 

Je m’applique tout d’abord. Le mets au fond, l’aspire, le caresse de ma langue.

M’imprègne de sa forme. Puis en joue.

Ai l’impression qu’il apprécie.


Partage de l’image de soumission avec mon envie de le posséder (déjà). Mais avant tout, envie de le satisfaire, pour la fierté de mon maitre, pour la mienne.

 


Quelques gorges profondes, il me baise ensuite la bouche sous la gouverne de mon maitre. Je me laisse faire.

Bonne chienne, oui, mais qui aime ça. nb3

   

Mon maitre serre le collier je ne sais même plus si je suis en apnée ou si je respire infimement. Je n’ai plus de sensation. Et le réalise tout à coup. J’étai s surement partie. Excitation présente. Et un désir de me laisser aller total. 

J’ai droit d’utiliser mes mains. L’emprise est immédia te pour le tendre encore plus, pour cibler mes coups de langues ou la pression de mes lèvres. J’use, joue, démontre mes talents aussi.

 

Lorsqu’il s’installe sur le canapé, je le suis, le reprends en main.nb4

Mon maitre rectifie alors ma posture.

Cambrée je le suis mais pas suffisamment.

Offerte, je le suis mais pas assez.

L’écartement des jambes que m’impose mon maitre me parait énorme. Mais soit. Je me sens désirée parce que sure de l’image que je donne.

Mon maitre en profite pour me toucher, me sonder, j’adore cette situation.


 

nb5

Je me vois  du regard de l’homme. Mon dos, les lacets  du bustier menant à mes fesses bien ouvertes et qui forment de délicieuses courbes.  Merci maitre.

Les photos confirment ma vision. Il m’a sublimée. Mon corps retiendra ses contraintes de posture.

 

 

 

 

 

 


Les caresses de mon maitre surprennent mes arrières mais tout à coup, un clac brulant sur la fesse. Puis deux… Cinglant…. Cumul de brulures puis douceur d’une autre caresse qui calme le feu. Lui seul sait si mes antres lui en tiennent rigueur. Je ne crois pas, je me sens encore plus ouverte. Délicieuses contraintes.


Maitre MaX vient ensuite s’installer à coté de nous. nb7

Toujours la tête enfouie, et afférée  à ma tâche, je veux savoir si je poursuis ainsi, si mon maitre est ok. Je trouve sa jambe puis au détour de cette queue, son regard. Tout va bien. Je lèche alors la queue tout le long, m’attarde sur les bourses. L’homm e apprécie alors je me lance à les avaler, mon maitre suit, acquiesce. Je sens que mon sujet aime la pression, les dents alors je mords, un peu. Regard vers mon maitre, son rictus m’encourage. Je me laisse aller à suivre les désirs plus violents de l’homme et mes instincts félins.   

 

Je sens à plusieurs reprises qu’il est au bord de la jouissance. La soumise s’est transformée en chienne soumise, puis en chienne et heureuse d e l’être, je savoure ces instants.

Des mots chuchotés qui sonnent, car suivent mes envies : « tu veux qu'il te prenne le cul ». Oui je le veux, je ne réponds peut-être pas oralement mais mes yeux en disent long. Mon maitre le sait, les comprend. « Tu peux prendre son cul »,  l’homme veut me baiser.

Le buste sur les genoux de Maitre MaX, j’offre mes arrières, mes antres sont ouvertes, je suis prête.nb8

Il me prend, lentement ; Sa grosseur me remplit et j’apprécie. Ses va et vient amplifient la dilatation, je le sens bien et c’est bon. De grands coups de reins iront percuter le fond. Sensation trop brèves mais savoureuses.  

 

J’essaie quelque peu de jouer de mouvement de reins pour renforcer les sensations. Mauvais appuis, je n’y arrive pas bien, du moins pas aussi intensément que je le voudrais… Sensation de baiser pour tous les deux (mon maitre et moi). Complicité du maitre et de sa soumise pour le plaisir des sens.

 

L’homme jouit en moi. Un peu frustrée, j’avoue rester en attente, pensant que j’allais être sodomisée comme il me l’avait été annoncé. Je veux, oui, qu’il me « prenne le cul » comme dit mon maitre.  La tension redescend.

 

Et l’homme se prend à me fister d’un doigt, puis deux et intensifie ses gestes, me fouille sans vergogne. Puis il prend un point, augmente l e rythme.

Je sens qu’il est sur le point qui m’a emporté la dernière fois (trio black). Je ne bouge plus. Je suis agrippée à mon Maître mais comme si j’étais en lui, liée. La main de l'homme, devient habile et le pouce sur le clito parfait le geste. Je sais que je vais partir. Je gémis, cris et l’orgasme m’emporte. Intensité décuplée par mon désir d’en profiter pleinement, de sentir au plus profond de moi et de le transmettre. Je me sens vidée, essoufflée. Mes jambes tremblent quelque peu.

