J'ai apprécié la découverte et la lecture de ces sites....

 

  • le blog "Le lien de l'invisible", ci-après, qui aborde le BDSM sous un réalisme de saveurs partagées. Des articles à dévorer, un guide assurement...

 

http://maitredesjeux.canalblog.com/

 

 

  • le site incontournable du cercle d'O qui répond à de nombreuses questions, véritable bible du BDSM et des pratiques....  

http://cercleo.net/


Je ne peux que les conseiller aux débutants, à tous ceux qui s'interrogent et aux pratiquants...


Je vous souhaite bonne lecture... et du plaisir....des plaisirs.

 

Par Chienne Saly
Mercredi 9 février 3 09 /02 /Fév 20:59

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Chienne assurément

Parce que je trompe mon cocu impunément 165726 129415853788475 100001601825355 208236 6391591 n

Parce que j’aime le sexe et ses plaisirs

Tant d’année à l’imaginer, à le dire,

il est temps d’agir

 

Chienne, je dois être dressée

Ne pas courir dans tous les sens

Flairer, humer et apprécier

Juste développer mes sens.

 

Chienne, Je gémis

J’écoute et obéis,

Je joue, Je mords,

A raison ou à tort

 

Fidèle comme une chienne

Mon Maître m’éduque

Sentir sa main sur ma nuque

J’aime être sienne.

 

Fière de lui appartenir,

Je veux répondre à ses désirs.

Tant de fantasmes à assouvir,

Qu’il me guide dans mes plaisirs !

 

Par Chienne Saly
Jeudi 3 février 4 03 /02 /Fév 22:22

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Rdv à l’hotel. Réservé pour une séance qui a été annulée, mon Maître me demande de m’y présenter quand même avec une liste de matériel : des cordes de longueur définie, mes liens de cuir, le bandeau, une laisse, la cravache et le crochet anal…

Le crochet me fait terriblement envie, la cravache m’inquiète quelque peu, je sais que la douleur est forte et vu que je vais être attachée, je la crains.

Ma tenue : mon collier, bas et porte jarretelle (cela pourrait être une « Tenue de gala », de présentation). Mon Maître veut surement une image de femme pour réaliser sa séance.

 

Nous arrivons à l’hôtel en même temps, mon sac est plein et la cravache a du mal à se tenir à l’intérieur.

Nous montons dans la chambre. Echangeons des baisers en ôtant nos vêtements.  Moment de tendresse avec dans ma tête et surement dans la sienne la vision de ce qui va se passer. Mais c’est nous, ça ! Nous savourons chaque instants et ça ne change rien à ce qui va arriver.

Mon maitre attache mes liens de poignets et de chevilles puis il me demande de me placer à quatre pattes sur le lit et il encorde mes liens au mobilier. Mes mouvements sont restreints et surtout, mes jambes écartées, mes bras avancés ne me permettent que de m’abaisser, de m’offrir. nbcrochet 008

Mon maitre est fier, tourne autour de moi, me caresse.

Je souris, encore.

Lui me répond mais avec la lueur de ses visions. Je le sais, je le sens, je le vois…

Le téléphone vibre, sms, il répond…

Il me reprend en main, me sonde, me fesse. Il "échauffe" mes sens !

J’apprécie ces gestes qui font monter la tension.

A nouveau le téléphone, mais les textos échangés me laissent un doute sur le fait que l’on reste seuls.

Il me masque et  place des pinces sur mes seins, la tension monte d’un cran. La douleur  se diffuse. Tout va bien jusqu’au deuxième téton qui me fait effroyablement mal encore une fois. Les larmes montent, je serre les dents mais j’apprécie de résister. Je reste ainsi sans pouvoir bouger. Je ne dis rien.

Tapes sur les fesses.

Le téléphone vibre encore. Là c’est sur, nous ne serons pas seuls…

La situation ne m’empêche pas de couler et mon maitre le constate, il s’en réjoui mais je sens qu’il pense que cela ne durera pas avec ce qui vient (Pressentiment que j’ai).


Il ôte les pinces car il doit s’apercevoir sans doute qu’elles me paralysent de douleur. Il vient me regarder droit dans les yeux. Echange d’accords, d’assurance, de confiance et il repart derrière moi.

Je sens sa main pleine de gel entrer en moi. Il me fiste, insiste, pénètre petit à petit. Je le sens dans son écrin, je le sens contre mes parois.

Je le veux entièrement en moi et me donne pour cela, m’offre. Insiste à contre sens. J’adore. Je sens que cela va arriver, que cela arrive.

Le téléphone ...         

Il passe au Fist anal, des va-et vients encore et encore. J’aime être prise ainsi, la jouissance monte. je m'ouvre, envie de jouir sous ses doigts. Il me fait vasciller.

J'ai l'impression d'être prête à être offerte assurement mais je savoure la main de mon maitre en moi.

