Moment intense...

Se serrer fort, se sentir, se retrouver....nous adorons, nous ennivrons ...

Mise nue

Enserrée

Caressée

Admirée

Pincée

Transie et menée par le bout des seins

Délicieuse sensation d'être prise en posséssion

Petit à petit, mais surement, 

s'abandonner au plaisir des sens.

Sentir sa peau contre la mienne,

Sentir son parfum dans mon air

Se laisser aller tout simplement

aux plaisirs.....


A nouveau réunis,

nos êtres résonnent

Et dans les ondes,

s'éveillent nos démons !

Excitation 

Désir d'ombre

Le Maitre apparait

Guide sa soumise à ses pieds.

Etonnée que ces mots viennent là, 

mais envoutée, transportée

J'obéis,

Je m'agenouille

Un honneur, une offrande : je dois le lécher entre les fesses

J'apprécie intensément

Je m'applique et le sens, le ressens.

Descendre encore,

plier,

au ras du sol,

Offrir mes fesses pour y recevoir ses mains de feu

Le maitre démoniaque  me brule de ses désirs

 me cingle sans ménagement !

Impacts surprenant, terriblement saisissant (plus qu'à l'habitude je dirai)

Mais j'aime ce feu qui me parcourt, pénètre en moi

Me fait plier ou tortiller

Il peut jouer de moi, enchaine

et je sais que je suis excitée

que j'en veux encore

Et, j'en reçois encore.

Démon de la jouissance

les maux entrainent la cravache

Différente, saisissante

le délicieux supplice reprend

et même s'il est particulièrement dur (par manque surement)

je suis aux anges, je compte, j'intègre et savoure...


Et quand, ma tete sur l'aine de mon Maitre, je déguste sa queue, les coups de cravache me saisissent et me transendent. Le cumul des chaleurs, des impacts, se diffusent et je sens le plaisir monter, monter...coups entre les jambes, sur les seins, sur la chatte....j'apprécie, profite, m'excite...

je me tortilles tantot par douleur, tantot par plaisir

ma chatte est feu et coule

ma respiration plus courte et rapide

Prendre sa queue, résister, jouer avec, et subir

vouloir le garder en bouche tout en jouissant ou hurlant (intérieurement)

que de plaisirs !

La furie démoniaque est là ! 


Ordre de venir l'embrasser,

Je lui offre mes lèvres,

la folie nous emporte.

Il se masturbe entre mes jambes, sa queue excite mon clito jusqu'à le recouvrir chaudement

l'excitation est à son comble. J'aurai pu jouir en meme temps, j'avais envie, sentais que ca venait ...Mais le laisser venir, à souffler dans mon cou, à se tordre à son tour, à jouir ainsi sous mon corps fut exquis...

Je me permets dans ses bras de me caresser à mon tour...

Il m'accompagne de ses baisers

Trempe de plaisir

je suis au bord

et ses baisers inhibant

vont m'emporter : 

La force de sa langue qui prend ma bouche, qui m'étreint et m'envahit comme jamais ....possédée à ne plus pourvoir bouger... soumise à cette puissance, je m'y abandonne avec délice.


Etre au plus profond l'un de l'autre est notre "folie".

 

Ces mots, ces ordres, j'aime à les entendres comme la promesse du plaisir et du passage dans notre dimension où nos esprits se retrouvent sans nul doute dans nos "interdits".

 

2011053 (11)


 

 

 

 

 

 

 


Par Chienne Saly
Mardi 14 juin 2 14 /06 /Juin 21:51

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Bonjour Monsieur,

Bonjour ma chère Saly…

Votre chemin ensemble est un vrai plaisir et une belle démonstration de ce lien qu’existe entre le Maitre et Sa soumise. Vous pouvez être fières tout les deux de l’évolution que Votre relation a pris depuis Vos débuts. C’est toujours avec envie, plaisir et un grand bonheur que je viens Vous visiter et m’imprégner de Vos "aventures" à deux.


Le chemin que Vous avez su prendre avec Votre soumise est une belle preuve de la confiance, partage et la fusion que Vous avez su créer entre Vous. Je me permet de Vous féliciter Monsieur, pour tout ce que Vous faites pour Votre soumise et le bonheur que Vous avez su l’offrir, la guidant dans ce chemin qu’elle recherchais avec autant d’envie. Vous avez su extraire, de son plus profond , toutes ses envies et désirs et elle a appris avec Vous, à se connaitre et à se dévoiler entièrement par dévotion pour Vous. Son épanouissement est surement Votre plus belle fierté et Vous avez raison car, c’est très beau de la voir "grandir" dans Vos mains savantes. Je tenais aussi à Vous remercier pour la laisser partager avec nous tous, ces merveilleux moments qui sont les Vôtres, c’est un très beau cadeau que Vous faites.


Ma chère Saly, quel bonheur de te voir ainsi heureuse, d’avoir retrouvé ce dont il te fallait pour te sentir épanouie. Tu as pris confiance en toi, tu as su écouter et apprendre avec ton Maitre . Tu est une belle preuve et un très grand exemple pour toute soumise, dans la dévotion que tu portes à ton Maitre et tu peut être très fière de toi, car c’est très beau de te regarder et lire tes vécus avec autant de joie. Je te lis et me laisse transporter dans Votre monde, un monde qui donne envie, qui nous égaye et donne espoir. Je ne peut que te féliciter pour ce chemin que tu as su suivre avec ton Maitre car tu est rayonnante de beauté, une beauté intérieure , une beauté qui vient de ta dévotion pour ton Maitre, de l’envie de te dépasser pour Lui, de le rendre fière de toi, de représenter Votre lien …


Merci pour Votre partage que je savoure toujours avec une énorme soif et envie…

Tendrement Myloon !

Par Chienne Saly
Vendredi 10 juin 5 10 /06 /Juin 19:29

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J'ai créé des albums "Images de mon esprit"...


J'y rassemble des photos, les images qui illustrent mes pensées, mes envies, mes visions du moment....des images que je publie parfois ou envoie à mon Maitre...


Largement inspirée par nos démons, nos profondeurs communes et par les lueurs de notre chemin...

 

Images-de-mon-esprit--mai-11- Images-de-mon-esprit--mai-11-

  Images-de-mon-esprit (juin 11) Images-de-mon-esprit (juin 11)

 


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Par Chienne Saly
Jeudi 2 juin 4 02 /06 /Juin 14:09

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Ce vendredi, il me semble que nous ne sommes plus qu'un.


Quand son démon sort, j'aime à le sentir comme mien

Quand le mien est attiré, il l'aspire et s'en inspire


Nous nous nourrissons l'un de l'autre et quel délice !

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Par Chienne Saly
Samedi 28 mai 6 28 /05 /Mai 11:40

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Une belle expression!

