Je fantasme, tu fantasmes, il fantasme, nous fantasmons...

A décliner à toutes les personnes et à tous les temps, ce verbe fait partie intégrante de notre imagination érotique, et il est indispensable à notre épanouissement sexuel.

 

Plus de pudeur ni de tabous, assumez vos fantasmes, ils nourrissent vos désirs.

 

Une sexualité uniquement mécanique serait essentiellement réactionnelle, un peu comme celle des animaux qui ne copulent qu’au moment de la reproduction.

 

Nos fantasmes nous rendent humains. Ils sont le résultat de la complexité de notre cerveau : nous cultivons un élan sexuel toute l’année, toute la vie, sans beaucoup de temps morts... même s’il y en a de temps en temps !

 

En se projetant un film intérieur qui nous paraît excitant, on attise le désir. On pense au plaisir que l’on en retirera.

Par exemple, un amoureux pense à sa belle et aux plaisirs qu’ils pourront partager en faisant l’amour. Chaque moment de fantasme nourrit le désir, le garde vivant.

 

Faire fonctionner son imagination

 

Sans fantasmes, sans imaginaire érotique, le sexe, ce serait toujours pareil, ennuyeux et répétitif !

 

Et si une autre facette, celle des sentiments, donne de la profondeur à l’amour, les fantasmes ajoutent de la légèreté et de l’inventivité.

 

Parfois, on voudrait bien faire l’amour, mais on n’en a pas envie.

Que faire ? Rappelez-vous simplement d'un fantasme qui va servir de déclencheur au désir.

 

A partir de rien, un fantasme peut vous réchauffer érotiquement.

Pour un homme, le sexe est avant tout un besoin physique alors que pour une femme c'est dans la tête que ça se passe...

Grossière erreur ! La part de l'imagination est très importante des deux côtés, la différence étant qu'une femme a plus tendance à l'exprimer.

De toute manière, c'est bien connu, une femme a plus tendance à s'exprimer, tout court !

 

Quoiqu'il en soit, les fantasmes sont un bon amplificateur de plaisir dont il serait vraiment dommage de se priver.


Augmenter l'intensité du plaisir

 

Si le désir est déjà un plaisir, c’est grâce aux fantasmes.

Car on éprouve du plaisir par anticipation de ce qui nous attend, en rêvant intérieurement.

 

Ainsi, les plaisirs de l’amour sont multiples, et ne surviennent pas, heureusement, au seul moment de l’orgasme.

Le plaisir vient, pour une proportion très importante, de l’émotionnel.

Quand les caresses agissent sur le corps, les fantasmes, eux, agissent sur cet émotionnel si impliqué dans le plaisir. Les fantasmes sont en quelque sorte les caresses de l’esprit.

 

Faciliter l'orgasme

 

L’orgasme n’est pas donné facilement à toutes les femmes.

Les fantasmes, en augmentant le niveau d’excitation, intensifient aussi le plaisir, lui permettant d’aller jusqu’à l’orgasme plus rapidement ou plus facilement.

Pour certaines femmes, un fantasme, une image érotique intérieure est indispensable pour obtenir un orgasme.

 

Si vous partagez un fantasme comme un jeu (jamais comme une obligation), vous vous rapprochez émotionnellement, vous jouez ensemble.

Or, le but de la sexualité est bien de fusionner, de se sentir le plus proche possible de son partenaire. En cela, les fantasmes peuvent être très précieux

On fantasme souvent sur des hommes que l'on ne peut pas avoir, des stars de cinéma, des collègues de boulot ou même son coiffeur, cela nous permet de nous évader, de faciliter notre endormissement, ou simplement d'émoustiller notre quotidien.

 

Mais qu'en est-il de l'homme qui partage notre vie ? Sommes-nous encore capable de le fantasmer ?

Si la réponse est non, il est important d'y remédier : pour alimenter la flamme et accroître la complicité, rien de tel que les mini-scénarios érotiques.

 

Reflets de la personnalité

 

Les fantasmes correspondent à une facette de notre personnalité qui ne s’exprime pas dans la vie courante, c’est souvent une partie très intime de soi, pas évidente à exprimer concrètement, et qui s’exprime donc uniquement dans l’imaginaire.

 

Souvent, on préfère la garder en soi plutôt que de l’extérioriser.

 

Les fantasmes sont un peu une caricature d'une tendance personnelle, qui montre bien notre manière de fonctionner, de faire apparaître notre désir.

Et si c’est stéréotypé, exagéré, il n’en est que plus facile de se comprendre, de s’analyser, et de s’accepter.

 

Supporter le quotidien

 

Vous pouvez être célibataire et peu satisfaite de cette situation.

Vos fantasmes sont alors vos amis : compensant une terne vie sexuelle pour vivre en pensée des aventures érotiques.

C’est tout à fait sain, car cela permet d’envisager un avenir plus radieux sans déprimer.

 

Pour qu’un couple puisse durer, toujours avec la même personne sans lassitude, rien de tel que les fantasmes comme stimulant naturel.

Le fantasme est donc un aliment très sain du couple. C’est bien pour cela qu’il ne faut pas en avoir honte.

 

 

Par Chienne Saly
Mardi 5 avril 2 05 /04 /Avr 17:08

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S…, une femme résignée à ne pas être par convenance, par habitude, par principe.

Certes guidée par son mari dans les milieux libertins, sur les déclics de Manara, le candaulisme… mais trop sollicitée au dépend de la vie simple et trop introvertie pour être vraiment.

 

Et puis une rencontre : Le mari qui confie sa femme à un amant, un guide pour qu’il en fasse une bonne chienne.

Oui, il m’a confiée à cet homme angélique dont le regard, au premier échange, trahissait la perversion…Une envie irrémédiable de suivre la flamme noire de ses yeux. D’amant, guide et dresseur, il est devenu maitre, Maitre de chienne Saly.


Et puis, apprenant à être chienne, j’ai appris à être soumise. Je dis apprendre, oui car il faut comprendre et sentir les choses. Et mon Maitre a su me guider. Difficile d’admettre qu’il faut se soumettre pour lâcher prise, pas envie d’être possédée, d’être mise à genoux devant les hommes.

Nos échanges m’ont amenée à lui dévoiler des parts sombres de mon être, enfouies depuis mon enfance…des désirs, des fantasmes refoulés. Pour la première fois, je n’ai pas peur d’être jugée. Et je ne le serais pas. Une porte en mon intérieur s’est entre-ouverte et je crois que pour lui aussi.

Comme une évidence je me suis mise à ces pieds, j’ai reconnu sa protection, j’ai pris sa main.

Je m’abandonne à lui, le laisse m’éduquer, je le suis.

Chacune de nos expériences, de nos étapes nous lie, me conforte dans cette soumission car mes désirs et mon plaisir en sont sans cesse récompensés.

Il m’aide à être mon démon, contrastant avec ma personnalité de bienséance (l’ange).

Soumise n’est pas un statu général de mon être, seulement ma dévotion à cet homme, à Mon Maitre. Je suis sa chienne et uniquement sa chienne soumise.


Ainsi nos deux démons se sont unis pour faire leur chemin irrésistiblement attirés par le sombre et ses plaisirs… Aujourd’hui je suis bien, Femme, chienne et soumise. Je joue de mes personnalités, de mes instincts, de cette force… J’ai changée même si la route reste encore longue. Ma vie de femme est d’hors et déjà enrichie et le sera encore plus…

 

Merci Maitre.

Par Chienne Saly
Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 21:38

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RDV chez P. Même si j’attends patiemment depuis 2 jours en essayant de ne pas trop penser, j’ai quand même eu des flashs surtout après que mon maitre m’ai dit : « il faut que tu sois prête ».

Soit je suis attendue pour un gang bang jusqu’à épuisement, soit j’étrenne les fameux crochets au plafond et mon maitre en profite pour repousser encore les limites de mon endurance à la douleur. Je ne mène pas ma réflexion plus loin, j’attends, patiente…

 

Peu de consignes vestimentaires. Cela me perturbe. Pas d’image à donner, risque d’être à coté, problème « technique » ….une indication extirpée, je peux mettre un bustier ! C’est déjà ça ! mais cela ne m'aide pas.