Abusée, dilatée comme jamais encore – préparée pour, je ne sais quoi. Le crochet ? L’invité ? Autre ? je ne me pose pas vraiment de question, je suis bien et m'en délecte…

 

Quelqu’un frappe à la porte et entre.

Une personne timide ou intimidée qui ne parle pas ou peu. Il ne me prend pas en main, j’attends telle une chienne, sur le lit. Sur, ce n'est pas un maitre. Mais quel jeu de soumission m'attend, combien seront-ils ?

Mon Maître reprend le fist, je bouge et suis ses mouvements. Je ne sais pas ce que fait l’inconnu à part ôter son blouson. mais cela ne me gène en rien. Il lui propose de me toucher, de me caresser. Je sens alors les mains froides me passer partout. Mon maitre me fiste toujours puis, le vide. Suis seule sur le lit. Une queue se présente devant ma bouche. Mon maitre me dit de la prendre. De montrer  mes talents. Je la prends en bouche. Elle ressemble à celle de mon maitre. Je poursuis. Je l’entends parler non loin. nbcrochet 019

 

Le crochet me pénètre et je suis ainsi maintenue, face à cette queue. Poussée à faire une gorge profonde, je retrouve la morphologie de mon maitre. Les odeurs de sa peau. Je m’applique de plus belle. Je visualise la scène que je ne comprenais pas jusque là.

Il se retire et propose à l’homme de me baiser. Pas de réaction immédiate. Et mon Maître passant derrière moi, le sollicite pour me présenter, à son tour, sa queue. Je le prends en bouche. Sensation totalement différente. Une queue timide qui sous l’effet de ma langue et de mes aspirations grandit, devient longue et raide…humm j’apprécie de réussir cela. Mon Maître m’encourage à m’appliquer et à montrer ce que je sais faire. Je m’applique. Lui, me prend par derrière. Puis j’entends l’ordre d’avaler notre invité s’il vient dans ma bouche. L’excitation de l’homme se sent dans sa queue et il ne tardera pas à s’abandonner au fond de ma gorge. L’ordre de mon maitre ne laisse pas place à l’appréhension du gout ou autre, c’est comme ca…je le fais.

 nbcrochet 014

Maitre MaX lui propose ensuite de venir me fister.

Je sens sa main froide entrer en moi. Quelque peu hésitant assurément.  Le crochet m’est oté. Je suis caressée de partout.


L’homme se rhabille et avant son départ, mon Maître me demande de le remercier oralement. C’est chose faite, naturellement…

Je suis chienne et j’obéis.

 

Maitre MaX vient ensuite devant moi et ôte le masque. Sourire aux lèvres, je le fixe. J’ai l’impression d’avoir été obéissante et il me le confirme. Fier de moi.

Toujours attachée, mon maitre joue de moi, me lèche, me fouette. Il m'excite encore.

Il se munit du crochet et le fait pénétrer. Je ne sens que le frais de l’acier mais pas l’emprise de l’objet. Mon maitre me maintient en place ainsi et me prend en même temps : je sens les deux avec plaisir, la stimulation est jouissive.

Je sais maintenant que le crochet seul ne me transcende pas. Objet de contrainte de maintien qui fait partir mon esprit…

Mon maitre abuse de moi…de mon excitation...

 

Trop excitée à son gout, il sort la cravache... Il frappe. Slash !!! Ca cingle. Ca brule. C’est chaud ! plusieurs coups et je m’affaisse sur le lit, il la pose non loin de moi. Je réalise qu’elle ne lui a pas encore servi réellement et qu’il y pense surement ! je vis comme une préparation mentale à ce moment là car je sais que cela va être dur à soutenir…


Mais le calme et les caresses me distraient, m’apaisent.


Toujours attachée, je crois que la chaleur et le rouge de mes fesses attisent les braises de mon maitre. J’en joue, souris et par mes liens tendus, ai l’impression d’être à sa merci. Mon désir m’a surement trahit car il me sodomise. Le gel facilite son entrée, je n’ai pas d’autre choix que de subir mais c’est un délice. Belle vision de contrainte, de rapport de force…comme j’aime.

Jeu de provocation de dérobade.

Il me retourne et me prend la chatte. Mes liens entortillés tirent mes bras en arrière. Contrainte assurément par les liens et le gel qui facilite tout, je désire résister, lui résister, ne pas jouir de ses coups. le défier peut-être...

Le gel est aussi un allier pour moi car je ne le sens plus. Je résiste, l’expulse parfois mais certains coups de reins atteignent mes zones sensibles ou mes profondeurs. Dur de ne pas gémir. Des phases m’emportent. Mais je tiens. C’est quelque chose que je peux faire, que je sais faire ….


Le téléphone vibre…


Dans ma tête : « Encore… », Suis intriguée.