 

Ta peau, celle de ton dos, de tes fesses, de tes jambes

Tes seins, ta chatte

Sont autant de terrains de jeux

 

Cette toile reçoit les baisers et les morsures,

Les caresses et les coups,

Et se dessine petit à petit un nouvel être

 

Être de chair, de sang, de larmes

Être de douleur, de cris, de feu

Il se dessine sur ta peau, dans ta chair

Et apparait aussi dans l'étincelle des yeux...

 

Les supplices se transforment en récompenses,

Ils sont attendus alors qu'ils étaient craints,

Désirés alors qu'ils n'étaient qu'idées chassées...

 

Cette voie sombre nous sied

Le noir nous enveloppe et nous emporte

Hate de te lacérer...

Par Maître MaX
Jeudi 26 mai 4 26 /05 /Mai 16:24

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Le temps nous fait attendre.

Mais étrangement nous ne lui en voulons pas.

Nous savons que nous sommes prêts à choisir le moment.

Le moment où nous pourrons entrer pleinement dans cette dimension qui nous emporte et nous transcende. Apte à en savourer chaque instant !

 

Notre souhait est surement de ne pas nous perdre, de ne pas nous laisser envahir par le monde d'à côté. Nos esprits s'attachent à cela...

 

Nous échafaudons, les idées fusent mais une nous brûle actuellement…

Elle n’arrivera peut-être pas en premier, mon Maitre en décidera ! (tant d'autres choses se passent dans sa tête ! )

Mais je l’imagine d’ores et déjà. J’ai envie de ces nouvelles sensations, celles du bambou qui s’abattra sur mes reins, mes fesses, mon dos, mes jambes, mon ventre et mes seins. Qui zèbrera mon corps de ses désirs démoniaques. Et quand la douleur me saisira, je veux que mon esprit s’envole dans le sombre de ses yeux. Que ses pensées me prennent et m’emportent. Qu’il soit moi, qu’il soit mes sensations, que je ne sois plus moi, pour n’être que lui, qu’à lui.

 

 

puni

Par Chienne Saly
Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 22:10

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Le chemin que nous empruntons est sinueux...

 

Cocu s'est perdu en route

Nous avons croisé beaucoup de partenaires

Certains continuent non loin de nous

 

Nous avons créé des liens

Forgé des personnages

Partagé nos envies,

Echaffaudé

Et joui...

 

Nous avons rencontré des êtres qui ne nous étaient pas inconnus

Car nous les avions en nous depuis longtemps

Ce qu'ils ont soufflé à nos oreilles attentives nous a mis en appétit

Et depuis le chemin s'éclaire dans le noir

 

Le chemin s'est parfois élargi

Aujourd'hui il se resserre

Nous avons de la ressource

Savons avancer

Veiller l'un sur l'autre

En complices

 

L'envie, le besoin de pénétrer dans ta chair est fort

Par ma langue, mes doigts, ma cravache, mes mots, mon sexe...

Que ce chemin est fou!

Par Maître MaX
Mercredi 18 mai 3 18 /05 /Mai 14:19

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Mon Maître et moi parlons de marques, les désirons, les voyons, les ressentons, les vivons……

 

* La première marque, dans nos étapes, est celle de nos esprits, du Lien.

Mon Maître et moi sommes présents l’un "dans" l’autre, l’un à l’autre, et l’un pour l’autre par l’intermédiaire de ce Lien extraordinaire. Et quand nos regards fusionnent, la marque des démons se lit, profonde, brillante, illuminée, marquante !

En dehors de nos rencontres, nos auras réciproques accompagnent nos êtres. Jamais seuls, toujours emprunts de sensations, de saveurs, de visions, de mots… d'une force étrange!

 

* La marque de nos effluves, de nos liqueurs.

Celles qui nous restent sur la peau, sur les doigts quand nous nous quittons. Celles qui nous restent en mémoire et que nous sentons longtemps après, qui nous ennivrent et nous emportent... Humm....


* Les marques symboliques et pourtant si importantes aussi :

J’apprécie de porter mon collier, le sentir me serrer, me tenir. Savoir qu’ainsi je marque, aux yeux de tous, ma condition de chienne et surtout mon appartenance. Un seul être en a la laisse et peut me tenir à sa guise, mon Maitre. 

Cette empreinte autour de mon cou libère une partie de moi ou plutôt me permet de n’être plus que Chienne Saly. Pas de promiscuité.

 

J’ai aussi un collier/ruban avec l’initiale M, marquant que je suis la propriété de Maitre MaX. Il me permet d’être chienne, Sa chienne, de sentir sa présence en toute circonstance, de me présenter et de l’honorer de son port en tout lieu. Ce collier, je le caresse quand je suis seule et le porte avec fierté.

 

Marquer mon corps de Mx, c’est voir et faire voir ma condition, désigner et affirmer qui est mon Maître, qui nous sommes. C’est commencer à imprimer dans ma chair, son Etre, son emprise, notre Nous.


 

* Les marques marquantes, saisissantes, transcendantes.

·    Nos morsures… elles nous rappellent à Nous, à l’Autre, dans nos vies parallèles.

Les toucher nous saisit de souvenirs, de sensations et de plaisirs. Douces nostalgies des moments ou saveurs subtiles. Nous les adorons comme le symbole de certaine rencontre et surtout de la fureur de nos démons.

 

La cire chaude et colorée. Elle brule mon corps, m'échauffe et m'enrage. Elle marque le jeu de mon Maitre.  


·    Autres marques : Nous en sommes qu’aux premières, celles des fessées appuyées, du fouet, du vime, de la cravache…

Elles me marquent dans la chair, profondément.

Elles marquent l’esprit de mon Maitre.

Elles sont la marque de nos jeux d'esprit, du repport de nos limites, de la révélationsde nos sensations, de nos émotions....

Elles ne sont pas trop douloureuses après la séance (pour le moment) mais elles me rappellent au vécu.

Elles me rappellent cette partie de vie démoniaque que je dois cacher au quotidien aux gens qui ne comprendraient pas.

Elles me rappellent cette capacité à me transposer, à m’abandonner à un seul être, mon Maître.

 

Quand je les vois chaque jour évoluer, que je les caresse et les soigne, j'éprouve une certaine fierté à ce qu’il m’ait marqué ainsi ! Je vois l’expression du démon et son évolution. Je ressens ses mots et ses attitudes, sa façon d’être et son plaisir à cela.

Mon corps les gère, les assimile tout comme mon esprit. J’évalue le don de mon Maitre et revois à chaque fois la profondeur de ses yeux et leur lueur. Je sais que ces marques sont celles de son esprit démoniaque et des sensations de son autre être, de celui qui s’affirme enfin. Et plus elles évoluent en précision, en incision, plus je savoure son offrande.

 

Les marques de lien, d’attache, plus futiles, mais qui créent une image du ce lien. Des images esthétiques, embellissant le corps. Elles sont aussi une source de visions plus poussées où, à l'avenir,  elles prendront un rôle déterminant.

 

D’autres marques vont venir. Nous les attendons, nous les souhaitons, nous savons qu’elles seront toujours liées à notre évolution, à nos envies, à notre expression, à notre don de soi, à notre abandon, à son emprise.