Du matériel à emmener : liens, crochet anal. Peu de chose mais je sais que mon maitre à son sac noir maintenant ! Et mon collier ? Je sais que je ne peux sortir sans, de toute façon. Il doit me suivre en toute circonstance.

Un chiffre, des mots me reviennent : « tu peux résister à 7 » (depuis l’annonce du RDV chez P). Epreuve d’endurance ? Je me prépare donc. Je sens fortement que je vais subir… douleur ou sodomie ?

 

Tenue adoptée : bustier seins-nu en velours et tulle noir, bas, jupe et chemisier ajouré, talons. Et je n’oublie pas de me marquer. Un M sur le pubis et un plus petit à l’intérieur du poignet. J’ai aussi mis le collier noir avec son initiale. Y sera-t-il sensible ?

 

Accueillie par mon maitre et son ami, nous montons dans un appartement. Quelques minutes dans le vestibule pour ôter mes vêtements, mettre mon collier et la laisse. Intriguant. Quelques étreintes, baisers, je suis quand même un peu tremblante. Je vais entrer en laisse…condition affichée, je suis une chienne. La chienne de Maitre MaX. J’aime ça !

Mon maitre entre et je le suis ainsi, fière malgré tout (vision depuis longtemps). J’entends des compliments et cela me fait du bien. Belle chienne présentée. L’admiration fait plaisir.

Trois hommes sont là, dont un que je ne connais pas et qui m’est présenté comme je le suis à lui. Je ne m’attarde pas sur les visages, je suis dans l’attente des mots de mon maitre…que va-t-il arriver ? Je vais être offerte, mais comment ?

La seule chose que j’ai vu en entrant, ce sont les chaines pendantes du plafond et je crois que là, je me suis emplie de bonheur. Ma chatte aussi d’ailleurs !

A peine dévoilée, et déjà, mon maitre me fait mettre à genoux pour apprécier ces hommes. Des mains, des mots…et puis j’entends mon maitre : « On va la mettre aux chaines ». Et là, au lieu de me relever, mon maitre me dit « viens » et tire sur la laisse. Je suis obligée d’y aller à quatre pattes devant tout le monde. Un léger sourire, un regard et je le suis. Quelques pas seulement. J’avoue avoir fait abstraction des hommes derrière et être consciente de ma démarche surement maladroite. Je ne suis que mon maitre, que son désir… Je le vois heureux et cela me suffit.

 

A genoux, jambes écartées, Maitre MaX m’attache les poignets aux chaines.

Puis, il leurs offre de me toucher, de vérifier l’état de mes antres….  « Écarte plus » me dit-il. Bien sur, je mouille et cela les excite. Je suppose que la posture attachée y est aussi pour quelque chose (dans leur excitation et dans le fait que je mouille !!). 

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Mon maitre disparait … parti à coté ou assis sur le canapé, je ne sais pas, je ne vois pas…il m’offre et me laisse…mais je suis en confiance. J’imagine qu’il va se délecter de la scène. Je me souviens qu’il m’a dit qu’il ne me baiserait surement pas ce jour là ! Il a quitté la pièce mais j’entends la sdb. Il revient nu et se met face à moi…il va m’accompagner dans cette épreuve, il reste en retrait. Appareil photo en main et surtout le regard fixé sur mon attitude. Je sais qu’il n’interviendra que peu.

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Les queues se succèdent devant moi. J’en retrouve, j’en découvre. Je suis fistée en même temps…Mon maitre vient devant moi, jauge mon plaisir, mon abandon, ma résistance, mes désirs. Il me demande d’acquiescer ou de dire aussi ce que je veux, ce que j’aime ou si j’aime. Mais bloquée, je préfère suivre ses envies qui incontestablement suivent les miennes.

 

 

 

 

J’aime les fouilles incessantes, le bruit des chaines à mes cotés et les poignets qui me serrent.

Je réalise aussi que je n’ai plus mes mains, que je suis limitée dans mes mouvements. Pourvu que mes bras est la force de me lever si cela ne va pas. Mais me disant ça, je sais que le défi que je me lance est de rester à leur merci. 

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Je subis ainsi, plus ou moins dans la douleur, mais la jouissance me rattrape.

Des queues en bouche, profondes, raides. J’aspire, je prends, je subie mais c’est vrai que les mains qui s’affèrent derrière moi, me font bondir et jouir. Les doigts s’immiscent, une langue, plus qu’alerte,  me détend….


Je ne sais comment profiter de tout cela, comment me donner encore. J’en veux, je suis transposée dans mes désirs profonds : souffrir et jouir ! 

 


Une double fellation s’offre à moi, mon maitre et son ami.

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Etonnée d’y arriver, je savoure et m’applique à n’en lâcher aucun des deux.

 

 

Ma chatte subit peu mais mon cul en prend direct. Du gel, des doigts, des mains…de moins en moins tendres, de plus en plus assaillantes…le poing qui insiste, m’endolorie, puis des retraits savoureux. Des doigts agiles, perturbants…le s seins pincés… La rage monte, je réussie à saisir le bras de mon maitre entre les dents, j’hésite mais nos regards plongeant l’un dans l’autre, une sollicitation de sa part, encore une hésitation, je sais que la fougue qui me remplie, le démon qui m’anime ne lésinera pas à transmettre sa fureur. Il insiste. Ses yeux d’une profondeur particulière et noire m’attire, m’extrait de mon corps et je mords. Pas envie de le ménager, je suis consciente de la pression, du mal mais je ne lâche pas. Il ne me quitte pas des yeux. Les forces noires qui s’opposent, s’électrisent, se résistent, se calment et je lâche prise. Il a absorbé mon énergie démoniaque ou je lui ai transmis, mais je suis calmée !

La douleur à l’arrière sait me rappeler à l’ordre et les articulations des mains ont toujours autant de difficultés à entrer. Mon anus en a pour son grade. Je suis fière d’être offerte ainsi et veux en être digne. Et si j’y arrivais à l’absorber, cette main, comme me sentirai-je ? Je le veux. J’essaie encore et encore. C’est épprouvant. Je suis en feu. Et pourtant, les va-et-vient rapides à plusieurs reprises vont m’emporter vers la jouissance anale. J’adore ça, mais trop peu. Encore des aller-retour entre le plaisir d’être remplie et le plaisir d’être fortement fistée. Deux états d’esprits aussi différents que peuvent l’être les douleurs. Les masturbations m’aident parfois à m’abandonner, mon corps se cambre "d’encore" … des coups très forts me font bondir et tirer sur mes bras. Je contracte, je souffre, j’ai du mal et puis une force brutale aura tôt fait de me faire mettre pied à terre. Quelques essaies mais je n’en peux plus. Je reste pendue aux chaines. Je souffle, respire, me calme….Et puis j’attends le verdict de cette attitude. J’ai peut-être mal agit. Que va dire mon maitre ? Vont-ils me reprendre en main ou me baiser ? J’attends tête baissée.


Mon maitre demande alors si je veux être baiser, je ne réponds pas mais le souhaite, oui…il le sait, le sens, voudrait que je le dise… j’espère qu’il ne m’en voudra pas de ne pas poursuivre ou de ne pas être arrivée à « absorber » leur main. Je crois que c’est pour cela que ne n’ose pas répondre « oui » de suite. Pas envie d’abandonner.