Détachée, nous "jouons", des coups de cravache, de fouet pour me sensibiliser, me familiariser ou me faire blottir contre lui ? allez savoir…puis une montée d’envie. Il veut que je le boive. Le bonheur. Heureuse, j’attends, le sollicite, l’envoute de mes baisers nbcrochet 024pour qu’il m’offre cela. Il vient sur nous, répandant son jus chaud que je lèche sans tarder.

 

Le téléphone reprend…étrange…je pensais que nous étions à la phase de réconfort après la séance…

 

Je vais aux toilettes et quelqu'un frappe. Mon maitre ferme la porte et ne me refait entrer dans la pièce qu’avec mon masque.

 

Il me demande de me placer sur le lit, de me présenter. Ces mots sonnent maintenant et à 4 pattes, je me cambre naturellement en écartant les jambes. J’attends. Offerte et soumise…

Il me présente à son invité : Corsaire.

Un frisson me parcourt. Frisson parce que je suis ravie d’être présentée et frisson d’appréhension parce que je vais être testée, évaluée (et mon maitre aussi par la même).

Corsaire se prépare et me palpe directement et naturellement.

 Il demande ce que j’aime en me testant en parallèle pour vérifier mes réactions. Je ne réponds pas mais montre ma sensibilité au passage de sa main. Je me laisse faire. J’apprécie et ressens la fierté d’être tester ainsi sous les yeux de mon maitre. Assurée aussi que mon maitre me reprendra si quelque chose ne va pas.

 nbcrochet 038

Il teste mon clito, j’aime mais il ne s’y attarde pas. Il entre assez vite dans ma chatte, la sonde.

Puis l’anus. Il constate que j'ai déjà été "utilisée". Sera-t-il plus indulg ent pour autant ? Il apprécie mes courbes, mes antres et reconnait mon « gabaris »…

 

Il me parle et me décontracte par cela. Il me pose des questions, j’y réponds et quand je tarde ou hésite, son ton se raffermit. Ma timidité, ma gêne à répondre me mettent mal à l’aise mais je dois passer outre car je sens que ce n’est pas un jeu. Mon maitre est là, et saura me reprendre par son « réponds ! ».  

 

Le Fist vaginal mène à la pénétration totale de sa main en moi.

 

J’aime cette possession, la sensation d’être ainsi remplie, soumise.

Son habileté jouera de moi à m’en faire jouir : 1 fois, deux  fois, plusieurs fois… Mes muqueuses se contractent, se relâchent, une chaleur m’envahit et je coule à flots, me répandant partout. Des orgasmes qui me surprennent nbcrochet 034toujours parce que je ne les maitrise pas, par qu’ils me font gémir à outrance, crier et parce que je mouille tout…

Mon ami le crochet s’ajoute au jeu et mon maitre le tient pour mieux présenter ma « croupe ». Divine sensation de maintien, d’offrande de mon maitre. J’aime être sa chienne ainsi mise, …ressentir que je ne suis plus maitre de mes actes, sentir que je m’abandonne à lui. 

 

Au cours de cette étape, Corsaire remarque que je n’ai pas la marque de mon maitre. Oui, je n’ai pas dessiné le M habituel sur mon pubis et/ou sur mes reins. Je m’en veux un peu mais je ne pensais pas que la séance se poursuivrait. J’avais le stylo. J’espère que mon maitre ne m’en voudra pas trop. Il poursuit, et parle de signes et notamment du port des anneaux. Je dois dire que cela m’interpelle. Pourquoi ne le ferai-je pas pour mon maitre ? est-ce lui qui lui a parlé de cela ou est-ce une envie de corsaire. Une info aussi face à ma réticence notée sur le questionnaire préalable. Je réfléchirais à l’utilité plus tard ….mon maitre précise que ma réponse sur le questionnaire était claire, comme ses souhaits…j’apprécie.

 

Après cela, Corsaire s’enduit de gel pour me tester le cul. La pénétration est lente, et guidée par ses mots, je me dois de me dilater moi-même sur sa main, à mon rythme. nbcrochet 041

 

Quelques douleurs comme des coupures me font crisper mais les paroles de corsaire et l’accompagnement de mon maitre par ses gestes, son maintient, sa façon de me faire respirer m’aide. Il m’a mise en laisse et me maintient. Face à moi, je sais qu’il me jauge, m’encourage. Ses mains, son corps me rassure.

Ne pas décevoir et me dépasser telle est ma volonté.

Par la laisse, il me guide sur mon attitude, je le sens et le suis.

Je me redresse à plusieurs reprises sous la douleur de cette coupure mais j’ai tellement envie d’y arriver, de sentir cela que je persiste. Je pense à mon mot de secours mais il s’évanouit aussi vite…

Je me relève aussi pour mieux me pénétrer...