- tatouage, piercing, branding

- chaines........

- autres objets : fouet, bambou, ....et autres

- autres sentiments

et surement des déviations perverses encore inimaginées...

 

PS : je désirais illustrer ces premières expériences de nos photos mais je me rends compte que ces marques n'ont de valeur et de véritables sens que pour nous ! Que l'image ne traduit pas nos sensations, nos ressentis, notre acceptation, notre don du corps et de l'esprit, notre vécu, peut meme les désservir. Alors je vous laisse imaginer selon votre conception, celles que vous voulez bien voir.

Saly



Par Chienne Saly
Lundi 9 mai 1 09 /05 /Mai 23:42

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Chienne,

En ce jour particulier, je me sens renaître...

 

Ton attente, tes postures, tes morsures portent leur fruit

Le démon gagne du terrain, il a compris que consumer ce qu'il touche ne sert à rien

Il contamine, se développe, prends place

 

Le M continue de se créer, se forger

Nous sommes marqués

Et le serons encore plus!

 

Un Homme, un Démon, un Maître

Moi

 

Merci d'être présente!

Par Maître MaX
Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 08:30

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Souvent nous jouons

Toujours nous jouissons

Encore et encore

 

Ce plaisir est fort

Mais n'est pas un but en soi

Les efforts pour l'attendre

La sueur versée

L'énergie dépensée

Les regards échangés

Tout cela libère!

 

Alors oui le plaisir est libérateur

Mais parce que nous libérons nos démons pour l'atteindre!

Par Maître MaX
Jeudi 5 mai 4 05 /05 /Mai 08:18

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Le RDV a été pris par mon Maitre avec un homme de passage dans la région (que nous avons déjà rencontré). Maitre MaX souhaite et désire que je puisse assumer mes désirs.

Très peu de consignes me sont données : être femme, chienne, assouvir mes désirs, utiliser cet homme pour mon plaisir. Oui, je vois ce que je peux faire, comment m’y prendre mais je sais très bien que cela ne viendra pas naturellement. Le timing est juste, c’est vrai.

 

Plusieurs choses me posent soucis au retour de mes congés mais le défi est là et je n’ai pas envie que l’on croit que je me défile. Alors j’irais et ferai au mieux.

C’est une épreuve, je ne peux le prendre autrement.


L’homme que je nommerai B. a reçu ses consignes. Quand, comment, je ne sais pas.

La nuit arrive et l’homme précise par mail l’heure de notre rencontre. Je me permets de lui répondre (en l’absence de mon Maitre) et là, je me sens engagée, je me prépare, je n’ai plus trop d’appréhension. Prête à jouer assurément mais pas d'envie particulière.

 

Je me souviens du scénario évoqué : diner (que va-t-on se raconter ? parler sexe serait le mieux), puis il pourra faire ce qu’il veut de moi et dès qu’il jouit c’est moi qui prend les rênes… soupir. Je fais confiance à mon ressenti, à mes capacités d’adaptation et aux mots que je me répète : « il faudra », "ça viendra".

 

Jupe courte sur des bas, rien dessous, un pull ajouré, des talons et un imper, j’ai mis mon collier noir portant l’initiale de mon Maitre et marqué ma chatte de ce même M. J’arrive sur le parking de l’hôtel et monte sans hésitation. J’ai bien vu le regard à l’accueil mais je souris et me permets de demander où sont les ascenseurs. Je me vois dans la glace, mon collier est en place et je ne sais si c’est une femme d’affaire qui monte ou une call girl mais je me trouve bien. Une respiration devant la porte et je frappe.


B. ouvre la porte, accueillant et me félicite de la ponctualité. Ca va, je suis à l’aise, il me débarrasse et me présente les lieux.

« On fait ce que tu veux, tu décides » dit-il.

La phrase qui tue ! Je reconnais bien là mon Maitre. Comment enchainer face à cet homme, que dire, que faire, comment faire…


Il m’aide en me disant qu’il peut engager. Rassurée, mais perturbée, je le suis sans répondre pas car je suis déçue de ne pas être à la hauteur des exigences de mon Maitre. Pourquoi mon démon ne sort pas pour m’aider ? (peut-être un manque d'envie ou de désir).

 

Près de la fenêtre, il me prend de dos contre lui et m’embrasse dans le cou, commence à me dévorer. Je me cambre et m’offre d’instinct. Je sais que mes cambrures ne pourront que l’exciter et j’en joue même si ce n’est pas moi qui ai pris les rênes. Face à face, il fait chaud et l’excuse me permet de me dévêtir. Il me dévore toujours, j’évite ses baisers. Puis j’ose palper son pantalon, savoir l’effet, le stimuler directement. A mon tour.


Il est excité. J’ai envie de le prendre en bouche, de lui montrer que je peux le prendre en main. Et qui sait, si je peux, l'amènerai-je sur le lit. Alors je m’accroupis et finis de lui ôter son pantalon pour prendre sa queue entre mes lèvres. Il admire mes courbes et me le dit. J’accentue ma position. Je sais que mes fesses ressortent ainsi (n’est ce pas Maitre). Je joue de mes lèvres et de ma langue,  il apprécie.


Il veut ensuite que je m’allonge sur le lit pour me « dévorer ». Très vorace cet homme ! Et ce n’est pas pour me déplaire. Je m’allonge. J’aime ça, même s’il est plutôt fougueux. Quand il joue de mes trous et se caresse sur ma chatte, je joue de mon clito. J’augmente mon excitation, le provoquant surement. Il me demande de continuer à me masturber et il alterne les coups de langue et les doigts. Voyant que j’apprécie les stimulations clitoridiennes, il me propose de s’en occuper et prend un mini vibro avec lequel il  me caresse le clito, bien érigé maintenant. Je cherche ma position, tangue, vacille mais ne bascule pas. Par contre le plaisir est intense. Je me tortille, je profite.

 

B. a usé et abusé de caresses en se frottant sur ma chatte, entre mes cuisses. Simulant parfois des pénétrations. J’apprécie. Plus ou moins à l’aise quand son sexe entre de trop. Il gère et le jeu est délicat et stimulant. Le seul bémol est que la longueur des frottements fait descendre mon excitation. Je prends souvent mon clito en main, utilisant parfois le petit vibro. Les sensations m’envahissent de partout.

   

Il me prend. Je sens sa queue épaisse sur mes parois et là, j’ai envie de profondeur et de percussions. Je savoure dans un premier temps puis constatant que la profondeur n’y est pas, je demande plus de rythme et de force par des « encore », des « plus fort », des « oui ». Il suit mes demandes mais l'impact n'ai pas celui que je souhaitais.

Il me demande ensuite de me mettre à quatre pattes. Je ressens la chienne en moi. Elle accentue ma posture. J’ai envie de tout lui montrer pour l’exciter encore plus. Je sais que la vision est belle. Et puis, peut-être que les sensations seront plus fortes, plus profondes ainsi. Je m’offre. L’image serait à votre gout Maitre j’en suis persuadée. Tant de fois vous m'avez appuyé sur les reins qu'ils suivent maintenant votre geste.