 

Etrange de se sentir tour à tour, soumise, chienne, femme…

Chienne dans tous les sens du terme : dans mes actes, dans mes pensées où dès le début je sais que par le jeu, par l’obéissance, je séduis l’homme, provoque et obtiendrai la jouissance (l'espère) …

 

Sortis dans le couloir, une sensation de bien-être. Echange de baisers avec mon maitre.

Peut-être en remerciement de cette sensation de bien-être, je le plaque contre le mur et me colle à lui. Plaisir réciproque, fougue. Je sens le démon monter en moi. Je le sens gonflé. Son démon est surement là aussi. Un signe et je descends. Pas de crainte. Un désir intense. Sa queue toujours aussi belle et désireuse quelque peu craintive des bruits et du lieu. La mise en bouche est délicieuse et d’autant plus dans cette environnement. Les bruits auront raison de nous…

Par Chienne Saly
Jeudi 25 novembre 4 25 /11 /Nov 22:06

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Une envie, un besoin je dirai, depuis longtemps
Mais tu vois, plus le temps passe et plus notre conscient se raisonne face à nos personnalités.

Les punitions avaient lieu d'être : toi pour être certain de ce que tu veux être et moi pour extérioriser, exprimer, évoluer.
Et puis l'acte avait lieu d'être pour nous imprégner de cette nouvelle sensation, connaitre ces nouvelles saveurs et assouvir nos désirs.
Les prémices de notre savoir et savoir faire.

Le fouet léger, subtil, se joue en rythme en caresse et en alternance
Il joue sur la longueur, l'attente la montée en sensation
La brûlure finale n'en est pas moins intense !

La cravache plus incisive, plus douloureuse, précise et implacable
Du direct qui tue!!!

Ta main, brûlure intense, diffuse, large et profonde
Un cumul de plus en plus douloureux
Un besoin de douceur en alternance
Une épreuve en résistance
Un abandon du corps pour l'esprit

Compter...

 Jusqu'à 50!!!

 

Mesure de l'intensité passée et à venir,

De l'attente

Conscience implacable 
Imagination du final
Soulagement par l'acquis
Résistance par défis
Abandon par lien

Par Chienne Saly
Jeudi 25 novembre 4 25 /11 /Nov 18:05

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Nue sous une robe noire, je me rends sur notre parcelle dans la fraîcheur du matin.

Pas seuls sur les lieux, nous partons dans les bois.

 

Ce matin-là fut particulier.

 

Tu m’as mise nue sur ce chemin forestier. En bas et en botte pour seule tenue, je t’ai suivi

Tu as fait de moi ce que tu voulais

J’étais bien, heureuse d’être là, comme cela

A tes pieds, dans tes bras, tout à toi.

Sublime image que notre marche, moi nue auprès de toi

Vers quelle destinée, nous ne le saurons jamais

Pourtant cette vision reste : les pins, le chemin, tes bras et ma nudité.

Le collier est présent et me lie à toi.

 

Retour sur la parcelle qui nous inspire.

Je m’offre à toi

Tu le veux, le désire,

Je me masturbe sous tes yeux

Pas trop de deux pour dompter ce clito aussi fougueux que son maitre.

Il s’érige devant toi, provocateur !

Je ne le contrôle pas.

Doux délices, excitant

L’envie de fusion nous envahit

 

Mais…

Un cycliste…

Le téléphone...

Dure retour à la réalité !

 

 

Oui, ingénue, exhib

Soumise

Heureuse

 

Complices unis

Par Chienne Saly
Lundi 22 novembre 1 22 /11 /Nov 10:26

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Cette après-midi, RDV dans un lieu inconnu. Mes consignes : porter des bas, porte-jarretelles, une robe noire et mon manteau. Ne pas oublier dans mon sac, mon collier et « blacky ». Ce RDV est particulier pour moi car je n’ai pas envie de décevoir mon Maître ou plutôt de le perdre. Il m’a assuré que cela n’arriverait pas et je le crois.

 

Nous arrivons devant une maison où un homme black vient nous accueillir. Ils sont trois. Une pensée immédiate pour Cocu qui rêve tant de cette vision de mon cul blanc contrastant avec des corps, des queues de blacks...

 

Présentation faite, mon Maître me fait agenouiller sur le matelas installé et me demande de lever ma robe, de me montrer. Il présente ma chatte épilée, me demande d’écarter les cuisses. Puis il me fait tourner et présente ou plutôt me demande de présenter ma croupe ! Je m’exécute. Me montrer devient de plus en plus aisé pour moi. Fierté de me présenter comme la chienne de mon Maître et parce que je sais qu’il est fier de cela, de moi. La timidité est encore là mais elle me caractérise aussi. Chienne docile et douce en ce début de séance.