Encore…je sens les phalanges pas loin ….Je suis bien, je suis mal, je pars, je reviens, je crie, je me pince, je me mords, je mors mon maitre aussi. Aie ! pas bien, je le sais.

Je jouis, c’est mon endroit sensible et corsaire en joue….Puis il reprend sa pénétration, sa dilatation. .. j’ai mal, je prononce le mot : « stop ». Les deux hommes me calment.

 

Corsaire me bascule alors sur le côté pour me sodomiser.

Il me pénètre et ne tarde pas à me fister la chatte en même temps, se caressant au travers de ma paroi. Oui, je le sens … je sens aussi la jouissance monter, la force de ses doigts qui veulent pénétrer…nbcrochet 048

je suis possédée par cette homme, par mon maitre qui m’offre ainsi !

 

Les bras de mon maitre sont là, ses lèvres parfois, son souffle.

 

Et moi, je jouis, je jouis pour lui....je sais qu'il se nourrit...

qu'il absorbe........

Mon esprit lui crie et mon corps le traduit : "prends ma jouissance, prends ma furie, prends ma douleur !"


Fin de la séance de présentation, de dilatation, mon maitre me rappelle ma morsure et me demande de me mettre en position pour recevoir des coups de cravaches. 20 coups  sur chaque fesse, ce sera la sentence. Je me place sans discuter ni hésiter, je sais que j’ai mordu sans retenu. Je reçois chaque coup, les intègre, je ne les compte même pas mais écoute mon maitre. Les cinq derniers seront subis avec une grande concentration.

 

Corsaire a joui. A leurs dires, j’ai du être trop provocante, trop excitante, je n’ai pas su me tenir. Mon maitre autorise son invité à me donner des coups de cravaches. Je reçois 5 frappes sèches et directes sur chaque fesse. Elles sont douloureuses, profondes et bien placées mais je ne bouge pas ! Serre les dents.

 

« Qu’est ce qu’on dit ? »

« Merci corsaire, merci maitre »

Il me reprend et me dit de le remercier en premier et de dire « monsieur corsaire ». Ma voix hésitante prononce les mots, un peu honteuse de m’être trompée, et de surtout de devoir répéter des phrases faites même si mon sentiment intérieur est effectivement de la gratitude envers eux pour ce que je viens de subir.

 

Merci maitre....

Mon esprit le crie et mon corps le traduit : prends ma jouissance, prends ma furie, prends ma douleur ! Nourris-toi !

Par Chienne Saly
Dimanche 30 janvier 7 30 /01 /Jan 22:14

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Maître MaX vient cet après-midi.

Je sais que nos envies sont blanches et noires. Attente étrangement longue pour tout les deux.

 

Ses envies, il les a traduites dans un programme

Je serais attachée sur la table en bois du salon et promise au supplice de la cire. Jeu délicieux qu’il nous tarde d’expérimenter …

Mais nous avons évoqué tant d’envies que je ne doute pas que d’autres idées se mêleront à son scénario. J’aime ne pas tout savoir… le suivre les yeux bandés, avec cette pointe d’excitation face à l’inconnu, face à son démon…

 

Son désir est que je l’attende complètement nue. Je me prépare curieuse et désireuse des sensations à venir.

Je suis nue derrière la porte d’entrée (pas chienne mais ange blanc).

Dès son entrée, l’étreinte et le désir sont forts. Il me guide vers la chambre où il se met nu. Nous savourons nos peaux,  corps à corps.

Caresses, enivrement de nos sens.

Je voudrais que nos échanges sensuels durent encore et encore mais j’ai terriblement envie qu’il me prenne.

Je me bats avec mon esprit pour prolonger ce moment de sublimes sensations tant attendues. Mon Maître a la même envie de me pénétrer et me demande de prononcer les mots de mon désir. Je veux encore patienter. Je gémis de manque, de privation face à cette furieuse envie. Je finis par céder et lui demande.

Et comme quand on désire quelque chose intensément, après un long temps d’attente, la pénétration est sublime.

Je le sens s’immiscer en moi, glisser sur mes parois. Sa douceur caresse tous les endroits l’un après l’autre, je ne sais même plus si je dois bouger, il gère, joue, je savoure les plaisirs qu’il m’offre… Puis, les mouvements s’intensifient. Tout au fond de mon antre, les ressenties de percussion et la diffusion de douces jouissances me partage. Je vais et je viens sous sa gouverne. Il me transporte. Je gémis, profite et jouis….

 

Jeu de corde :

Nous testons les liens de corde sur mes poignets mais mon maître, une autre idée en tête, se dirige vers mon coffre et en sort rabbit pour l’attacher sur mon clitoris. Fixé ainsi à mes cuisses, l’objet transmet ses vibrations et stimule, en premier lieu, l’ensemble de ma chatte qui coule sans vergogne. Serrant les jambes, les desserrant, l’action de l’objet ne me saisit pas comme les autres fois mais simule une masturbation incessante qui pourrait devenir ingérable.