 

Maitre Max me détache, me lève et me guide vers le canapé. Il offre aux hommes de me baiser sans ménagement… j’aime ses mots. Je me mets sur le dos et il ajoute à mes cuisses des liens auxquels il relie mes poignets. Je suis aux anges. Attachée, liée, offertes cuisses écartées, limitée dans mes mouvements, prête à subir encore….et qui plus est, sous la poigne de mon maitre qui m’ouvre encore plus. Il me maintient fermement. Le summum ! Heureuse.nb085  

 

Mais la première queue qui entre en moi, va si  profondément qu’une douleur m’envahit, je ne peux me soustraire et petit à petit l’intègre. La jouissance vient aussi et l’homme, efficace, joue de moi, de mes cris, de mes sensations. Baisée, fort très fort. J’adore. Je subis certes mais je le voulais et ne suis pas seule…mon maitre est là. Je m’abandonne à ses désirs pour mon plaisir à moins que cela ne soit à son plaisir par mes désirs…


Les hommes se succèdent. Les percussions fortes, douces, jouissives et douloureuses. Mais je suis bien. Je bascule (dans mon autre être)…j’en veux nb078encore et encore. Je résiste, subie et savoure.  

Les effets assurément différents selon les acteurs. Et même en contrôlant, ils en jouent, je ne résiste pas longtemps, ils me volent des cris. Profondeurs, violence, ils en abusent. Mais j’aime ça. Je serais limée comme jamais, chatte et cul sans ménagement. Et les mots de mon maitre qui les pousse, les sollicite encore et encore…Oui, j’ai basculé…je suis l’autre !

 

Et puis, je suis mise à 4 pattes. Je n’ai plus mal, je sens le feu, je me sens ouverte et prête à en prendre autant qu’il en viendra. J’en profite, je ne suis plus limitée par le physique. Ou suis-je ? Qui ? toujours bien dans ma tête et profiteuse !

Je joue avec mon maitre, je jouis avec lui, j’use, j’abuse et ils en font de même… des profondeurs me font crier, hurler…je m’entends à peine mais le réalise…la jouissance est là aussi et les cambrures m’en offrent de belles !!…

 

Mon maitre passe ensuite sous mon corps et s’immisce en moi pour sentir la chaleur de mes antres abusées. J’apprécie cette fusion…sensations partagées…on en joue, on échange…Les queues permutent et il est au première loge pour recevoir mes sensations…

 

Mon esprit a pris le dessus sur mon corps. Les yeux et le plaisir de mon maitre m’accompagne de plus belle. Je peux encore recevoir. Alors, l’ami de mon maitre, prend place sous moi et un autre homme pénètre avec lui dans ma chatte. Une première…un délice, une entrée facile (je dois être terriblement ouverte !), surprenant. Les mouvements ont tôt fait de caresser délicieusement mes parois. Un ressenti, une pression trop bien placée, j’en jouie. Et si la difficulté de la position n’était pas intervenue, je crois que je serais partie encore plus ! En tous cas, je coule toujours….encore et encore.

Les changes reprennent et la double pénétration, m’est offerte. Offerte, oui car mon maitre sait que j’apprécie. Ils veulent encore me faire jouir, me faire crier. Soit, mais j’en profite !!!

Chacun y met du sien et je savoure.

 

Toujours à quatre pattes, les pénétrations s’enchainent encore. Mon maitre est debout et regarde. J’imagine qu’il vit mon plaisir. Démoniaquement jouisseuse, je sais, il le sait !! De temps en temps sa main, son corps se rapproche pour mieux m’absorber… D’objet de leurs plaisirs, je suis passée à actrice de mes désirs.

Que de satisfactions…un bien être…une capacité à profiter.

Comme un métronome, mon maitre leur offre la possibilité de me déverser leur foutre sur le corps, le visage…

Il me demande de me mettre à genoux après avoir sollicité mon acquiescement.

Je m’exécute et reçoit leur foutre tour à tour. Je peux l’avouer même si je suis enthousiaste au début, ce moment me met à rude épreuve. Désolée mais toujours mes appréhension de gout, de texture… un retour sur terre en quelque sorte…

Après m’être essuyée, je retrouve les bras de mon maitre, heureuse, est reconnaissante. J’aime quand il me demande de revenir me blottir contre lui. Un moment intense de douceur, de bonheur…

 

Le lendemain, les bruits de chaine, les cris, les douleurs, les jouissances et les regards inquisiteurs et complices de mon maitre sont toujours présents. J’ai la sensation d’avoir su tirer mon plaisir, d’avoir partagé, un corps pour deux, deux esprits pour un. Certes transposée dans une dimension indécente, amorale, bien loin de la bienséance, mais celle de mes fantasmes, surement de ses visions.

 

Merci Maitre de ce vécu (1).

 

(1) je voulais mettre " de cette transposition" mais en fait je n'ai à aucun moment vu les visions (lieu, scènario, motifs...) des fantasmes d'antan. J'étais seulement dans le ressenti de l'abus longtemps désirée, j'étais là et bien là.

Par Chienne Saly
Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 21:27

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Vision : je suis allongée, les bras et les jambes écartées, attachée sur un lit. Soumise au regard de mon maitre, à ses jeux.......nous en sommes restés là dans nos échanges...

 

Ce matin, un sms : mon Maître me veut les jambes écartées. Il souhaite que je mouille ainsi.

J'ouvre les cuisses sous les draps et attends. J'ai l'impression qu'il est là.

Les sms me parlent. Il se fait sentir proche. Je sens son regard.

Et puis les draps sur mon clito m'envahissent de sensations....envie de me toucher, envie de me frotter à ce plis malicieux mais mon maitre me demande d'attendre. Ma main descend tester. Je suis légèrement mouillée .

J'attends...

Me tortille un peu.... cela me caresse...

Les sms poursuivent leur transcription

Le temps passe....la tension monte. Vraiment, je sens que tout s'excite en moi et que ma chatte est prête à me désobéir en interpellant ma main. Défis de l'esprit, je reste encore ainsi. J'ai envie !!!

Une autorisation de vérifier. Une main sur ma chatte et mes doigts se retrouvent couverts de mouille. Je coule par l'attente, les cuisses ouvertes, sous les mots de mon maitre. J'en suis surprise et fière. Je coule vraiment intensement.

"Jouis pour moi"

Il n'en fallait pas tant. Je pose un doigt sur le clito et une vibration m'envahit sans même un  mouvement. L'orgasme vient rapidement.

Je suis heureuse d'avoir suivi, d'avoir jouie ainsi.

Je remercie mon maitre de ce moment intense.

 


 

Par Chienne Saly
Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 20:28

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L’Attente, ca parait singulier et pourtant elle est si plurielle !

 

Je vis des attentes angoissantes par des interrogations (mais de moins en moins)

Des attentes passives, vide de pensées

Des attentes actives, gorgées de pensées

Des attentes désireuses où je visualise ce que je veux, ce qui se profile

Des attentes palpitantes car je sais ce qui va arriver

Des attentes privatives où je subis

Des attentes profiteuses où je fais le point, élabore

 

L’attente finit toujours

Et au bout, le plaisir

Alors j’ai appris à l’apprécier, à la sentir, à l’utiliser

Que ce soit durant des jours ou des nuits,

Des jours et des nuits,

Que ce soit au moment où je suis à ses pieds, à ses ordres

Mon esprit l’a adoptée, en joue et m’emporte.

Mes sens y répondent

Mon cœur y vit

 

182815 110982588977820 100001982398736 79532 1274665 n  attente (12)

Par Chienne Saly
Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 23:16

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Mon téléphone, important !

J’ai toujours mon portable avec moi, je suis à disposition de mon Maître pour assouvir ses désirs.

Quasiment chaque matin, il me réveille : un bonjour puis une douceur ou une demande.

Je jouis souvent pour lui.

J’aime cette sensation où ses mots se transforment en ressenti …

Je le sens à mes cotés, je vibre et suis ce qu’il me dit.

Sa main, ses doigts, son souffle, son corps me prennent dans mes draps. La chaleur est forte, les visions palpables… J'adore partir ainsi.

Parfois je dois jouir à punir cette envie de plaisir incessante, à punir cette chatte. Pourquoi ? Parce qu’elle est incorrigible.