(c’est vrai que ces positions me ramènent à vous, par l’offrande qu’elle pourrait être à vos yeux. Je ne suis pas seule dans cette chambre).


Il me prend et l’impact est plus important. Je joue toujours de mon clito pour ne rien perdre en sensation et m’en donner encore et encore. J’entends des mots crus : salope, pute, chienne… Cela ne me déroute pas excepté le « ma chienne ».  M’avez-vous prêté en tant que telle, Maitre ? Salope et chienne me flatte plutôt et pute me rappelle à ce que je suis en train de faire, de ressentir quand le temps se substitue au plaisir. Rien n’est faux. J’admets ces mots et leur synonyme n'est autre que "jouisseuse" !


Il me place ensuite sur le côté, j’ai l’impression qu’il a lu en moi. Là, en effet, l’efficacité comme je la veux est au rendez-vous, je savoure et apprécie. Oui, j’aime cette position et la vision qu’elle m’offre. Mon regard démoniaque est là. Je gémis, je jouis sans partir vraiment mais en profitant intensément.

 

Il me prendra ensuite à quatre pattes sur le bord du lit. La chatte commence à chauffer sérieusement. Le gel est le bienvenu. Il m’avance ensuite et me sodomise. J’attendais cela. Je savoure. Et même s’il se présente avec délicatesse, j’ai qu’une envie, c’est qu’il y aille à fond. Un mouvement et il y est. Les va-et-vient ont vite fait de m’emporter sur les bords de la jouissance. Mon clito s’anime sous mes doigts, un plaisir intense ! Que j'aime ça !


Il a encore envie de me « dévorer ». L’enchainement me convient. J’ai envie qu’il me fasse jouir. (J’entrevois ma chatte nue, sans votre marque, Maitre. C’est perturbant. J’aurais envie de le remarquer, j’essaie de passer outre).

 

Pendant qu’il s’affère, je prends sa queue. Le jeu est bon mais assez long et surtout, il ne me connait peut-être pas assez pour m’emporter ainsi. Je m’en rends compte. J’essaie de me positionner de trouver le point d’emportement sous ses coups de langues. Mais en vain (pour moi). Maitre, comment dire les choses ? le plaisir est là sans nul doute mais pas la jouissance que je recherche.

 

Je le suce toujours et essaie moi aussi de l’amener à la jouissance. Mais je sens bien qu’il vacille entre laisser aller et retenu. (Je me souviens de la phase où s’il jouit, je prends les choses en main. Est-ce cela qui le fait se maitriser ? ). Je mords et avales ses couilles, il apprécie beaucoup… la chienne est visible et joueuse.

 

Puis, il me fait mettre à plat ventre sur le lit, jambes serrées, il caresse encore sa queue entre mes fesses, simule des pénétrations, joue. J’avoue que la longueur de l’acte me perturbe. Je ne sais pas trop comment réagir, que dire ou comment le dire. J’aime la sensation d’être prisonnière ainsi, à subir mais il me manque l’effet. Alors au bout d’un moment, je me retourne pour changer le jeu.

 

Il revient sur mes arrières et me pénètre alors la chatte puis le cul. J’adore. Etre ainsi jambes serrées et le sentir entrer en moi. Mon esprit s’envole. Mes visions se bousculent. Je me cambre et en demande encore et encore. La jouissance ne tarde pas. Notre noir est là, Maitre, et me fait chavirer. Je ne suis toujours pas seule.

 

Epuisée mais ravie. Mes antres sont bouillantes et j’ai pourtant l’envie d’en prendre encore. Une sorte de défi me  passe par la tête : aller encore plus loin, lui montrer que j’en veux encore, une envie de l’épuiser.

 

Jambes écartées, il m’a remise face à lui et me fiste. Je montre que j’aime ça, et accompagne ses mouvements. Je veux qu’il m’emporte, j’ai le souvenir de la première séance avec lui et je sais qu’il sait faire. Là, le plaisir et la jouissance me submergent, je ne peux que gémir et crier en suivant ses stimulations. Conscience du lieu mais irrésistiblement emportée.

 

Pour finir, je le suce. Il n’a pas encore joui. J’ai envie qu’il vienne, de lui offrir cette jouissance. C’est vrai que je le mords pour le titiller, le teste et juge de ses points clés. Il savoure et je suis ses gémissements. Il vient dans ma bouche. Satisfaite, oui. Juste retour de jouissance bien qu’il m’en ai offert beaucoup.

 

Je quitte la chambre avec la pensée de mon Maitre, la vision des postures que j'aurais pu lui offrir.

J'ai dormi avec mon collier pour sentir mon Maitre me tenir, m'enserrer.... Un besoin qu'il soit là cette nuit...


Cette rencontre m’a permis de me confronter à moi, la femme qui ne libère pas encore la chienne qui est en elle. Encore du chemin à faire mais des déclics se font. Je vois où sont mes points faibles et je vous les expose à mon tour Maitre pour que vous m’aidiez. J’espère ne pas vous avoir déçu et si tel est le cas, suis prête à vous entendre et à subir ce que vous jugerez bon.

Merci de me mettre ainsi à l’épreuve.

Par Chienne Saly
Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 17:42

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J’y pense, les vois et les attends 47018 150660208308984 150283371680001 232117

Seulement, je ne sais comment

Oui, comment elles me maintiendront ?

Quelle sera ma position ?

A quatre pattes ou suspendue,

Ecartelée ou étendue,

Offerte à, ou sous vos yeux 

Utilisée et abusée

A souffrir comme à jouir

Dans la douleur et le plaisir

Anxieuse de ne pouvoir bouger

Seul votre esprit pourra juger

Désir de lueur dans vos yeux

Désir de me sentir en feu

Désir de ne plus être là

Pour mieux renaitre dans vos bras

 

 

attachée 1

 

 

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entrave (5) nb entrave (6)


Par Chienne Saly
Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 15:03

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Cette séance est un souhait de Pam. Elle a demandé à son Maitre et au mien la permission d’une rencontre et avec leur validation de scénorio, cela a été programmé. Bien sur nos Maitres seront les auteurs du scénario final, nous n'en doutons pas !!

Le RDV est pris en soirée, je m’y rendrais seule avec les consignes de mon Maitre. Une première, effective nous dirons….

Ma tenue : bas, jupe noire, chemisier ajouré gris et veste de tailleur, talons hauts. Je porte mon collier avec le M et j’ai marqué mon pubis de cette même lettre. J’affectionne ces gestes et y prend soin. Je suis bien, avec une légère boule au ventre, fière d’y aller seule, représentante de nos démons.