Durant les vibrations, mon Maître place mes liens de cuir à mes poignets et chevilles. Il attache mes mains aux jambes. Ma liberté de mouvement est restreinte et rabbit ne cesse de me faire vibrer…

L’envie de cibler le plaisir monte, je voudrais y parvenir. Je voudrais que mon maitre voit l’emportement que m’a procuré rabbit à plusieurs reprises. Mais c’est difficile, les vibrations pas toujours au bon endroit, pas toujours aussi appuyées, me font naviguer de sensation en apaisement. Alors, avec l’accord de mon Maître qui me libère une main, je cible les vibrations mais c’est toujours aussi long. En effet, j’ai envie de me tortiller pour trouver le plaisir, je pars mais chaque fois, ma main attachée empêche mon corps de se soumettre au plaisir montant. Je supplie mon Maître de me détacher l’autre main car je veux lui offrir cette jouissance. Libérée, je peux ériger mon clito sous les vibrations et il ne faudra pas longtemps pour que l’objet m’emporte à tout lâcher.

Cela aurait pu être plus intense comme les fois précédentes et j’aurais aimé qu’il voit cela. D’un autre côté, je sais que cela peut être vraiment insoutenable et que le sang aurait afflué dans ma tête à m’en rendre pivoine. J’en étais consciente pendant ces instants…

Merci Maitre de m’avoir laissé la liberté de jouir pour toi.

 

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Puis, il prend rabbit et me pénètre avec. Envie de saturer les désirs de cette chatte coulante, assurément.

Et puis, à son tour, il me prend.

Pas rassasiée, pas épuisée, cette chatte est insatiable !! J’en profite, j’en jouis, j’en savoure les plaisirs…(Serrée entre mes doigts sa queue me parait différente).

Calme…

En côte à côte, mon Maître me caresse, irrémédiablement attiré par mes fesses et l’antre qui s’y cache. Si tant est qu’elle soit caché car le désir  me fait cambrer et je m’offre sans pudeur. Je mouille et il n’a pas tôt fait de me fister. Le bonheur. Je coule de plus belle. Les sensations sont pour moi quasi immédiates. Il fait chaud, très chaud, je coule encore et encore.

Ma chatte est bouillante. Trop, aux dires de mon Maître, qui me dirige vers la salle de bain. J’ai sûrement droit à la douche froide….

Je le suis ….NB2DSC02956

Il me fait agenouiller sur le carrelage froid, jambes écartées … Effectivement le sol glacé, ça calme ! Il incline mon buste, tête à terre et me caresse lentement comme sa chienne soumise. Je suis bien à en lécher ses pieds. Je me calme peu à peu.

Refroidie, il me relève.


Nos esprits angéliques sont partis, déchus.

 

Mon Maître prend alors ce qu’il lui faut et se dirige vers la table du salon, me faisant signe de le suivre. Moi, je sens ma condition et mets mon collier de chienne pour marquer visuellement ce que nous sentons à ce moment là. Acceptation. J’ai envie de me soumettre, de ne plus être moi…

Appliquée sur la table, jambes écartées et fesses offertes, je reste en attente.

Des caresses, des claques sur les fesses jouent de mes sens.

Le feu, la douceur alternent sans prévision. La fessée m’échauffe. Surtout au bas des fesses, la sensation se diffuse et brule. Il peut me fesser autant qu’il le souhaite, je veux que le feu m’échauffe les sens, que le sang afflue dans mon sexe, que le rouge et la mouille attisent ses désirs…

La bougie noire est allumée et se consume sous mes yeux…

Maître MaX replace sa main sur mon anus, joue à l’orée et y pénètre. Sensibilisée par la première fois, je suis peut-être moins à l’aise mais la sensation à tôt fait de me faire céder : je m’ouvre, me cambre, m’offre. Les doigts entrent les uns après les autres et les mouvements m’emportent de plaisir. Je jouis. Je me sens couler.

 

« Retourne-toi ! »

Assise sur la table, tout au bord, j’offre mes seins, mon ventre et ma chatte. Il écarte mes jambes et frappe encore mes cuisses, mon sexe. Endroit sensible et réceptif…

Puis il se saisit de la bougie, l’approche de moi. La lueur me fascine mais la chaleur que je sens commence à m’effrayer. Une certaine panique à la brulure, mes yeux s’embrument. Maître MaX le sent, attend, me regarde, me demande de le regarder et incline alors la bougie. Les premières gouttes de cire qui tombent sur mon sein me brulent et entrent dans ma chair dans une sensation qui se diffuse. Je me sens finalement bien. J’intègre cette nouvelle impression pas si terrible que ça même si elle est piquante. Prête à recevoir la suite, prête à subir ce qu’il désire….