Alors j’enchaine les masturbations au rythme des sms ou je joue d’objet divers par l’épuiser, la calmer : blacky, rabbit, les deux…

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Sacré téléphone, Maitre démoniaque !

 

Mais il me sert aussi à transmettre à mon maitre les éléments de ses demandes :

Photo de mon marquage lors d’un RDV à l’esthéticienne

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Photos de mon attitude en cabine d’essayage où je dois me mettre nue. Photo0044  Photo0047A


Photo de mon couché où je porte collier et laisse.

 

Ce dernier point est particulier car suite à une demande de mon Maître j’ai dormi ainsi une première nuit, attachée au pan du lit… le bruit de la chaine me réveillant a occasionné aussi de multiple songes noirs, des pensées permanentes. J’étais bien, rassurée, en sécurité. J’ai fait cela plusieurs nuits d’affilées. Puis je n’ai gardé que la chaine pour la mettre à un de mes poignets. Doux bruits qui me réconfortent. Rêves et sensations,  un apaisement à sentir cette aura noir autour de moi.

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Photo de son exigence reçue en voiture lors d’un retour de RDV

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J'accomplis ce qu'il me demande, m'y applique quelque soit l'endroit, le moment. C'est une tension que j'aime ressentir (sorte de mini panique suivie de l'envie de relever le défi)

Et j'avance ainsi, encore et encore... de moins en moins craintive des gens autour, de plus en plus sure, observatrice de mon environnemment...de plus en plus libre....

 

Mon collier et ma marque...


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Des contraintes d'entrainement... Les pinces, postures que je lui offre par les photos...


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Mon temps libre............

et j’en ai beaucoup dans ma situation, je le passe à « fureter » sur le net pour enrichir notre chemin, nos envies. Je sélectionne des photos, des blogs et lui envoie régulièrement. Ces extraits lui témoignent de mes envies de mes aspirations et nous pouvons ainsi en discuter.

Je prends aussi des clichés que je travaille et lui dédis.

En voici quelques uns….

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Et d'autres qui sont déjà dans les divers articles.......


J'aime les faire, m'y appliquer et faire ressortir des parts de moi aussi différentes que mes états d'ames, que mes envies, que mes désirs....

   

Mes sensations…

J'ai souvent l’impression qu’il peut venir ou que je peux le croiser quelque part. Alors je me prépare (douche, soin, tenue). Et les scénarii se bousculent, je souris, je les vis en quelque sorte. Et si au début de notre relation je pouvais être déçue qu’il ne vienne pas, aujourd’hui, je me délecte des images, des sensations et sais que cela peut arriver…

J’en souris oui, heureuse d’avoir cette richesse de pensées et d’intégration.

 

Mes écrits...

Je transcris nos étapes, mes sentiments, mes émotions, mon évolution... Mes envies, désirs et besoin. Autant d'éléments retraçant le parcours de mon esprit qui alimentent aussi la connaissance de mon être par mon Maître. Autant de pistes à banir ou exploiter...

  

La femme....

En paralèlle, la femme en moi s’applique chaque jour à se sentir bien, féminine et désirable… Pas de laisser-aller, elle s'épanouit. Paradoxe, la soumise m’aide à assumer mon coté femme, je ne dirais pas fatale mais Femme avec un grand F. Un bien être. Une force de savoir que l’on peut être chienne, dans le sens de la possession de la gente masculine, et par conséquent de choisir à qui offrir cette furie, quand, comment… Encore du chemin à parcourir pour cela mais déjà, les sensations sont là…


Merci Maitre MaX de vous appliquer à tout cela, à cette tâche pas si évidente et de me consacrer autant de temps....

 

Par Chienne Saly
Jeudi 17 mars 4 17 /03 /Mars 11:38

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Nous partons pour un moment de détente, de repérage au bord d’un lac boisé.

Je suis en jupe, bas et pull fin blanc. J’ai mis un redresse-sein qui laisse voir la pointe de mes tétons. Balade dans les bois ne dit pas, ne pas plaire à son Maître. Un imper et des bottes, je suis prête.


Nous profitons des anges, allongés au bord du lac. Le vent passe sous ma jupe ou c'est ma jupe qui est trop haute. Pas d'importance, juste le minimum et je n'ai pas envie de savoir ce que les autres voient ou entrevoient. Je suis dans le correct...

Oui, mais du lac, les bois nous narguent, nous appellent, interpellent nos démons.

 Nous partons explorer les sous-bois jusqu’au lieu propice à nos futurs jeux… Un arbre pour m’attacher, un lieu…

Maître MaX prend des photos… Mais par ma nature, je suis gênée… Il en joue… Nous progressons dans les bois.

Eloignés des promeneurs, le sombre et la douceur du temps nous envahissent.


Les caresses sur mon corps font monter le désir. L’envie est là mais je reste à l’écoute de mon Maître. Mes yeux doivent briller.

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« Remonte ta jupe, montre moi », frisson, hésitation mais comme une libération de nos envies, je m’exécute.

Toujours des photos perturbantes, un regard inquisiteur. Des caresses, des envies….

 

 

 


« Baisse ton string »

Je le descends sans honte, j’avais envie de cet instant : Moi, ingénue, le string sur les cuisses à présenter mes « envies ». Il prend une photo, je suis gênée mais fière.

 

 

« Montre-moi ton sein », 

J’ôte le pull.

Il me lèche, me mord.

Et puis très vite, j'entends « donne moi ta jupe »

Sans complexe, sans pudeur je la descends.

 

« Tourne-toi, montre-moi tes fesses ».

Posture droite et cambrée, les mains le long du corps. Sa respiration qui me tourne autour, ses mots, ses caresses et des photos, son tourbillon de sensations m’envahit…je savoure. L’aura noire nous enveloppe. Envie de l’écouter, de me soumettre à ses désirs pour son plaisir et atteindre les miens.


Des houx nous entourent, des jeunes branches aussi. Il a envie de me fouetter, que nous avancions encore. Il prend une branche fine et souple.  Les essais sont prometteurs : douleur incisive et rougeur comme un vime. Cela va être dur et je ne sais jusqu’où il ira.

 

« Mets-toi contre l’arbre »nb22IMG 8742

Appuyée à l’arbre, les mains en hauteur, j’offre mon dos et ma croupe.

Maître Max me caresse de cette branche et n’hésite pas longtemps avant d’asséner ses premiers coups. La douleur est vive, concentrée puis se diffuse en profondeur. Je ne vois pas, mais les marques apparaissent après quelques secondes, rouges et boursouflées.

 

Il appuie de plus en plus, les coups deviennent secs, cinglant. Et même s’il alterne avec des caresses, la douleur se diffuse si intensément et lentement dans les chairs que je ne sens pas de répits.  Certaines frappes me ferons mordre, plier, ou entrer mes ongles dans l’écorce de l’arbre. Comment transmettre cette douleur, la faire sortir, l’atténuer c’est insupportable. Ce sont des instants de feu, d’éclatement, qui se dissipent enfin mais avec une telle force que tout est vide autour de nous après ça.

 

Et puis un autre coup va arriver.....

Questions : Où ? Quelle intensité ? Comment la supporter ? Serrer les dents, respirer et attendre que cela passe (que cela pénètre). Il marque mes fesses, mes hanches, mon dos.

Mais l'important, c'est qu'il est là,. Je ne suis pas seule, il me regarde, m’interroge  m’accompagne. Et je reste pour lui. Lui transmets mes sensations ou mes larmes, mes stops et mes encore.

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les branches dans ma chair

 

Un doigt entre mes jambes, un constat : je mouille.

Oui, je mouille, je le sens à l’air frais qui passe entre mes jambes. Pas dans la jouissance  physique car mon esprit est trop occupé à intégrer ces douleurs. Et pourtant le paradoxe est là, je coule de façon incontrôlable.

Douleur incisive, cinglante et brulante, il n’y a pas d’autres mots. Difficilement supportable par l’effet à retardement dont on ne connait pas l’intensité et le temps de pénétration dans les chairs.