Pam est en mini jupe, perchée sur de superbes talons, un chemisier transparent, son imposant collier de soumise. Je ne doute pas que son Maitre adore. Elle est très sexy et m’impressionne. Elle vient m’accueillir ainsi, très à l’aise…

 

Pam et moi sommes assises sur les canapés à boire un verre. Elle a installé du matériel sur la table basse : plugs, chaines, pinces de toutes sortes, cravache, collier, ceinture, …..

Maitre L. arrive et Pam se lève dès son entrée,  le salut et je la suis pour faire de même.

Les « vous » m’interpellent déjà. C’est à la fois étrange et pas théâtral, une habitude évidente et une prise de condition de Pam que l'on sens immédiate. Je ne sais si c’est par appréhension mais j’ai le sourire (peut être ma défense face à l’inconnu, face à la froideur dont je me souviens mais que je veux affronter). Je sais que je ne suis pas soumise à ce Maitre mais que je lui dois obéissance et devrai suivre tout ce qu’il me demandera tout en restant moi, chienne, la chienne de Maitre MaX. Je n’ai pas de problème de ressenti, ni de condition.

C’est vrai que sa réponse à mon sourire m’a donné dès le début l’éventualité d’un terrain de provocation et de défi. Je me sens à l’aise tout à coup mais pas pour autant rassurée. Dans un premier temps j’écoute et sens l’atmosphère. M’imprègne. Je n’ai pas vraiment de question sur ce qui va se passer, seulement sur le jusqu’où il va aller.

 

Il nous assoie l’une à coté de l’autre et elle doit se mettre les menottes autour d’une cheville. Elle ressert à boire ainsi. Pour le moment, nous échangeons beaucoup de sourires complices.

Puis, il lui met les pinces aux tétons mais elles sont trop douloureuses (à priori mal mise). Pam dit qu’elle ne supportera pas et l’implore. Il rétorque de me demande de les lui remettre correctement. Ce que je fais avec application dès sa demande… Je suis tout cela, en me demandant ce qu’il va faire de moi, et en admirant la mise en place des contraintes. Il la fait mettre à quatre pattes, tête sur le dossier et la cravache devant moi. Etrange sensation de vivre cela en direct, en spectatrice, sans subir moi-même. Je ne mesure pas les impacts, ne les connais pas assez pour cela. J’attends mon tour et cela ne tarde pas. Il me prend la main et me guide vers les chaines qu’il vient d’installer à la poutre du salon. Il m’y attache les bras bien écartés, me respire, m’écarte les jambes, je me cambre par instinct. Je me présente simplement et naturellement comme pour signaler que j’offre mon corps à ses désirs. Chienne, je crois que je n’ai pas oublié ma condition. Mais je souris encore. Il prend la cravache, se dirige vers les fesses de Pam qu’il fait cambrer pour lui asséner des coups secs qu’elle compte immédiatement en le remerciant. Une vision réjouissante dans l’appréhension des sensations, du mélange de dureté et de douceur, de la docilité de Pam à suivre leur règle.

Un miroir dans la pièce me permet de voir son visage et vice et versa. Un jeu de sourire et de soutien se met en place entre nous. Mais tout va bien si ce n’est qu’elle se tord sous certains impacts et que je ne sais pas l’intensité de sa douleur. Surprise ou douleur ? Cumul ou endroit sensible ? Je n’arrive pas imaginer les sensations mais admire la gestion des coups de Maitre L. .nbDSC03662

Il vient ensuite vers moi, remonte ma jupe et me respire toujours. Je suis dans l’attente et le désir de ressentir ce que vient de vivre Pam. Quelques coups de cravaches, vifs mais qui se diffusent rapidement.

Il me remonte alors le chemisier et place délicatement les pinces à chacun de mes tétons. Une douleur, oui, mais elles sont bien mises, la douleur n’est pas intense, plutôt légère à mon grand étonnement (sauf sur le 2ème mais l’intégration se fait plus vite qu’à l’habitude).nbDSC03663 Je sais que mises ainsi, elles me permettront de subir ce qu’il souhaite et sur le temps qu’il voudra. Je crois que j’ose le regarder dans les yeux et exprimer mon défi, mon plaisir d’être ainsi. Quelques coups de cravaches aux deux et il décide d’aller prendre sa douche. Personne ne dois bouger, ni parler. Et cela sera le plus dur, vu la complicité entre Pam et moi en vis-à-vis dans ce miroir. Il place sa cravache derrière ma nuque et me précise qu’elle ne doit pas tomber. Bien, je la maintiendrai. Il ajoute une chaine sur les anneaux de mes pinces pour faire du poids. Ensuite, il attache les poignets de Pam et la mettant sur ses genoux, jambes relevées, les lie aux chevilles par une chaine qui lui passe élégamment entre les fesses. Je trouve ce tableau sublime et voudrait prendre une photo mais n’ose demander. Il tumblr ljbcfoXqzq1qeif2co1 500 s’en va.

 

 

(photo représentante de la posture)

 


Bavardages, nous nous faisons surprendre par son retour.

Pam a bougé et ne peut plus se remettre en place. Il la relève et lui assène quelques coups de cravaches en punition de sa désobéissance. Il nous rappelle à l’ordre puis il repart mais ne tarde pas à revenir. Même punition pour les deux et une chaine de plus sur mes pinces. Là, nous attendons vraiment que l’eau coule pour se parler, se demander si ca va. Pas de problème et on s’admire l’une, l’autre de nos résistances et dans nos postures, toujours par l’intermédiaire de ce miroir.

Nous patientons…

Attendons.

Pas de notion du temps qui passe… la piqure des pinces commence à se faire ressentir. Jusque là, la sensation était nulle comme anesthésiée mais elle se réveille.

Il revient, je dirai presque « enfin ». Il ajoute une troisième chaine à mes pinces, et joue avec mes sensations douloureuses en soulevant et lâchant les chaines. Petits picotement aigues. Il reprend sa cravache et poursuit la séance. Les seins continue de me tirailler mais dans le supportable. Pam prend des coups très percutants et flanche parfois selon les zones d’impact. Toujours à compter et remercier son maitre à chaque coup. A supplier aussi. J’apprécie le spectacle, la gestion et la maitrise, le jeu de Maitre L. Pour ma part, le feu des coups me saisissent mais pas au point de bouger (juste un peu parfois). Suis-je dans le défi ? Oui, je pense. Ma volonté est de ne pas bouger et les coups deviennent supportables par la fierté que je ressens et adresse à mon Maitre. Je gère ma respiration et j’y arrive. Je repense à ma séance de lundi, à la puissance du feu des coups de mon Maitre. Je compare les impacts et me demande si j’aurai encore le coup qui me fera flancher. Je sais mes fesses marquées de bleus et Maitre L suit assurément les consignes de mon Maitre, s’applique à frapper les zones à coté, plus sensibles et surement en limitant les traces (consigne). Entre les frappes, il joue des chaines en les soulevant pour les laisser retomber. Cela reste supportable mais me titille quand même.

Il me sonde et je mouille assurément vu le bruit ! Son souffle proche reste à mon écoute.