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Plus la cire coule, plus j’apprécie la brulure. Selon les zones, l’effet est plus ou moins intense, surprenant et cette attente de sensation est ce  qui me ravie, me stimule…

Mon Maître ressent dans mes yeux, sur mon visage les sensations qu’il m’inflige. J’aime cette lecture, ce suivi, ce partage…

 


Il se retourne et prend deux pinces pour me les placer sur les tétons … Douleur familière mais toujours difficile à intégrer. Le jeu de cire reprend, les impacts sur le bas ventre sont plus marquants et incisifs qu’en haut. Les pinces me tiraillent dans mes mouvements. J’ai l’impression d’être piquée de partout, en alternance et inlassablement. Ma chatte n’en est pas calmée pour autant. Si ce n’est pas pire…. !! Je me sens soumise à sa volonté, tout en percevant monter en moi une furieuse envie de « rugir »…

Mon Maître me prend ainsi. Sa queue puissante me soumet directement au plaisir. La cire reprend et les pinces me rappellent à l’ordre. Je ne gère plus rien et suis emportée dans la jouissance sous le regard de mon maitre.

C’est un moment où je navigue entre l'impression de ne pas m'appartenir et l’envie de jouir furieusement.

Je n’ai pas la gestion de tout, les sensations de partout sont à l'opposé et pourtant si complémentaires... Je ne vois que ma poitrine entachée de noir, mon ventre où seul le piercing brille au milieu de la noirceur, un repère que c'est bien mon corps... et surtout le regard de mon maitre, son plaisir, sa lecture de mes yeux, sa profondeur qui m’obsède pendant et depuis ....Je m’agrippe à lui pour accentuer sa pénétration, pour transmettre ma furie et offre mon buste aux brulures… je ne sais pas trop dans quel tourbillon je suis emportée, nous sommes… la furie…
Outre ses yeux, sa bouche traduit le désir, le plaisir et la hargne de ne rien lâcher...Il me possède…
J'ai adoré ces instants de transposition ou de libération de nos démons devrai-je dire.

Ces prémices de douleur qui n’ont fait que sublimer notre jouissance.

 

Besoin de reprendre nos esprits, de nous apaiser. Nous savourons le résultat de cette fusion. Mon Maître me fait accroupir puis agenouiller. Assis devant moi, je pose ma tête sur sa cuisse. Sa main sur ma tête, je profite de cet instant. Mes yeux clos, je pourrai m’endormir.

Je remercie mon Maître de ce sublime moment. Sa queue en bouche, de gorges profondes en coups de langues, je m’en délecte.

Après quelques instants, il se lève et me demande de le suivre. Je saisis une laisse en chaine, l’attache à mon collier et lui tend la laisse. Cette prise en main le réjouit et il me guide jusque dans la chambre.

Par cette laisse, il fait de moi ce qu’il veut et moi, j’obéis, chienne, heureuse de cette condition.  Heureuse de combler ses désirs  comme il comble les miens. Le bruit de la chaine embellit nos ébats…

Je suis sûre que la vision lui plait…et moi, je m’imagine…

Par Chienne Saly
Lundi 24 janvier 1 24 /01 /Jan 10:24

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SMS de mon Mâitre qui me réveill  

Reste au lit et caresse-toi et ce jusqu’à l’orgasme.

Je réalise son désir et lui transmet ma jouissance


Caresse-toi encore…


Puis encore une fois avec Rabbit 

 Vibrations exquises qui m’emportent dans une jouissance supplice.

J’aime ses ordres directs auxquels j’obéis sans réfléchir…

Journée dédiée à la saturation de ma jouissance, à dompter cette chatte si réceptive !

 

Puis, plus tard dans la matinée :

Mets ton collier et à genoux, jambes serrés, devant le fauteuil de la chambre., reste en attente.

Je m’exécute et place l’ordi sur le siège face à moi  pour suivre ses directives.

Je suis à genoux, les mains sur les cuisses. Juste quelques mouvements calmes pour répondre sur le clavier.

Je reste ainsi, je me sens apaisée. Comme transportée dans une suspension du temps.

 

Ferme les yeux et sens moi...

Je m’exécute. Je suis bien, comme vouée au culte de mon Maître. Je l’imagine dans ce fauteuil. C’est étrange.

 

Caresse ton clito

Les jambes trop serrées, je demande l’autorisation de les écarter.

Accordé. J’atteinds alors mon clito caché. Ma chatte est humide. Je le caresse, il est très sensible. Et petit à petit l’excitation monte.


Je te regarde

Et moi, j’ai l’impression qu’il est là, qu’il est entré, s’est déchaussé et m’observe à la porte.

Ses mots, de regard sur moi, résonnent. De dos à la porte, je me laisse aller, ondule sous mes caresses. Je me fais du bien pour lui et devant lui.