 

Maitre MaX leur demande alors de présenter leurs queues et m’autorise à les regarder. Les trois mecs sont alignés et je n’ai aucune gêne à tourner la tête, surement impatiente de savoir à quels « outils » j’aurais à faire. Pas de miracle mais ces messieurs sont au repos !

 

Mon premier ordre et de les sucer un à un pour montrer comme je suis une « bonne chienne », une « bonne suceuse ». Des paroles qui stimulent mes ardeurs et mon application. La chaleur monte en moi et ma chatte mouille déjà. Mon Maître est là par ses regards, je les sens profonds et directs en moi. Je sais déjà que je ne le perdrai pas. Il est déterminé. J’aime entendre les hommes apprécier ma bouche… Que de stimulation et de plaisir. Plaisir de faire plaisir, de les tirer vers la jouissance sachant qu’ils devront se maîtriser pour qu’il y ait une suite….

 

Mise à quatre pattes par mon Maître, je suis prête à être « baisée ». Le premier me prend. Les mains me passent partout et des doigts entrent dans mon anus ; tous les trous sont explorés, testés. Je me sens envahie mais heureuse de l’être. Maitre MaX n’est pas loin mais dans son rôle, est assis sur le canapé et contemple, je dirai, le début de son œuvre… Je le sens et joue de la vision. Je me donne pour lui, pour moi, pour cocu, pour eux…

 

Dans les bras de mon Maître toujours installé sur le canapé, je suis bien, assurée du lien qui nous unit. Mon esprit n’imagine pas l’offrande que fais mon Maître, celle-ci est réelle. Il me guide me positionne, me fait écarter les jambes, cambrer à sa convenance et à celle de ces hommes. La chienne soumise, offerte se transforme petit à petit en femme désireuse. Les pénétrations n’ont pas beaucoup d’effets certes mais le plaisir est tout autre : échange de regards, stimulation, ordres, visions... de subtiles mélanges.

 

Et puis je suis fistée par l’un d’eux. La main n’est pas très profonde mais les caresses rythmées me font jouir, jouir. Je suis trempe !! Derrière moi, j’entends alors une réjouissance sur un jet que j’aurais émis. Doute, questionnement. Moi, j’aurais fait ça, pourquoi, comment ? Je ne suis pas vaginale. J’ai dû rater un épisode, occupée à sucer une queue dans les bras de mon Maître. Dédoublement de mon corps ? Un inconscient… J’ai joui, oui, consciente d’une douce sensation.

 

Puis ils continuent à me prendre les uns après les autres. Je note les effets mais plus que tout, je sens mon être changer. Une chienne avide de sexe, de plaisir et jouissance remonte en moi. Les stimulations enflammées du regard de mon Maître font que nous partageons cette montée. Cette  extériorisation de nos démons. Je ne sais pas trop qui entraîne l’autre, je crois que c’est tantôt l’un, tantôt l’autre. Mais, moi, plus en appui des stimulations de mon Maître. Le sucer alors que mon corps est en possession de ces hommes devient un délice. Mon esprit ne s’applique qu’à son plaisir. Surement, dans notre bulle. Ce qui se passe n’a plus trop d’importance.

 

Mais le vice est de me confronter à nouveau à ces hommes, de me repositionner au milieu d’eux pour qu’ils m’assaillent. Un peu de gel mis par l’un d’eux me laisse présager que la suite risque d’être plus hard et sans ménagement. Ils passent les uns après les autres mais mon esprit est en dehors de ce corps et s’en délecte : abandonnée, soumise ainsi, je subis. Subir par choix pour son plaisir, pour mon plaisir. Autorisée, je le sais.

 

C’est un plaisir particulier (sachant que ce ne sont pas des queues hors normes, je n’ai pas de défi d’endurance à la douleur ou à la dilatation à relever). Désolée pour les termes techniques… Une envie de jouir simplement de ce que mon Maître m’offre. Jouisseuse, oui encore et toujours, en quête de tous ce que je peux éprouver et partager avec lui. La seule chose qui compte et qui m’enivre est le jeu que nous avons.

 

Je suis possédée par ces hommes qui m’encerclent et puis la queue de mon Maître me rappelle aux douces sensations d’une pénétration profonde et ciblée. J’apprécie qu’il me prenne et me remplisse. Je vais me laisser manipuler, abuser reprenant parfois le dessus pour accentuer mon plaisir physique. Mais surtout dans l’esprit de l’image et de la jouissance. Compatible ? Oui, je le crois. La jouissance se transmet, sans nul doute. Et Je sais parfaitement à qui elle est destinée. Ma jouissance pour la sienne. Et son plaisir pour le mien.