Il alterne, joue de nous, de nos réactions. Il ôte enfin les pinces qui devenaient assez douloureuses. Mais le retrait est atroce !!! Heureusement, il passe vite. Puis il me détache et libère Pam.

 

M’amenant au coté d’elle, il me demande de m’installer confortablement, jambes écartées face à sa soumise et lui ordonne de s’appliquer à me lécher. Il la guide, lui apprenant la sensibilité à avoir. Je suis l’objet d’un cours et j’aime ça car je suis un peu dans mes fantasmes d’antan. Etrange transposition.

Ensuite il lui tend un gode et elle me l’enfonce dans la chatte. J’aime ça. Sous la gouverne de son Maitre, elle accompagne le gode de sa main dans mon antre. La dilatation est délicieuse et j’aimerai tout avaler. Les mouvements accélérés par son Maitre transforment le cours en jouissance. Je me tortille, apprécie, profite (détente ou je profite pour nous). Tantôt, je ferme les yeux pour retrouver ma noirceur démoniaque, tantôt je la regarder faire,  telle une voyeuse.  Je jouie enfin (plaisir de douleur) par le gode et la stimulation de mon clitoris.

Pause.

Maitre L. dirige sa soumise vers les chaines et la suspens à son tour. Il lève sa jupe et la cravache. Il me présente le petit plug et le gel afin que je le prépare. nbDSC03668Puis il me convie à venir plugger sa soumise. Je l’apprête  délicatement avec mes doigts enduits de gel. La pénètre un peu et sens qu’elle est prête, ouverte. De mon côté, j’éprouve un plaisir de devoir faire cela. Une envie de m’y appliquer et de la faire jouir comme si c’était pour moi. Envie de la posséder en quelque sorte (voir de dominer).

Une fois pluggée, je joue de vibration pour la faire gémir, jouir. J’adore. Elle vient et en mouille le sol. Mon plaisir est certain quand j’arrive à ça !

 

Je suis ensuite accompagnée de l’autre coté de la table basse, face à elle.

Maitre L. me présente sa queue et guide ma main vers elle. C’est ce que Pam voulait voir, apparemment. Attachée, pluggée, elle ne peut rien. Je branle son Maitre et dans le jeu que je comprends, me rapproche de  lui, joue de regards, de souffle désireux pour attiser les choses. Mon démon est là. Oui, mon Maitre, je pense à vous et à vos envies de me voir chienne, entreprenante. Je me dis aussi que Pam à le même désir que moi, un désir de voyeurisme et de « torture » mentale entre guillemets face à ce que les femmes redoutent mais qui excite parfois très intensement. Je provoque donc. M’approche encore. Ne descends pas en soumise mais agit comme une femme désireuse. Puis Maitre L me fait un signe pour descendre. Je m’exécute et prend sa queue en bouche. Prête à m’appliquer au possible, à lui faire des gorges profondes et des jeux de langues. Je suis en même temps ses désirs. Il se retient et pour conclure me mets à quatre patte sur le canapé (comme Pam au début), me cambre et me prodigue un fist anal. Il détache Pam et la fait venir pour qu’elle joue de moi. Approchant, il la guide pour qu’elle me fiste à son tour.nbDSC03671 J’y prends plaisir mais je sens aussi que Pam y prend le sien . Son souffle et ses gémissements suivent les miens. Ma main sur le clito, je me « détends » et fait monter la jouissance. Les deux faisant, j’accepte sa main facilement et jouie d’un orgasme clitoridien en même temps. Je profite et savoure. C’est un beau moment où je suis l’objet d’un cours, possédée mais libre. Reconnaissante à Pam du plaisir qu’elle me procure, de son application et de son plaisir propre que j’ai ressenti.


Pause

Mon M s’est effacé et je prends soin de le réinscrire sur mon pubis.

J’ai besoin aussi de sentir ce M autour de mon cou et m’en sent plus chienne, en son honneur et pour son honneur.

 

Maitre L me fait prendre place dans le fauteuil et m’enchaine les bras derrière le dossier. Il remonte ma jupe et demande à sa soumise déjà à genoux sur ses coussins de sol de me lécher à nouveau. nbDSC03673Elle doit apprendre à connaitre et sentir les femmes pour les faire jouir. Le cours reprend. Mais pour assurer l’application de sa soumise, il me place des pinces sur les seins. Déjà torturés, ils sont extrêmement sensibles et la douleur n’est pas aussi supportable que tout à l’heure. Il demande à Pam de s’appliquer pour me faire oublier les pinces et me dit de la guider si je veux qu’elle réussisse à me faire passer outre cette douleur.

Je chuchote à Pam, « encore », « oui », « appuie », « suce-le ». Il y a une certaine gène à devoir dire cela mais je le fais pour Pam, pour qu’elle y arrive et qu’elle me fasse jouir.

Effectivement Maitre L, elle est plus efficace que tout à l’heure !

Et même si elle manque à me faire partir à plusieurs reprises, je suis au bord mais n’y arrive pas. Il me manque un geste, une chose ou un laisser aller que  je ne trouve pas. Les pinces me torturent sérieusement. Et leur retrait sera encore plus douloureux !!! Malgré les instructions, elle ne me fait pas venir. Son Maitre lui présente alors le gode. Pam s’en saisit et sous sa gouverne, me remplit la chatte en le mettant en double. nbDSC03678Elle fait des mouvements rapides mais j’ai besoin de plus. Plus de profondeur, plus de percussion et plus de rythme. Maitre L l’aide et finit par prendre l’objet en main pour lui faire une démonstration. Je suis aux anges car même attachée ainsi, je pars dans la jouissance. Je gémis, cris, il ne lésine pas et je finis par venir dans la douleur et le plaisir.

Epuisée, calmée, je reprends mes esprits sur le fauteuil. Je pense.

Je reste ainsi mais j’ai un manque profond à ce moment là. Cette jouissance, j’aurai aimé l’offrir à mon Maitre.

Les autres (moins intenses certes) traduisaient, de ma part, des postures, des attitudes, celles de la chienne de maitre MaX. Fière de nous représenter, fière de représenter l’honneur de mon maitre. Là, attachée, je n’ai pas été libre en attitude. Partagée entre douleur et plaisir de ces percussions, je suis partie dans mes visions, mes sensations, une certaine concentration pour annihiler le mal et sentir le bon. La jouissance manquait de dimension. Quelque chose me manque, oui. Quelqu’un c’est sur. Mon autre dimension.

Pause

Attachées ensemble aux chaines du plafond, Pam derrière moi, je vais sentir tout ce qu’il lui fait et elle me sentira également.

Il la plugge à nouveau et la manipule à gémir. Son souffle dans mes oreilles et son corps sur le mien, m’excitent grandement. Je me cambre pour la sentir encore plus. Elle mime peut-être une pénétration mais cela m’est égal, je savoure, accentue les gestes. Cherche aussi à la coincer entre moi et son Maitre pour plus d’impact.