 

« Est-ce que tu en veux encore ? ».

Je pourrais arrêter de subir cette douleur et pourtant j’en redemande. … pas envie de sexe, envie de ça ! Mon Maître me propose alors le ventre et les seins. Des frissons, c’est la première fois. Je me retourne après quelques instants. Je retarde quelque peu le moment en lui volant des baisers. Et puis me re-plaque à l’arbre, prête.

Il me caresse et frappe les seins, c’est saisissant de douleur ! Puis le ventre et à nouveau les seins, en alternance. Les pauses d’accompagnements sont les bienvenus.

nbIMG 8750Des frappes au ventre me ferront plier...

Je ne suis pas attachée et je n'ai que très peu de fois mis la main. Je me tortille, saute, certe mais résiste et j'en ai la volonté. J'ai envie de lui offrir ce corps...et mes sensations.

Je ne crie pas, je suis comme dans une apnée.

 

Encore 3 sur chaque…

Seins, ventre, fesses.

Vision de son regard, quand la douleur ne m’oblige pas à fermer les yeux ou baisser la tête pour contrôler. Un regard sombre, brillant parfois interrogatif mais désireux, inquisiteur de mon état d’esprit et du sien… et bizarrement à l’écoute. Ainsi plongée dans ses yeux (quand je le peux) je l’appelle du regard, le suis, anticipe, résiste, affronte.

 

Encore 3 sur chaque fesse...

 

Fin des brulures, il me remercie et moi aussi, instinctivement. Des mots naturels de bien être.

 

Maitre Max sent mon désir de le remercier comme il se doit. Regard mutin surement, heureuse assurement.

Aller chercher son fluide pour son plaisir et penser mes plaies.

A genoux, je prends sa queue et la savoure, m’appliquant à ses désirs. Sans les mains, ma gorge se charge de la pression, ma langue joue de sensation et mes lèvres l’enserrent et ne le lâchent pas. Aussi profond qu’il le souhaite, aussi doux, aussi fort qu’il le veut je joue d’instinct et de ressenti. Je joue aussi un peu, c’est vrai. Il vient entre mes lèvres, déversant son foutre dans ma bouche et sur mes seins marbrés. Douceur sublime, qui calme le feu.

 

Apaisée, heureuse.

 

« Mets toi à quatre pattes ! ». Ces mots me surprennent, aurai-je droit à une autre offrande ? à d’autres plaisirs ou à ……. ?

Agenouillé à mes côtés il me fiste les antres, me masturbe, me lèche. Un bonheur, un plaisir ! Je savoure. Je suis très sensible et ses gestes habiles jouent de moi, me font gémir. Les percutions dans ma chatte raisonnent en profondeur et m’emportent. Les vibrations sur mon clito m’emmènent au bord. Je coule vraiment, je le sens, je le sais et le vent me conforte. La tête sur la couverture, étouffant mes gémissements dans la laine, je jouis ainsi par ses doigts, par les miens, de la chatte et du clito..


Je suis vidée, calmée… mon démon est aux anges. Nos démons sont aux anges.

 

Les marques sont impressionnantes mais pas douloureuses à postériori. Présentes le lendemain, ancrées dans ma chair, elles témoignent… Mon esprit savoure encore.

 

Merci Maître.

Par Chienne Saly
Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 14:58

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Le noir nous envahit…

Mon Maître sent monter en lui ces pulsions noires qu’il voit depuis si longtemps.

Moi, j’emmagasine des visions, des flashs aussi noirs, aussi pervers…Je suis dans une phase d’attente active.

Nos esprits bouent ainsi depuis plusieurs jours.

 

Un sms ce matin : « Je te veux ». Trois mots fatals qui me donnent des palpitations… Je me demande où il va me vouloir, vient-il ou faut-il que je le rejoigne, j’attends le second sms.

« Ne garde que le haut », assurément il vient. Quoique ?

« Provocante », « ne prend pas froid aux épaules » je pense qu’il vient. Il est conscient du froid, il ne m’emmènera donc pas dans sa malle ! (une de nos visions)

« Prête » - oui

« Collier, M, laisse et cravache ». Je m’exécute. Je place chacun des éléments, range, et trace mon M sur le pubis.

Je suis heureuse et excitée quoiqu'il advienne.

Son entrée dans la cour me donne un frisson : « il a son sac noir » et je ne vois que ça ! En plus de la cravache qu’il m’a demandé, une partie d’inconnu, de surprise. Je sais maintenant qu’il est clairement noir, décidé à évoluer dans ses méthodes, dans mon apprentissage et mon dressage.

Je l’accueille, souriante mais résolument soumise…

 

Je ne décrirai pas toutes les étapes et les actes mais je m’attacherai à retranscrire mes sensations, mes émotions, mes facilités et mes difficultés, notre avancée.

 

Tenir des postures pour lui, me présenter.

Toujours consciente de mon corps, je me rassure dans son regard. Debout face à lui, j’expose tout, très dur. Il prend des photos et cela me gène toujours (jamais le temps de savoir si l’on est bien mise, si la position nous avantage ou pas. Ca cogite ! ). Deux choses me permettent de ne pas fuir c’est que mon maitre prend toujours de belles photos qui me mettent en valeur et qu'il ne juge que mon attitude. Alors je reste. J’assume.

 

« Montre-moi », « Présente toi ». Je ne sais toujours pas par où commencer et son « mets-toi à genoux » me conforte et me guide.

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Agenouillée devant lui, je me sens mieux physiquement, mais je dois intégrer dans mon esprit l’image de ma soumission. Ce n’est pas très dur mais comme ce n’est pas ma nature c’est quelque peu perturbant, gênant. Mon maître le sait et me demande de le regarder. Pas de fuite possible même si je tente un peu de me cacher en détournant la tête ou sous mes cheveux. Je fini par le regarder m’observer. Je reste tant que je peux à soutenir ce regard inquisiteur… Inquisiteur, il l'est mais pas longtemps, j’y lis très vite l’admiration et le plaisir. Il dirige mes postures et en cela me rassure sur l’image que je donne. En quelques instants, je me sens bien, plus d’aprioris.

 

 

 

Ecarter les jambes accentue mon offrande et j’aime ça. Je peux rester ainsi autant de temps qu’il le souhaite.

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Le sentir me tourner autour, l’écouter…Ma chatte et moi,  en raffolons.

 

Quand il passe dans mon dos, mes reins se cambrent. Quand il est devant,  mes seins se dressent. Mon corps et mon esprit sont à son écoute. Les minutes qui passent m’apaisent, me connecte à son esprit, m’emportent à être totalement sienne, totalement chienne.


Lui présenter mes mains est un geste particulier, moins naturel pour moi encore. Mais je le fais, j’écoute et obéis, m’applique timidement à ce que ma posture le réjouisse.

 


Jeux de pinces.

Pincés de ses doigts, il tire mes seins autant qu’il le peut, plongé dans mes yeux.

Je supporte, j’intègre la douleur autant que je le peux, plongée dans ses yeux.

La douleur est intense mais me procurer un plaisir difficilement descriptible. Défi de nos regards pour aller encore plus loin. Je résiste, transcris, il lit, poursuit.

« Offre-moi ton sein », un frisson car je sais que les pinces ou la morsure vont suivre. Il prend les pinces. J’ôte mon pull.

Les jeux avec les pinces sont toujours une épreuve intense et profonde mais je supporte de mieux en mieux…et surtout, maintenant,  je m’abandonne au jugement de mon maitre qui sait quand les ôter ou s’il  me pousse encore à résister.

Il peut tirer dessus, je suis dans l’acceptation, la résistance, l’endurance…Il n'hésite pas !

Oter une pince dégage une douleur vive suivie d’un soulagement jouissif…je crois que c’est ce que j’appréhende le plus. Surtout quand elles sont restées longtemps à me priver de sang !