 

Prise en double sur mon Maître. Nous souhaitons partager notre ressenti. Mais je coule atrocement et j’ai tellement était limée que je n’ai plus de sensations. Je laisse faire les hommes et m’en amuse. Lui aussi. Je suis encore manipulée, retournée pour être à nouveau prise et reprise. Ma bouche est sans cesse occupée. Parfois mes mains.

 

Même du canapé, mon Maître est toujours un contact avec moi : sa main, son pied. Son pied, que j’ai pris à plusieurs reprises, enserré dans ma main ou léché,  sucé délicieusement. Désir Instinctif (reconnaissance, sentiment…).

 

Dans leurs ardeurs à me fister, je n’oublierai pas cette découverte. Mi-assise, mi-allongée, dans les bras de mon Maître, l’un d’eux a remis ses doigts en moi et avec une pratique et un rythme assurés, il frotte les parois de mon vagin. C’est comme une masturbation. La tension monte petit à petit, je me sens au bord, mais pas encore. J’essaie de sentir ce qui ce passe. Des « flocs flocs », je mouille de plus en plus ; Comme un tremblement de terre, quelque chose arrive, je le sens mais ne discerne pas. Et tout à coup, tout mon vagin, chacune des parois se décontractent, s’ouvrent, se dilatent. Je sens un agrandissement dans tout mon bas ventre. Je me sens partir, mon corps s’allège, je ne sens plus. Un jet se répand dans mon antre sortant pas mon vagin béant et se propulse sur le matelas. Un flot. Les hommes sont ravis du résultat et s’en félicitent. Encore surprise, je n’y crois pas. Je ne crois pas que je n’ai pas pu contrôler cela, que je n’ai pas pu désirer cela, ou le chercher moi-même. Une jouissance nouvelle, extrême, particulière et mystérieuse, des plus savoureuses.

 

Ils ont usé et abusé de moi mais il ne m’en ressort qu’une chose, c’est le plaisir extrême que le lien procure : offrande d’images, de plaisir, partage de sensations. Jouissances subtiles…

 

Ecrivant ce récit quelques temps après, je réalise aussi que Cocu peut se délecter de ces images, de ce don. Une image tant attendue. Ne retient qu’une chose, Cocu, c’est que le plaisir m’emporte et qu’avide de sensations, je ne crois pas que je vais m’arrêter là ! Je ne crois pas que j’apprenne à être chienne, je le suis, j’apprends à l’extérioriser.

Par Chienne Saly
Vendredi 19 novembre 5 19 /11 /Nov 10:57

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RDV est pris avec mon Maître à l’hôtel.

Je sais que mon Maître ne sera pas seul, qu’il a convié une autre personne : j’ai vu la conversation sur le site. Mais je ne dis rien.

Je sais aussi que je peux m’attendre à tout avec lui : qu’il soit seul, accompagné, ou que nous allions ailleurs…

Légère angoisse c’est vrai………

Et s’il n’était pas là?…

Et si je devais être seule ? …

Les consignes : amener mon collier et blacky.


Ma tenue : un jupe courte classe, des bas, des bottes, un pull noir sous lequel mes seins nus sont juste soutenus et pas de string.

Prête pour lui ou pour être offerte.


Arrivée sur le parking, j’attends les consignes. Sa voiture n’est pas là !

Et soudain, un sms : le numéro d’une chambre.

Il va falloir y aller. Il est peut-être en haut, … ou pas.

Une vague d’angoisse parcourt mon corps.

Une grande respiration.

Hors de question que je me laisse envahir comme les autres fois.

Lui montrer que je peux le faire.

Je descends et me dirige vers la chambre.

Personne dans l’hôtel, pas besoin de demander quoi que ce soit.

Je monte.

Quelques secondes devant la porte. Une inspiration et je frappe. Un inconnu m’ouvre.

J’entre un peu fébrile mais avec une certaine détermination  (il faut que j’arrive à surmonter ce moment, à rendre mon Maître fier de moi et me dépasser).

Mes paroles : « Maître MaX n’est pas là !? » mais je sais que je suis seule.

Juste une phrase pour fixer les conditions et définir que je ne suis pas là sur mon seul désir.

Pour me rassurer surement aussi.

 

Je pose mon sac.

Un sms : « baise-le ».

Un frisson, il faut que je passe à l’acte, que je sois entreprenante.

En quelques secondes, je m’y vois mais mon corps reste bloqué.

 

L’inconnu (x) vient vers moi et son tel lui donne un message.

C’est Maître MaX . Il sera mon « sex toy ».

C’est x qui par sa façon d’être me mettra plus à l’aise. Me sentant mieux, je me rapproche, me laisse prendre en main, sachant que c’est moi qui doit me jouer de lui.  Je pose mes mains sur ses hanches, attentive à ne pas devenir son objet.

Nous allons nous mettre à l’aise et j’en profite pour me déshabiller (prétextant vouloir avoir moins chaud). Nue devant lui, je le laisse quelque peu m’observer mais bien vite je le pousse contre le mur où il continue à me caresser. Mes mains contre le mur me permettent de maîtriser mon appui sur lui.