Puis, je ne sens plus mes jambes. 40 minutes que je suis ainsi. Je n’ai plus de sang. Je demande alors l’autorisation de bouger.

 

  Allonge-toi sur le lit.

Je m’y allonge à la force des bras, trop de fourmis dans les jambes.

Je réalise alors qu’il n’est pas derrière moi. Envie folle de jouir. Je reprends mon clito en main.

Je fixe une dernière fois l’écran pour me laisser aller et y vois :


  Prends blacky et baises toi comme si c’était ma queue

Je m’exécute.

Mouillée, blacky n’a pas de mal à entrer sans préparation. Je joue de lui, simulant la pénétration de mon Maître. Pas la même efficacité. Difficile de se caresser en se baisant.

J’alterne. Mais quand je reste avec blacky en main, je ne lésine pas sur les percussions, je le sens au fond, bien au fond à m’en faire mal. Je sens que c’est mon maitre qui me maitrise et me baise. Je le vois devant moi.

Pour jouir, je caresse mon clito en coinçant blacky dans mon antre à l’aide de mes jambes. Mais encore envie de subir, je reprends blacky en main. Partagée entre le plaisir, la douleur et la jouissance, j’abuse.

Mon clito m'emmène à l’orgasme. Ma tête boue, encore une fois !

Je transcris mon vécu et remercie mon Maître de ce moment.

 

Je pars pour un RDV et mon maitre n’exige pas une tenue mais que je porte mes boules de geisha. Histoire de rester stimulée et saturer cette chatte !!

Pas de soucis, je pars ainsi.

Dès mon retour, des messages me sollicitent 

 

Es-tu calme ou il est nécessaire que je vienne te calmer?

Provocation certaine, je lui dis que blacky l’a bien remplacé et que tout va bien. Que je suis calme.

Il insiste et veut vérifier par lui-même et si ce n’est pas le cas, il me punira de cette insolence.

Et puis, il a un désir : marquer lui même ma chatte de son M.

 

Lavée pour ne pas couler, je suis prête à accueillir mon Maître.

Dès son arrivée, il me demande de descendre mon pantalon ainsi que le string et il passe sa main entre mes jambes direction mon antre. Ma chatte pourtant calmée s’avère encore humide. Il me met à genoux, me fait plier, la tête au sol, les fesses et la chatte offerte. Je subis ses attouchements.

J’ai droit  à des tapes. Mais la situation m’excite et je coule.

Pour calmer tout cela, il va chercher des glaçons.

Nouveau supplice, nouvelle sensation. Le froid endolorit mes lèvres à ne plus sentir ma chatte. Moment de résistance pour intégrer cette douleur diffuse et intense. Dès qu’il arrête, l’intensité montante de la douleur se calme. Un autre glaçon en main, il masse ma chatte et finit par l’insérer à l’intérieur. Etrangement, je ne le sens pas en interne… et pourtant il fond, l’eau glacé s’écoule. Mon maitre est étonné de constater la chaleur que dégage ma chatte à faire fondre ces glaçons si vite.

A genoux, j’ai l’autorisation de poser ma joue sur son jean. Je sens sa queue désireuse, un plaisir.

 

Maintenant, il veut me marquer et pour cela, nous allons dans la chambre.

Il inscrit son M sur mes reins et sur mon pubis. Fiers, l’un et l’autre.


A quatre pattes sur le lit, j’ai droit à de nouveaux glaçons, des fessées, rien ne me calme assurément et le fait qu’il soit là, qu’il me parle, qu’il me commande, m’ordonne et me possède, n’arrange rien, bien au contraire !

Il me baise, me savoure, moi, sa chienne soumise.

 

Cocu rentre et ce n’est pas pour nous modérer. Partie remise devant cocu installé sur le fauteuil . Il est mis à contribution comme il se doit : me lécher pour que je jouisse dans les bras de mon maitre, offrande de ma jouissance…l ’orgasme ne viendra pas cette fois. 

 

Maitre MaX me baise, me sodomise, je jouis, je savoure et quand il vient, il me lève pour venir dans ma bouche. Un délice ! Cela faisait si longtemps que je n’avais dégusté son nectar… Heureuse tout simplement de ce cadeau.

Un deuxième fois, je joue avec sa queue jusqu’à ce qu’il vienne à nouveau. Le serre, l’enserrer et ne le lâche pas. A lui de sentir un supplice délicieux….

Humm, je suis heureuse et comblée !

Par Chienne Saly
Lundi 24 janvier 1 24 /01 /Jan 09:11

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L'attention se porte sur mes seins

Obstinément l'envie de les torturer revient

Eux qui n'ont jamais été sensibles aux caresses,

qui n'ont jamais fait partis de mes sensuelles faiblesses.