Après cela, les pinces prennent la direction de ma chatte !nbIMG 0985

Il les place sur mes lèvres. Pas douloureux certes mais tirer dessus pour écarter mes lèvres l’est plus….Je m’ouvre à lui. Nouvelle sensation mentale à exposer, non seulement mon intimité, mais en plus son intérieur… Je me prends à tenir moi même les pinces pendant qu’il prend des photos et il me demande d’écarter encore plus. Je tire et sens les crans des pinces dans ma chair. Je reste, résiste. Il s’allonge sur moi. La vision qu’il puisse me prendre ainsi me traverse l’esprit. Il a son jean et nous restons dans la simulation excitante et douloureuse (effet des pinces dans la durée car je ne peux ni lâcher, ni bouger).

Il les retire et la deuxième me tiraille douloureusement d’un coup, me laissant échapper un cri. Douleur brève mais puissante !

Mon maitre a accès aux profondeurs de mon esprit et aux profondeurs de mon corps…cela devient une évidence et il en tire de plus en plus de savoir.

 

Des fesses à rougir de plaisir…

Penchée sur la table, fesses offertes. J’intègre de mieux en mieux comment me présenter, les postures, les cambrures viennent naturellement même si mon maitre les accentue toujours à ses souhaits.

Fessée ainsi,  puis cravachée. Il ne lésine pas, les coups claquent, cinglent. Plus les frappes sont hautes et sur les hanches plus c’est douloureux ! De bas en haut, alternant les caresses et impacts, les sensations s’entremêlent. Echauffement des sens, des muqueuses, ma chatte coule. Cinglements de douleur, c’est une endurance pour une vision et le plaisir offerts à mon maitre.

 

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Allongée sur la table, je suis cravachée sur les cuisses, le pubis…les douleurs sont très intenses, la peau trop fine, mais la durée et les impacts ont tôt fait de faire monter mon désir.

Désir de plus, désir de jouir, désir de supporter, désir d’être prise….je ne visualise rien, je ne suis plus qu’un corps à son écoute. Et malgré la cravache, je me masturbe impunément sous les yeux de mon maitre.  Mélange de plaisirs.

 

 

 

Miroir...

Dans le couloir, mon maitre me présente à moi dans le miroir.

Il me façonne assurément. J’y vois une femme marquée certes mais à l’œil brillant. Ainsi nue devant mon maitre,  j’accentue instinctivement  ma sensualité.

Je n’ai vu que moi dans ce miroir alors qu’en écrivant je me souviens que d’autres fois, j’ai pu y voir Manara. Mes désirs de femmes sont là, oui, devant moi.


A ses pieds…

Mon maitre me demande de m’exprimer, de dire ce que je désire.  Le pas est encore difficile et dans cet état de soumission, je ne pense plus trop, je me laisse guider. Quand il insiste, je retrouve des envies, oui, mais ne peut choisir, ne peux pas les exprimer. Mon manque d’aisance à dire les choses m’enferme encore dans le silence. Et puis je réfléchis trop, pensant surement à tort que toute demande pourrait ne pas convenir à mon maitre. Peur d’être déphasée. Mais l’essentiel de mon sentiment est cet étrange vide d’envie, excepté celui qu’il me dirige, qu’il joue de moi.

Maintenant je peux le dire, mon envie était de lui faire plaisir, en retour. Je ne savais que choisir pour lui faire plaisir, je ne pensais pas à moi.

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A genoux dans le couloir, la fraicheur apaise et contraste avec la douleur de la cravache. Ne parlant pas, je reçois autant de coups que je ne donne pas de réponse à sa question sur mes envies. Evidement tiraillée entre  l’envie de dire et la peur de décevoir, je préfère endurer. Je tiendrai ou je dirai. Mais l’intensité d’une frappe me fait redresser, incontrôlable. Le coup qui tue.

Mes fesses sont marbrées de rouges et le feu me ronge ! Je crois que j’ai fini par dire que je n’avais envie de rien en particulier.

 

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Il ne s’arrête pas à cela, et me propose le feu, le feu de la cire. Je suis aux anges…

Dans la chambre, il allume la bougie, je m’allonge sur le dos selon son désir. Bizarrement, même si le souvenir de la dernière fois est sublime, une petite appréhension avant la première goutte m’envahit. Il m’observe, le voit mais poursuit. Le feu prend ma chair. Je retrouve la sensation d’être saisie et de savourer en même temps le feu qui se propage.

Il joue des zones, des hauteurs et par ses intensités me mène à sa guise. Cela me fait tortiller. Cela me fait attendre la prochaine goutte comme une surprise de sensation (elle sera douce, chaude, intense, profonde, brulante ou extrême). J’adore.

Il me prend en même temps. J’alterne entre les deux sensations et il joue encore de ça. Des gouttes de cire sur nos deux corps. Le voir s’en mettre me procure la sensation de partager son feu, sa furie, sa folie. L’excitation est à son comble…

 

Une séance ou le « faisant comme » fait place à « nous sommes comme »… et même « nous sommes » !

 

Bien sûr, je remercie mon maitre comme il se doit en le prenant en bouche, m'en délectant aussi. Je lui offre son écrin démoniaque pour que nos plaisirs et notre jouissance commune explose après cette montée furieuse de désir !

Par Chienne Saly
Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 11:40

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Cocu nous quitte, ne joue plus...........

Du moins, plus avec nous.

Ce message est pour tous ceux qui veulent être et se veulent candaulistes...

 

Il faut être armé, assurémment...

Et la première arme, c'est l'amour.

Et puis d'autres :

Le lien entre deux êtres qui fait la profondeur et la compréhension jusqu'au ressenti des actes...

Le partage, surtout le partage,

La communication,

Le respect...

N'oubliez aucune de ces dispositions, c'est fatal...

Aucun des deux rôles n'est simple. Et chacun doit avoir intégré ces bases...

 

Le candaulisme ne peut en aucune manière réunir deux êtres mais seulement renforcer leur union ou la détruire.

 

Se laisser aller pour l'autre, s'abandonner pour l'autre, il n'y a rien de meilleur...

Provoquer l'autre pour que les sensations, les émotions ne soient que le ciment des sentiments rend les actes si intenses.

 

Si vous ne sentez pas cette profondeur dans vos actes, c'est que vous n'y êtes pas...

Par Chienne Saly
Mercredi 23 février 3 23 /02 /Fév 13:36

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Au début subir la douleur est étrange. Elle fait mal ! et nous nous demandons un peu pourquoi nous acceptons de subir, pourquoi nous voulons, désirons cela.

Les liaisons nerveuses ne sont pas rattachées au bon endroit du cerveau, assurément !

Nous avons envie d'y trouver ce que nous avons lu, mais ce n'est pas le cas !!

Mes pensées,  à ce moment là, ont été : "suis-je incapable de transformer cela en plaisir, ai-je mal interpréter mes lectures, était-ce des fantasmes ?"

Les mots d'un maitre : "ne cherche pas quelque chose, ressens ! "

 

Et puis des choses se mettent en place, par Jeu, par Don, par Lien...


- Des douleurs deviennent douceurs, celles qui chauffent, échauffent et enflamment nos antres,  nos points clés !

- Des douleurs font mal, brulent, cinglent, s'immiscent si profondément que la chair semble ouverte et pour cela, l'endurance devient un défi, une offrande à son maitre, une conscience de lui offrir son corps, son esprit et sa conscience, pour que lui seul, juge de l'arrêt. Cet abandon possible au travers du lien est magnifique, nous transporte dans un espace particulier où le temps n'a plus de mesure (trop court, trop long ?), où l'esprit se dissocie du corps tout en le sentant, où les coups sont des visions, ou le rouge et les traces que l'on imagine sont de beaux présents (offerts et reçus)....181643 105733569506569 100002097798324 50250 293572 n

 

L'avancée dans cette démarche n'est qu'évolution, refoulement des limites, en premier lieu fixées, pour appréhender les profondeurs de nos inconscients en s'en remettant à l'autre...

Les liaisons nerveuses trouvent la voix du plaisir, toutes les sensations se croisent et enivrent...