Comment faire pour prendre réellement le dessus ?

Je sais seulement que je joue la carte de la sensualité pour lui plaire.

J’ose poser ma main sur son sexe (à travers le jean).

Respirations proches, souffles, l’excitation monte chez lui, je le sens.

Mais bizarrement je n’y suis pas encore, je ne le sens pas encore.


Il prend alors le dessus et m’accompagne sur le lit, je m’y allonge et il vient sur moi.

Il m’embrasse, baise mes seins descend et remonte. Sensation agréable de susciter le désir mais le mien ne vient pas.

Il me demande ce dont je préfère qu’il s’occupe en premier.

Lui répond : «  le clito ». Il descend délicatement et «désireusement».

Sa langue et ses lèvres s’emparent de mon objet de jouissance.

J’apprécie qu’il fasse ce que je souhaite, qu’il s’occupe de mon plaisir.

C’est agréable de se faire lécher.

J’essaie de me laisser aller.

Fermant les yeux quelque peu pour trouver une image, une sensation connue ou pas. Situation étrange, vraiment.

Pas un abandon, une quête plutôt.

Puis, par mes regards je stimule ses ardeurs et il sait me le dire. Je le guide, la main sur sa tête. Ses doigts s’immiscent en moi.

 

Je ne sais même pas si j’étais mouillée.

Si mon corps a trahi un inconscient ou pas.

En tout cas, je cherche toujours mon excitation. L’excitation dont je fais preuve habituellement.

 

On frappe à la porte.

X se relève, un peu surpris, on se regarde.

C’est sûrement Maitre MaX, seul ou pas ? (mon esprit se ravive).

Tardant à ouvrir les coups se font plus insistants.

C’est lui.

 

Il entre et demande à ce que X reprenne.

Frisson, sourire, j’ai l’impression de revenir dans mon corps ou du moins, dans mon esprit.

Un doute sur mon attitude présente.

Mon Maître s’attendait-il à cela ?

C’est moi qui suis allongée, ce n’est pas moi qui ait ouvert.

Je ne parais pas et suis pas totalement maitre du jeu comme j’aurais dû l’être...

M’en tiendra-t-il rigueur ?

Mais j’ai aussi l’image de la femme qui a réussi, seule, à se retrouver dans cette chambre avec un inconnu  selon les désirs de son Maître et j’en suis fière.

Espère qu’il le sentira.

Et si ce n’est pas le cas, la situation ne pourra que provoquer une remise à niveau de mon attitude.

 

Les coups de langues reprennent et fermant les yeux, je suis toujours dans cette image que je donne à mon Maître, pas encore dans mon plaisir.

Attention, c’est un plaisir mais pas le plaisir mental que je voudrais.

  nbIMG 0583

Mon Maître se rapproche, m’embrasse enfin.

 

Puis X se présente à moi.

Assise sur le lit, je le déshabille sous les yeux de mon Maître.

Mon sentiment est partagé entre la découverte du sexe de cet inconnu et la provocation envers mon Maître qui ne m’a encore rien demandé mais a sollicité cet acte.

 

Le sexe est beau et je n’ai aucune hésitation.

C’est un moment que j’apprécie. nbIMG 0585 

Là, je me donne, j’ai envie de le sucer, de lui faire de l’effet. Léchant, suçant, aspirant, titillant du bout de la langue, je l’avale en gorge profonde.

Le coince et attend son plaisir. 

Je sens que l’inconnu peut venir.

Je joue et stoppe à la limite.

Quelques regards vers mon Maître.

Je suis sa chienne et lui en donne l’image.

Il est là, apprécie.

 

Les moments clés en sensations lors de cette rencontre :

 

- Quand  mon Maître me prend à la gorge. J’ai le sentiment qu’il me rappelle à ma condition de soumise et qu’il veut m’offrir à cet homme, qu’il me reprend en main. Je me laisse étouffer comme pour partir dans notre monde de sensations. Pour lui donner mon souffle. Une prise de possession sur moi, sur la situation. Impression qu’à partir de là, je dois lui obéir.

 

- «Tu peux la baiser ». Il m’offre à cet inconnu et là, je sais que mon excitation grandit¸ mon corps et mon esprit sont en phase.

 

- Me faire prendre à quatre pattes et sucer mon Maître en même temps.

Etre ainsi à genoux devant lui, écrasée entre ses jambes. nbIMG 0593Qu’il me maintienne, rectifie ma posture. J’aime être ainsi.