Ensuite, cote à cote, maitre L me maintient et prend le gros plug. Il détache Pam pour qu’elle prépare le plug et lui demande de me faire ce qu’elle a subit en premier lieu. Il débute lui-même l’entrée mais j’ai du mal, appréhende la douleur de pénétration et n’arrive pas à me décontracter. Il me maintient fortement et limite mes mouvements. Pam a pris le plug et c’est elle qui va me le mettre. Il l’a pousse par des mots lui rappelant ce qu’elle a subit de ma part. Elle me caresse, il me serre. Et je ne sais qu’elle douceur va me décontracter au point que le plug entre sans douleur. Soulagée qu’il en soit ainsi.

Maitre L. raccroche Pam à coté puis manipule les deux plugs, les culs. C’est vraiment bon d’être emplie et de retrouver les sensations anales !! On se tortille, on s’embrasse. Il n’arrête pas. Et tout à coup, je ne sais comment, après un bref arrêt, la reprise m’emporte et j’éjacule sur le sol. Je suis trempée. Les pieds de maitre L aussi. J’apprends que Pam à fait de même, en même temps.

Elle n’a plus qu’à essuyer les pieds de son Maitre. Je n’en reviens pas de ce déclic mécanique que je ne sens pas venir. Moi, qui étais dans mes visions noires et pensant à mon Maitre…

 

Merci Maitre L de votre prise en main et de m’avoir offert ces moments. Merci à Pam pour son initiative et sa complicité.

 

Merci Maître,
de cette délicieuse soirée où il me manquait quand même une dimension, la votre...
je n'ai pas été soumise de Maitre L. mais « démoniaquement »  docile et à l'écoute...
j'ai beaucoup touché mon M au tour du cou et assurément la dimension correspondant à la profondeur de vos yeux m'a manqué, comme le don de ma jouissance. Elle n'a pas le même gout à distance. Mais le plaisir de vivre de tels actes m'a transportée dans ma bulle (mes fantasmes, mes envies), m’a fait savourer les visions et les sensations qui se déroulaient.

J’espère avoir répondu à votre attente.

Par Chienne Saly
Lundi 25 avril 1 25 /04 /Avr 21:38

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Envie de douleur, de marques sur ma peau trop lisse. Oui trop de lisse en ce moment, mon démon étouffe un peu en moi, a envie de retrouver son homologue, de le voir, de le sentir…

Envie d’intensité, de profondeur, de sensations…

Et envie de son nectar, une dernière fois avant son départ.

 

Maître MaX me donne rendez-vous dans les ruines de la maison que nous affectionnons et je dois être nue sous ma robe avec des bas. Mon collier « M » au cou et sa marque sur le pubis.

 

Sur le chemin nous avançons assurés de nous donner l’un à l’autre, il n’y a pas de doute. Mon Maitre n’a pas oublié son sac noir et la cravache en dépasse. Curieuse de savoir comment il va aborder la séance. Moi qui sourit encore et toujours, lui qui répond encore, si complice.

Nous sommes envahis par le désir dès l’approche de la maison en ruine et je suis déjà tenue d’ôter mon par-dessus… Etreintes, tests, dans ce bien être je le sens toutefois déterminé, et j’en suis ravie.

Je peux jouer un peu, lire dans ses yeux, le provoquer, le titiller. Nous verrons ce qu’il adviendra. Envie mutine, espiègle, oui.

 

Nous entrons dans les ruines.

Il me demande de relever ma robe pour lui montrer mes fesses. Sa toile, vierge, lisse et blanche.

Prête à être cravachée, j’en est furieusement envie, j’en coule surement… A sa demande, je recule contre le mur pour me présenter, me faire observée. Mais là, pas de gène. L’envie, le désir déborde.

« Tourne-toi ! »

Je m’exécute consciente que le ton est donné.mxnbIMG 1620

« Présente moi tes fesses »

Je lève ma robe

« Écarte les jambes »

Que des ordres qui me font fondre… de l’entre jambes !. Je le sais, je le sens, il le sait…

 

Je suis une toile blanche, objet d'expresssion....

 


 

Les premiers coups de cravaches sont certes brulants, cinglants mais c’est une chaleur douce, un bonheur de les recevoir. Je les ai tellement attendus. Peut-être une délivrance à cette attente d’offrande (pour les deux !).

Je ne peux m’empêcher de sourire. Au début par plaisir de recevoir puis par provocation d’encore…oui encore.

Encore.

mxnbIMG 1621

 

A mes sourires, il répond. Nous sentons bien le défi, la provocation. L’envie d’aller plus loin. D’accéder aux limites.

 

 

 

 

 

 


Le jeu dure et parfois la douleur me tue, je tourne la tête pour intégrer, cacher peut-être aussi mes larmes montantes. Je ne me mors pas. J’assume. L’envie de voir son regard me fait tourner la tête quand même, c’est plus fort que moi. Et là, l’expression démoniaque est sans appel ! La profondeur du regard est là, il est là, le démon. Mon démon. Celui qui transcende le mien.

Dès que les douleurs se font moins fortes ou qu’il me caresse, les jeux de regards obéissants et provocants à la fois, les sourires de reconnaissance malicieuse et de défis reprennent.

Je sais que j’en veux encore.

Je voudrais qu’il ne soit que démon !

Puis il me fait retourner. Il sort la pince japonaise, s’approche de mes seins. Je me dérobe. Mais il a constaté que ma chatte coule comme ce n’est pas permis. Il me le dit, me le montre. Alors il place les pinces sur mes lèvres pour fermer l’accès à mon antre et enserrer ainsi mon clitoris. Je le sens serré mais cela accentue le plaisir qui en vient. mxnbIMG 1627bMon Maitre tire dessus, me dit qu’il la punit parce qu’elle ne m’écoute pas et me trahit. Qu’elle en veut trop, qu’elle est insolente.

C’est vrai, qu’elle me trahit (souvent).

Il tire, joue de cela, la tiraille, l’endolorie… C’est un acte douloureux où j’oscille entre le jeu et la résistance, la modération de la douleur en me suspendant à son cou ou en le suivant dans ses mouvements et l’intégration de la sensation qui réchauffe mon antre.

Je supporte, je supporterai. J’use de stratège mais il me tient.


Il me dit : « C’est à ça que servent les anneaux ! Fermer ta chatte, la tenir en laisse pour que tu me suives, que je te guide ». J’intègre ces mots et les reconnait comme une envie, un désir, une acceptation.

« Oui, s’il y avait des anneaux, vous me prendriez comme cela et me tireriez où bon vous semble. Votre chienne. Votre O. Toute à vous et seulement à vous. Que toute le monde le sache !!». Ces mots, Maitre, ne sont pas sortis mais ce sont ceux de mon esprit a prononcé à l’écoute des vôtres.

mxnbIMG 1630

J’ai continué à résister. Puis la pince en place, il me demande de me mettre dos à lui et de me présenter.