La soumise s'abandonne, donne

Le maitre s'adonne

Don et confiance...

 

Ces sensations évoluront surement encore au fur et à mesure de nos pas sur le chemin "sombre" que nous empruntons...Je  ne doute pas avoir des choses à rajouter.


Je mets sombre entre guillemets car à ce jour, il ne m'apporte que lumière !!!!....


Par Chienne Saly
Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 11:40

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Ce week-end, me sentais comme une vague : rappel des eaux pour en gonfler la déferlante....
Aujourd'hui, je sens la puissance monter en moi, la gonfler d'énergie...
La déferlante viendra
Maitre MaX : quand vaut-il mieux la surfer cette vague?
Saly : restez sur le sable je viendrai vous envahir, vous lécher, vous mouiller, vous éclabousser, vous fouetter de mon désir
Maitre MaX programme intéressant!

 

Après que l'on se soit vu...

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Saly : La déferlante s'est gorgée, est arrivée sur le sable, tout est parti en éclats, tout est mouillé, trempé, "déplacé"....plus de doux dessins sur la plage !!! un reste d'écume et de flaveur salée ...apaisée, je lèche le sable en repartant...
Maitre MaXquelle puissance!!! le pauvre baigneur est balloté, presque noyé, un peu fracassé contre les rochers, mais vivant... abandonné sur le sable, couvert d'une écume douce... il regarde à l'horizon la prochaine vague qui se forme et s'y prépare!
Extrait de nos échanges mail de la semaine.

 

 



Par Chienne Saly
Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 16:31

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Souvent autour de moi, un voile

M’entoure, m’allège  et  m’enivre

Tu flottes sur un fond de toile,

Celle du noir qui nous délivre.

 

Souvent autour de toi, je vole

Voluptueuse, je t’envoute

Je dessine des auréoles

Celles du blanc qui nous déroute.

 

Tableau nuancé noir et blanc.

Telle une chrysalide, l’aura

Enveloppant deux êtres amants,

En papillon les déliera

 

Le maitre a ouvert les chaines

De la soumise à ses pieds,

L’invisible lien les gaine,

Les élève en deux alliés

 

Sur ce chemin si sinueux,

Ils marcheront assurément

Heureux, passionnés et  curieux

De tous ces plaisirs perturbant.

 

Ces auras, ce sont nos esprits

Qui veillent inlassablement

Sur nos desseins et nos envies

Jamais seuls assurément

 

Chienne Saly (fév. 2011)


Par Chienne Saly
Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 16:20

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Un contact, désireux d’une rencontre particulière, différente, vraiment plus hard… et pour mon Maître, une occasion de m’offrir, de me faire subir, de montrer ma résistance, de m’éprouver. Le RDV sera pris dans un hôtel…

 

Ma tenue classique : bas, jupe, bottes et pull, rien dessous, un manteau par-dessus… Un sac avec les objets désignés par mon maitre : cravaches, liens, collier, et vime (obligée de m’arrêter en route pour en couper un « brin »). Je n’ai pas oublié de dessiner mon M sur le pubis, je l’ai même stylisé.

 

J’arrive en retard et mon Maître me le fait remarquer, je pense qu’il ne lésinera pas sur la cravache pour compenser les 16 minutes d’attente. Mais j’assume… et cela ne me déplait pas… L’invité, que je nommerai Y, est là. Profil sympa, avec un regard désireux que je ne rate pas…

 

Présentation faite, j’ôte mes bottes et Maître MaX me met mon collier. Comme à chaque fois, ma condition se fixe visiblement par ce geste, par cette sensation autour de mon cou. Mes oreilles se tendent, je suis à son écoute.

Je dois me déshabiller pour me montrer. Je ne sais trop par ou commencer mais je n’hésite pas longtemps. J’ôte le haut puis la jupe…


« Mets-toi à genoux »

Je m’exécute. J’aime ces ordres directs qui ne me permettent pas de réfléchir…

« Les mains derrière la tête »

 

 

« Tu peux la toucher »

 


 

Y se lève et n’hésite pas à me palper avec des mains poignantes et fermes. J’apprécie. Les seins, les hanches puis il descend entre mes cuisses. Gênés par l’espace. Je ne sais si je mouille, mais j’ai chaud. En fait, j'ai chaud depuis que j’ai quitté la maison : la douce température extérieure se mêlant à un petit brin d’appréhension sur la présence d’un inconnu, à la présence d’une cravache et d’un vime dans mon sac… Chaud aussi d’avoir dû monter seule jusqu’à la chambre où ils m’attendaient et en retard !!! Bref, les respirations avant de frapper et les baisers de mon Maître m’ont apaisés (plus de tremblements) mais n’ont pas ôté cette terrible chaleur sur ma peau…

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Remise en position  avec plus de place, j’ouvre encore plus mes jambes et place mes  mains sur les cuisses. En attente… Soumise… Les attouchements reprennent de plus belle. L’assurance monte des deux cotés. Je m’offre et me permets de sentir de ma joue, le désir de cet homme. J’essaie de lui faire ressentir aussi le mien, ma « dévotion ».


« Lève-toi » lance mon Maître,

« Mets-toi sur le lit »

A quatre pattes, je me présente, je me cambre.

« Cambre-toi »

 

J’accentue le creux de mon dos en forçant. La main de mon Maître m’appuie la tête sur les draps, pousse sur mes reins. Je reste ainsi indécemment disponible, touchée, pelotée, caressée mais avec plus de fermeté que de douceur, ce qui n’est pas pour me déplaire. Des doigts s’immiscent en moi. J’avoue que le plaisir est là, que cet inconnu est doué.

 

 

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Maitre MaX a regardé le contenu de mon sac et sort les objets : pinces (emmenées au cas où), cravache et vime… En entrant, j’ai vu le bâillon sur un meuble et pas discerné le reste. J’avais presque oubli

 

é que je venais aussi pour tester le vime et mon endurance !

 

La position est idéale et les coups de cravaches commencent, entremêlées de fessées. Ca chauffe déjà. Y regarde et se lance avec mon Maître. A eux deux, ils alternent les coups qui font mal et ceux à la délicieuse douleur…

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Un cours magistral pendant lequel je reçois des coups plus ou moins forts, plus ou moins bien placés, de fessées, de cravaches mais j’ai plaisir à rester sur mes genoux, à m’offrir, à encaisser, à faire sentir les oui et les non… Heureuse je crois d’être l’objet résistant du « cours » ou de l’entrainement de cet homme avec mon Maître…


La cravache est tantôt douloureuse, tantôt câline en passant sur mon clito et ma chatte. J’aime ces sensations alternées qui m’enivrent et me perdent, m’ôtent la  notion de ce qui peut arriver.


 

Et puis vient le vime. Pris en main par mon Maître, la douleur que je découvre est particulière : rien au coup puis un réveil de brulure qui pénètre les chairs sans possibilité d’en arrêter le parcours, ni d’en atténuer l’intensité ou d’en définir cette intensité.  Les douleurs foudroyantes (et ce mot est peu dire) me font relever d’instinct comme pour empêcher un nouveau coup et me laisser le temps d’intégrer celui qui vient de s’abattre dans mes chairs. Des marques nettes apparaissent après un instant… Mes fesses, mes hanches rougissent et se zèbrent. Au dire de mon Maître la couleur n’est pas traduite par les photos !!!

 

Et malgré cette leçon douloureuse, ma chatte coule. Les frappes près de mes parties intimes ont tôt fait de mettre le feu dans mes entrailles. Je sens le chaud, un jus chaud en moi. Je sais que je coule, que je jouis de ca. Les  doigts de Y et de mon Maître constatent mon plaisir et je suppose la fierté et l’étonnement sur chacun de leur visage. Puis  les deux se mettent à me fesser…  Ils enchaînent sans répits. Je perds l’anticipation et ne peux que subir, encaisser, intégrer le temps, attendre que cela passe. Je prends plaisir à résister, à être dans cet  état d’esprit, un défi pour satisfaire mon Maître.