Je ne peux m’empêcher aussi de prendre possession du plaisir qui m’est offert en   accentuant les mouvements  du bassin. J’ai envie de profondeur, de percussion. Belle et rebelle surement, à ses yeux. Envie de prendre du plaisir pour lui. La queue de cet inconnu est vraiment efficace. Je peux jouir mais pas seule. Envie de partager avec mon Maître. Je peux le mordre. Moyen de transmettre ce qui bout en moi et qui me calme aussi.

          

- « baise-le » : retour à ma « mission première »

Alors je m’empale sur la queue de X. Je peux jouer, chercher mon propre plaisir, mes points de jouissance. J’en use. Mais ne peux en abuser. En appui sur le torse, je ferme les yeux à la recherche de mon plaisir et de celui de l’inconnu. Je me vois face à mon Maître. Et je sens cette longue queue en moi, si profonde.nbIMG_0598-copie-1.JPG

Jeux de regards, complices, provocateurs, mais gênée aussi, je ferme les yeux ou détourne le regard, m’isole.

 

J’interpelle mon Maître de la main pour qu’il me guide à la jouissance ou pas, à celle de l’inconnu ou pas.

Mais, il est loin, trop loin.

Où ? A ce moment, je ne sais pas.

Un doute sur ce qu’il pense, sur ce qu’il veut.

Mais je poursuis avant de calmer le jeu.

Je sollicite mon Maître mais cela ne fonctionne pas.

Un peu perdue, c’est vrai.

 

Je reprends le dessus et interprète son refus comme un souhait que je ne m’occupe que de l’inconnu et seule.

Difficile.

Mais c’est ma mission, de jouer avec cet inconnu.

Je glisse à nouveau sa queue entre mes jambes.

Il s’immisce dans mon anus.

Accroupie, je me « sodomise » !

Même attitude de fuite du regard de mon Maître et de l’inconnu.

Je me cambre en arrière.

Et parfois provocation.

Le plaisir est là, c’est sûr mais seulement physique

Mon esprit ne voit que ce corps offert et le commande pour en sublimer l’image qu’il donne.

Peut-être espérais-je une réaction?

Alors la tension descend. L’inconnu a pris beaucoup de plaisir, moi aussi mais je n’ai pas jouie ou du moins, pas été emportée comme j’aurai pu l’être ou comme je peux le vivre d’autres fois. 

Des  questions  subsistent :

Qu’aurai-je du faire pour bien baiser cet inconnu ?

Dois-je aller jusqu’à le faire jouir ?

Comment on traite un homme que l’on doit « baiser » ?

 

- Retour dans les bras de mon Maître, recroquevillée à ses côtés. Je me sens bien, j’ai l’impression de le retrouver et ses mains me confortent dans cette sensation.

 

- Dans ces bras, les yeux dans les yeux, il propose à l’inconnu de me prendre à nouveau. Mais de face, l’impact de cette queue est très percutant, à m’en faire parfois mal. Je suis entre la jouissance et les douleurs mais le plaisir domine. Je tiens mon Maître, je suis plongée dans ses yeux et derrière lui, je sens les mains de X vouloir prendre les miennes pour que je le tienne.

Une main, oui mais je ne peux lâcher mon maitre ; Il insiste. Pourquoi ? il veut surement m’amener à lui et me faire lâcher prise.

Impossible pour moi, plus il me tire et plus mon regard se renforce pour être sure que si ma main part mon Maître soit plonger dans mon esprit.

Puis, X s’enfonce de plus en plus en moi et par-dessus l’épaule de Maître MaX, vient me chercher du regard.

Je le regarde pour le stimuler mais mes yeux reviennent se plonger dans ceux de mon Maître.

Envie de partager, de faire sentir les impacts, la possible jouissance.

Ouverte, je me laisse baiser et je savoure les effets.

J’en gémis.

Cet inconnu est assez doué.

Je sais que mon Maître a senti ce plaisir.

 

- « Fais-le jouir ». Appréciant de reprendre en bouche cette belle queue, je m’exécute. Je joue, j’essaie, je sens, ressens, il va venir. Toujours la même appréhension sur la découverte du gout. Il vient. Je l’aspire et avale tout. Amertume dans la gorge. Je suis satisfaite. Fière aussi vis-à-vis de l’ordre de mon Maître.

 

Mais ce n’est pas tout………

Difficile, de dire que dans cette expérience, j’ai perdu mon maitre à plusieurs reprises, avec le sentiment de l’avoir blessé ou de ne pas avoir répondu à ses attentes. Je prends du plaisir, certes mais plus par l’image que je donne à mon Maître que par les sensations physiques.

Je me suis posé des questions : Comment le rappeler à moi? En l’embrassant, en lui demandant de se joindre à nous (de rentrer dans le jeu), en me blottissant contre lui pour lui dire que je suis sa chienne et que je ne l’ai pas perdu. Cela a été malaisé.

 

Des hauts, des bas, mais un sentiment général de lui avoir offert ma jouissance, mon plaisir, ma condition de chienne. Pas assez entreprenante, je le sais.