Les coups de cravache reprennent. Je tangue entre rester, mettre la main, lui sauter dessus (mais cette dernière possibilité m’est impossible) . Il tourne autour de moi, me respire, m’observe, m’aspire, se nourrit.

La douleur prodiguée devient plus cinglante, plus brulante et plus longue à se dissiper. Je respire profondément, essaie de gérer, d’intégrer. J’ai encore des ressources pour sourire, charmer, provoquer.

 

 

Un moment de douceur, humm savoureux. Echanges de regards envoutants, jeux …Il ne cède pas ! Tire même sur la pince avant de me l’ôter malgré mon appréhension du geste.

Désir d’encore…

Il m’ôte la robe et je suis nue au milieu de la pièce. Le jeu se poursuit. Je le provoque, il me cravache. M’enserre, me repousse. Je m’approche, le touche, le sens, le défie, il sourit.

 

Je veux ce démon, je le veux plus noir encore. Je crois qu’il le sent car il me demande si je souhaite poursuivre.

Dans ces bras, je lui glisse « soit méchant ! ……….S’il te plait»

« Mets-toi en place alors », « Je veux que tu comptes à voix hautes ! », « tu ne flancheras pas ? »

« non » dis-je.

Je me tourne au milieu de la pièce, avance d’un pas et attends, les mains devant, tête baissée. Sentiment mélangé d’attente, de désir, d’appréhension, d’imagination.

Il ne lésine pas ! Le premier coup est appuyé !

« Un », ca vamxnbIMG 1632

« deux » …..

Les yeux au ciel, les mains tordantes et les lèvres pincées, j’intègre ces douleurs, ces chaleurs, ces offrandes au plus profond de mes chairs......

« Sept » les mots sont difficiles à sortir dans mon souffle.

Il veut se nourrir de mon regard. Il m’assène des coups et des caresses sans notions de temps de répits possible, sans notions de force…juste parfois l’endroit (désigné d’une caresse).

« Ne flanche pas ! ». Il est à coté et j’ai vu ses yeux noirs !!

« Huit » …….inspiration profonde !

« Slash !!!! »…. Je ne sais pas si j’ai dit neuf !

La douleur est si intense que je suis agenouillée, au sol. Recroquevillée, comme pour étirer la zone de feu et la faire entrer plus vite en moi. Les larmes coulent. J’ai horriblement mal, j’ai l’impression que ma peau a cédé.

Il me relève. Je suis calmée. Un apaisement étrange venu d’un coup. Je me retrouve chétive, docile, heureuse d’être dans ses bras et plus de sourire provocateur. Vide. Il boit mes larmes, prend mon sel. Le temps de reprendre mes esprits, je profite de cette douceur mais souhaite poursuivre… j’aime pas le chiffre neuf, comme ça : Impression d’inachevée, de faiblesse. Et puis, la douleur c’est estompée. Je m’éloigne et me remets en position.

« Dix »…c’est atroce de feu !!!!!!!!!

« Onze »…je n’en peux plus de bruler ainsi. Finalement, même si la douleur se diffuse, les coups sont insupportables et ne me transportent plus. Je suis vide. Ma main voudrait parer les coups pour ne garder que la douleur, alors je dis « stop » (notre safe word). Difficile de le dire, mais une sérénité aussi dans cet apaisement ressenti. Il le sait. Le savait. Le comprend de suite. Il n’a cessé de m’observer sur ces derniers coups. Il m’a vu frémir, intégrer et fléchir incontrolablement. Il connait la forces de ses frappes, leurs impacts et par respect, ne les a pas retenues. C’est pour moi une preuve de sa considération, de sa non sous-estime de moi et je l’en remercie.

Comme je le dit à mon maitre, je suis calmée, je n’ai plus envie de provoquer !!! Etat d’esprit étrange.

Il me prend dans ses bras, je suis vide, bien, à lui tout simplement.

 

Nous savourons quelques instants avons d’aller à l’extérieur pour nous assoir et profiter encore de nous.

Je ne sais pas s’il va m’offrir ce que je lui ai suggéré, à savoir, le boire.

Nous sommes bien, complices et heureux. Même après une telle scène. L’esprit, le désir, l’envie, la douleur sont bizarres dans ce que cela peut nous apporter de plaisirs, de bonheurs particuliers et intenses !!!

 

« Mets toi à quatre patte et suce moi ! ». Il n’en fallait pas plus pour me faire palpiter. Oui, à quatre pattes, pour lui. A ses pieds pour son plaisir et le mien.

Sa queue, pourtant tendue face à mes avances durant la séance, n’est pas sous tension. Que cela ne tienne, je me donnerai pour qu’il en soit autrement.

Je le prends en bouche et joue de mes lèvres, de ma langue, de mes doigts (autorisés). J’aime être ainsi à quatre pattes, lui offrir cette vision et j’ai même envie de relever ma robe sur mes reins ! nous sommes au beau milieu du jardin de cette maison. Je le suce, l’aspire, l’enrobe, le titille, l’enserre et le presse. Il se lève, baise ma bouche, s’enfonce dans ma gorge et m’en étouffer ! J’ai l’impression qu’il résiste, qu’il profite, ou abuse. Je le regarde et retrouve son regard de désir noir de jouissance, ses lèvres retroussées. Mon démon le dévisage et se nourrit à son tour. J’aspire ces bourses, le lèche, le mord. Il veut « ….. » (je n’ai pas tout compris). Mais je passe ma seconde main entre ses fesses, les doigts en appuie, juste une sensation, une pression qui s’ajoute sur son anus et son entrejambe. Je ne lâche pas ! Aspire, enserre encore, joue de ma langue et de mes doigts. Je sens qu’il vient. Son nectar m’emplit enfin la bouche dans ses soupirs et gémissements que je ne peux voir. Humm quel délicieux moment.

Merci, Maitre de m’avoir offert cette jouissance particulière….

 

Aujourd’hui je porte vos marques dans mes chairs ! Elles me brulent encore et me rappellent à vous. Je savoure nos sensations, les images de nos regards, de mes faiblesses, de mon attitude…

Comment exprimer cette envie irrépressive de douleur, de don et d’abandon pour qu’entre vos mains je ne sois plus que désir et plaisir, plus qu’un corps et un esprit à votre disposition. Difficile.

Merci Maitre d’avoir répondu à mes attentes. Sachant aussi que j’ai en parti répondu au votre, je suis heureuse et pense à vos mots : « attachée, tu pourras encore aller plus loin, te concentrer ………. ». Soupir…mxnbJ1 0052 .

Par Chienne Saly
Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 18:06

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Mon esprit est toujours en ébullition...des envies, des désirs...

 

En son absence, je joue, j'imagine, je traduis,  je "furète", j'écris...


Toujours envie de me donner à lui

Et hier, j'ai fait des photos

 

pour lui traduire la Femme Espiègle, Sensuelle, Provocatrice  ....

 

(les photos sont recadrées, mon regard en exclusivité pour mon maitre)

 

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Par Chienne Saly
Dimanche 10 avril 7 10 /04 /Avr 19:48

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