 

Nouvelle surprise pour moi : des pinces japonaises ! Je ne m’y attendais pas. Moi qui voulais en acheter pour m’entrainer …  Trop tard ! … L’appréhension de la douleur déjà mal vécue la première fois arrive instantanément et pourtant les regards de mon Maître, encourageants et rassurants, me font céder et la pince se saisit de mon téton. La douleur est supportable, se diffuse et même si elle est forte et piquante, je l’intègre tant bien que mal. Je me demande meme pourquoi j'ai eu ce recul.


Le fist de Y reprend et comme lui dit mon Maître, je suis entrain de me concentrer à la dissipation de la douleur de mes sein.s En quelques instants, je peux jouir des doigts. Je vacille entre les deux et suis bien. Quelques coups plus forts, bougent de trop les pinces et me rappellent à l’ordre. Je ne sais s’ils s’en rendent comptent mais, là, je suis bien dans ce va et vient de sensations.


Mon Maître tire sur le cordon des pinces mais peu m'importe, je suis au dessus, ne sens quasiment plus rien ou plutôt, je dirai que cette douleur m’est devenu familière et ne dérange pas, je l’apprécie… Il ôte ensuite les pinces de mes seins et les place sur les lèvres de ma chatte. La sensation n’est pas très forte. J’éprouve juste un plaisir à être offerte ainsi. Imaginant que ces pinces peuvent servir à ouvrir les lèvres et mettent mon antre à leur merci. Sensation d’être maintenue, attachée par mes parties intimes. Assurée et consciente  d’offrir l’image de la soumise à ces deux hommes…


Ma langue aussi aura droit à ces pinces diaboliques. Toujours l’appréhension mais un accompagnement certain qui me fait me livrer, m’offrir. Je sais qu’il lira si ca va pas et qu’il reste prêt à ôter l’objet du supplice. J’ai plus confiance en lui qu’en moi.

Jeu de visions, d’images tans de fois vécus dans nos têtes. Fière de les vivre, fière de lui offrir, fière qu’il soit fier de moi.

 

Dans cet état d’excitation, de jeu,  la pénétration des doigts de Y et de mon Maître m’emportent trop facilement dans le plaisir mais je savoure. Mon Maître lui propose alors de se faire sucer. Que je le remercie comme il se doit.

 

Belle queue assurément, à rendre désireuse de mes antres ! Je la prends en bouche, je la lèche pour le titiller, le sensibiliser. Sa queue monte petit à petit et savoureusement je ne le lâche plus. Je teste, m’applique. Et il me fait l’honneur d’une belle queue raide que je ne tarde pas à absorber en gorge profonde… à m’en étouffer.

 

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Dans ma chatte, les doigts de mon Maître ciblent vicieusement ma jouissance… Partagée entre me laisser aller au plaisir de ma chatte et au plaisir d’honorer, je ne peux choisir et balance entre les deux. Possédée des deux cotés, j’adore…

 

La fellation dure longtemps, les positions se succèdent. Y prend ma bouche et je lui offre de plusieurs manières. Il me présente ses couilles, me demande de ne pas mettre les mains, de garder la bouche ouverte et il me baise ainsi… Je le sens proche de venir mais sans jamais céder. Il maîtrise. Cela m’excite et me perturbe aussi. Je me dis qu’il veut faire durer le plaisir… Je n’abandonne pas !!! Mon Maître saura que pour moi, c’est frustrant,   Ca m’énerve… J’en suis sure.

 

Puis, Maitre MaX prend son  « rôle de Faust ! ». Ses doigts entrent dans mon anus. Il joue et ses va-et-vient deviennent vite jouissifs. Oui, j’en jouis, je me sens partir, emportée… à couler, à exploser (contractions vaginales et anales peu contrôlables...)

 

Il offre ensuite à Y de me baiser. Il ne manque pas de se faire sucer en parallèle. Y me prend profondément. C’est plaisant et efficace mais le rythme me manque, je joue, j’accentue les mouvements comme je peux. Les sensations varient, je les savoure. La queue de mon Maître en bouche.

 

Mon Maître me prend à son tour et il le fait sans vergogne. Les mouvements sont plus que percutants. Pas de place à mes initiatives, la prise de possession est directe. Il joue de cette jouissance douloureuse…. Je savoure.

 

Et puis, encore des surprises  pour moi…

Un bâillon boule que mon Maître me place sur la bouche. C’est vrai que ce n’est pas très confortable de se retrouver la bouche ouverte, sans parler, et en salivant de trop. Des nouveaux liens pour maintenir mes poignées aux cuisses. Je suis étonnée et ressent sa détermination, l’avancée certaine (sur notre chemin je vois les pas).  J’entre dans mes pensées les plus folles, les visions sur le net où ayant vu les autres, c’est enfin moi que l’on maintient ainsi. Pas de crainte. Je me laisse faire… Y observe toujours la scène. Mes fesses sont offertes, ma tête dans les draps.

 

Mon Maître me reprend, mais très vite, il me sodomise. Entrée sans préparation, bien que surement ouverte par l’excitation. Là, je subis, je ne peux bouger sans mes bras, mes mains, je n’ai pas de choix. Je suis son objet de plaisir et en suis fière. Je lutte par mes épaules pour me maintenir, j’encaisse des coups profonds, je savoure ces caresses extrêmes. Je vois l’image que je lui offre…encore plus contrainte…encore plus à sa merci… Encore plus résignée face à son démon….

 

Certaines percussions me font croquer la boule qui se fend ! Je savais pourtant que c’était fragile !! Mais comment se contenir dans ce tourbillon de sensations… Il vient sur mes reins et me donne sa semence à lécher sur ses doigts. Ravie et épuisée.

Y s’en va et nous resterons à savourer encore nos plaisirs, nos pas…

  

Cette séance fut marquante par l’intégration de nouvelles douleurs, et surtout par la durée et le nombre de coups que j’ai pu prendre. Je suis fière d’être aller plus loin, d’avoir eu cette force, tout en étant fière de mon Maître qui m’a accompagné dans cette épreuve… Qui a eu cette force… Heureuse de voir comment la chaleur de la douleur a rendu ce moment si plaisant… Ravie du défi de résistance…

 

Merci Maître de ce moment…

Merci Y de ta participation.

 

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Par Chienne Saly
Lundi 14 février 1 14 /02 /Fév 00:11

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Pourquoi, j'écris cela maintenant ?

Simplement car je repense à mon évolution.

 

Des choses accessibles enfin (grace aux craquelures qu'a créé mon maitre) ...

Parce que je me les autorise, parce que je commence à savoir jouer de ce qui m'entoure...

Parce que j'ai retrouvé l'envie....

 

Une visite d'un parc d'attraction "très visuel" avec mon Cocu...

Un plaisir de prendre l'air, un bien être...

 

Et puis une séance de ciné sous une voûte d'images.

Siège incliné, espace, confort, peu de personne.

Nous nous installons au bout d'une rangée.

 

L'univers se construit sous nos yeux et tout autour de nous, les planètes se forment et défilent... Moi, la tête dans les étoiles, j'admire...

Me sens bien et dans ce contexte, une envie, je glisse ma main sur mon jean. Réceptive, ma chatte est bien aussi. Mes doigts passent dans mon string... La douceur de mes caresses nous stimule, ma chatte et moi... Mon clito est sensible et s'érige.

Et au fur et à mesure que le monde se crée, s'anime de vie, mon plaisir augmente, je jouis de ce plaisir, je mouille assurement. Je me souviens de l'étonnement de Cocu et de son plaisir à voir cela...

 

Un beau moment la tête dans les étoiles ...

 

Merci mon démon....

 

Par Chienne Saly
Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 13:41

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Retrouver l'album "comme je me sens 2011 01" : des photos qui traduisent la femme que je suis en ce moment

Saly

 


 

Par Chienne Saly
Mercredi 9 février 3 09 /02 /Fév 21:32

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