Je saurais plus tard que mon Maître n’a pas eu le meilleur sentiment à tous les moments et que sa vision a été différente.

Par Chienne Saly
Jeudi 18 novembre 4 18 /11 /Nov 00:00

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Cette vision tourne beaucoup dans ma tête...

Une part de vécu,

Une part de fantasme,

 

Telle une chienne,

Tu sais mordre

Tu sais lécher

Tu sais attendrir

Toujours ce mélange de saveurs qui nous est propre...

 

La flamme dans tes yeux,

Attisée par le souffle démoniaque

Tu provoques

Cherche le martinet

Il effleure ton anus...

Par Maître MaX
Mercredi 17 novembre 3 17 /11 /Nov 11:20

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Menée par mon Maître, je porte une robe noire, des bas et un imper.

Rien dessous, il souhaite m'offrir à un inconnu.

 

Nous nous retrouvons dans un parking sombre.

Descendons de voiture, l'homme nous attend dans un coin.

Présentation.

Ma présentation.

Je dois de suite me mettre à l'aise et lever ma robe.

Montrer ma chatte, mes fesses.

M'exhiber.

Pas le temps de réfléchir, je suis les consignes.

Me laisse carresser.XIMG 0578B

Je mouille.

"Mets-toi à genoux".

"Sors sa queue".

J'aime ça et je coule.

Mon Maître le sens et vient entre mes jambes s'assurer du désir de ma chatte.

Toujours aussi incontrôlable.

Je suce l'inconnu avec délice dans le désir de son plaisir. Je sais que j'aime posséder les hommes comme cela !

Je suis les ordres avec une once de séduction par des attitudes, des positions et des cambrures provocatrices. J'aime ca ! Je suis bien !

Mon Maître m'aide à me mettre en valeur.

"tu peux la baiser"

Mon maitre me présente face à lui et me demande d'écarter mes fesses, de m'offrir.

l'inconnu entre en moi et me baise.

Maintenant, plaquée contre le mur du fond, pour plus d'impact, il poursuit. Les bruits et les lumières miment d'être surpris à chaque instant.

Plutôt excitant !

Mon Maître confirme qu'il peut me sodomiser. J'aime ça sans nul doute. Toujours plus efficace quelle que soit la queue.

Mon Maître sait parfaitement ce dont j'ai envie, il me lit, il me suit, il me sent.

Tout suit mon plaisir.

Quand il s'approche de moi, il se nourrit de ce plaisir tel un démon, satisfait de son oeuvre.

 

Il a envie de me prendre. Je savoure cet instant.

Il s'imisce en moi, joue de moi.

Sublime moment où l'exhibition devant l'inconnu ne fait que renforcer notre plaisir.

Il me possède.

M'emporte.

Dans mon anus, la jouissance monte de plus belle.

Je prends la main de l'inconnu pour lui faire sentir la coule de ma chatte. Il caresse mon clito et l'emprise de jouissance est totale.

Provocation certaine !

Par Chienne Saly
Mardi 16 novembre 2 16 /11 /Nov 15:42

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Un corps caressé par des objets d’envie DSC02631bis 

depuis quelques temps, dans mon esprit    

Dans le vôtre aussi                                       

 

 

 DSC02654 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Objets de punitions, certes

J’en mérite quelques-unes pour me dépasser, avancer et obéir

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Objets de nouveaux plaisirs aussi    

Aux dires de tant de maîtres et de soumises 

 

 

 

 

Images de ma chair, de mon dos, de mes fesses,    DSC02709b

 

DSC02707bm

 

 

                Offerte

 

 

              Toute à vous,       

 

 

 

               Pour cela.

 

 

DSC02716bb 

 

 

 

  

Par Chienne Saly
Samedi 13 novembre 6 13 /11 /Nov 14:23

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Aujourd'hui, je retrouve mon Amant à la maison.


Dans l'attente de sa venue, je me prépare, m'habille : robe noire, bas et rien...

Envie de m'offrir à lui tout simplement.


La chambre du fond est prête.

 

Cocu ne peut s'empêcher d'aller voir sous ma robe et de donner quelques coups de langue. Mon clito est trop sensible, excité par la venue de mon Maître. Je le repousse et me préserve. Je lui fait juste constater que ma chatte coule déjà et lui demande de l'essuyer. 

 

Mon Maître arrive.

Deux amants qui se retrouvent, se respirent, se sentent.

Deux corps qui se rapprochent, deux esprits qui se réunissent.

La fusion reprend.

Les jeux sensuels aussi.

Nus, nous nous dirigeons vers la chambre.

Retrouvailles voluptueuses mais guidées vers la fougue d'un désir intense. 

Langues habiles et délicieuses

Pénétrations puissantes, douces, ciblées, efficientes.

Plaisirs, jouissances

Tant d'envies qui se traduisent.

Sublimes instants où il prend toutes mes antres.

Envies réciproques.

En phase, nous savourons.

Jouissons.

 

Cocu n'a pas bougé de son bureau (en face de la chambre).  

Mais son stratagème a été de positionner le miroir de notre chambre de telle sorte que depuis le trou de la serrure de sa pièce, il voit le lit où nous étions.

Malin.

Avide de voir la chienne s'offrir à son amant.

Je l'imagine à genoux derrière la porte à ne voir que des bribes de nos ébats.

Il a tenu ainsi, oreille tendue, voyeur assurément. Il entend encore mes gémissements de plaisir et mes cris de jouissance.

Une condition de Cocu bien réjouissante !

Par Chienne Saly
Vendredi 29 octobre 5 29 /10 /Oct 23:11

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Chienne,

Coincé dans des bouchons vers l'aéroport, je me remémore notre "tour de périphérique"...

Je sais que l'attente est longue mais je sais aussi que ma chienne ne perds pas une occasion pour réagir...

Je lui fais donc part de mes visions et pensées du moment...


Cette fois les poids lourds sont plus nombreux et suis quasiment à l'arrêt : jouer au démon serait plus audacieux que jamais!


Saly a une autre idée en tête : me rejoindre dans le parking de l'aéroport, m'embrasser et m'extirper pour boire mon nectar entre deux voitures...

Quelle idée saugrenue!


Mais qui ne peut m'empecher de me faire bander aussi sec!

Son sms met le feu :" mets ta main sur ta queue et pense à moi"

Rapidement je sens son souffle, sa présence, sa main sur ma queue, ses lèvres sur mon gland!!!

Toujours bloqué dans l'embouteillage, je ne peux m'empecher de m'attraper le sexe à travers le pantalon : dur, raide, il attend d'etre saisi, serré et sucé.

Je suis gonflé, rouge, attendant les messages de Saly


Elle en profite pour m'allumer, me remémorant des instants, des pratiques, des sensations...

La chienne souffle sur des braises déjà incandescentes!

Le démon est en moi, je le sens, il souffle lui aussi

Je ne peux réfrener cette envie, ce besoin de jouir

Alors je cède, je me branle...

 

Oui, ma chienne me serre, m'enserre, m'aspire

Enroule sa langue autour de ma queue

Je sens tout ca

 

Ca n'avance toujours pas

Mais je n'en ai cure

Pas de peur d'etre surpris

Pas de crainte

Dans un état second, je me caresse de plus belle

La pression s'accentue au fur et à mesure des messages

Jusqu'à l'explosion

 

Je jouis

Mon foutre se répands en jets

Dans sa bouche, au fond de sa gorge

Dans mon caleçon...

Je la connais, elle s'entête, continue, j'en frissonne

 

Arrivé, tâché, rouge et confus, je ne sais où je suis

Il me faudra quelques instants pour quitter la bulle, revenir sur terre...

Par Maître MaX
Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 15:06

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A mon Maître...


L'Attente,

C'est mon état, mon sentiment à ce jour...

Je vis et ressens tes visions dans mon esprit

Je les attends...

Je savoure le temps qui me mène à elles

Je suis prête, tout simplement

 

L'image obsédante que j'ai,

C'est moi, nue, à genoux,

Je te tourne le dos et attends

Vision de mon dos, de mes reins, de mes fesses s'offrant à toi,

Mes mains sont liées au dessus de ma tête...

Le noir est là, mes yeux clos ou masqués laissent mon esprit dans la délicieuse attente...

 

Crainte...

Pas pour le moment, pas dans ma tête

Confiance assurément...

 

Par Chienne Saly
Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 23:16

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Cocu subit mes ébats avec mon Maître, mon amant, mon démon...

Mais il ne cesse de vouloir plus et attends certaines choses de moi...

 

Oui, je deviens chienne mais pas à tout vent.

Pas autonome, j'ai besoin d'un guide, d'un Maître;

Tes envies je les ai comprises, je les vois très bien :

  • me voir baisée, sodomisée par plusieurs hommes, en privé et en public...
  • me voir baisée, sodomisée par un ou des "blacks", ton rêve !!! n'est ce pas ?
  • me voir soumise devant tes yeux, subir, toi, ne pouvant rien faire 

Ces scènes-là, je les vois parfaitement.

Et pour sublimer tout cela, je souhaite que les queues de ces hommes soient grosses, belles et juteuses...

Je veux qu'ils me défoncent, qu'ils me fassent jouir comme jamais tu ne pourras le faire. (souviens-toi de l'effet de la belle queue de Maître Max et multiplie).

Supporteras-tu ?

 

S'ajoute

  • le souhait de me voir prendre les devants, pour satisfaire tes visions

 

Saly

Par Chienne Saly
Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 20:05

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