    

Petit à petit, dans nos jeux, intégrés,

Copie de J2010 036

je les remarque, je les voie, je les sens

 

 

 

 

 

Premières pincées manuelles, 

affreusement douloureuses

mais dans le cours de nos jeux 

j'ai grimacé et serré les dents Copie-de-Jlt2010-006

 


 

Copie de IMG 0497

 

 

 

Puis, les pinces appliquées ! 

une nouvelle sensation qui m'a horrifié,  

m'a rendu  honteuse et faible.... 

 

 

 

 

Et pourtant, à ce jour69166 104329799633813 100001703793717 21940 6114131 n

Ils sont l'objet de nos désirs73225 104330216300438 100001703793717 21953 1293850 n

nous les caressons comme jamais

tendrement ou furieusement


 

 

 

De plus en plus, 

 

 

j'ai envie de les mettre en valeur

j'ai envie de leur douleur

NBDSC02947

je veux les punir d'être si fiers

je veux intégrer cette sensation

qui mine de rien me rend folle d'excitation.

NBDSC02948

 

 

 

 

 

 

 

A toi, mon Maître........

NBDSC02945

 

 

Par Chienne Saly
Mercredi 19 janvier 3 19 /01 /Jan 00:18

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Message d'un soir :

Chienne Saly : ouverte je le suis, mes jambes écartées t'attendent mais je ne coule pas, il va falloir que tu t'y attèles.

Maitre MaX :  Je m'applique sur ton clito et imagine que j'y reste. Tu devras le faire tout demain jusqu'à épuisement de ta main. Je le veux gonflé, gorgé de sang, de désir à en être douloureux. Je veux un journal de ce marathon. Départ dès maintenant et arrivée demain meme heure.

 

Je n'en puis plus et le soir même, le top m'étant donné, je me masturbe. Ma chatte a entendu les ordres de son Maître et ne se fait pas prier pour couler. Mon clito érigé demande son reste. Sublime moment où ses lèvres jouent ainsi de moi, de mon clito pourtant enfoui. Je jouis intensément, chaleur aux tempes... Tout valse sur le canapé...

 
Le lendemain, début du challenge.

1er réveil : flemme, désolée maitre.

2ème réveil : mise en jeu. Je me masturbe, sens tes lèvres. Mais la sensation du défi se bataille avec mes images et mon clito encore caché a du mal. Ma chatte, elle, est toujours mouillée de la veille ! 20 minutes quand même pour arriver à l'orgasme ! Je tourne dans ce lit, pense à mon défi, pense que tu es là.

30 min après je ne peux décemment me lever sans t'honorer à nouveau, je recommence. Tu ne m'aurais pas laché comme ça, n'est ce pas !!. Encore sensible, il ne me faut que 4 min.


Je sens que je vais rester trempe toute la journée à ce rythme !

J'imagine alors devoir me caresser à chaque changement d'activité...tu m'as dit jusqu'à qu'il n'en puisse plus ?!
eh ben !

Après mon thé : assise sur le canapé, dans le jour qui s'est levé, ce n'est pas évident. Plaisir de la caresse, contraction de ma chatte mais pas d'orgasme...


Je fais mon lit. Trop tentant, je m'y allonge et replace tes lèvres sur mon clito. Je m'y ennivre certes mais pas à l'orgasme.

L'odeur de chatte mouillée devient de plus en plus forte, vais me laver souvent !

NB2reDSC02910

 

  
Tiens, un aller retour dans la salle de bain, et me voilà à me caresser sur le rebord de l'évier comme autrefois, comme tu aimes aussi.

Délicieux moments.

Sensation, plaisir.
 

 

 

 

 

Je te veux en permanence autour de mon clito alors, j'essaie de mettre une pince (le trou autour du clito). Bonne sensation mais cela ne tient pas en place avec les vêtements. Je cherche quelque chose.... pour que tu m'enserres toutes la journée...... et la soirée, c'est vrai !

Là, retour à l'ordi : ma chatte est des plus excitées, sensible au moindre mouvement, chaude et humide.... Une sensation qui s'étend jusqu'au clito ! Tu ne me quittes pas...

 

Je mange et regarde les infos en faisant le vide sur mes mails. Activité simple mais rassure-toi, ma chatte est toujours en éveil et le clito gonflé, collé contre mon jean. Rien ne les éteins !
Puis les lectures de nos échanges m'excitent encore. Je bouge dans mon jean, je joue avec la couture !....

Pression maintenue !!! Mon string reste mouillé !

 

Je t'envoie mon premier rapport et ta réponse sollicite une pression maintenue avec tous les objets possibles. Je ne peux qu'imaginer aussi la tension que tu ressens à l'idée de ce que je fais à ton clito. Délicieuse journée ! Tu me confirmes la tension que tu ressens....

 

Une idée me traverse l'esprit : changer de technique, je vais chercher rabbit.

Un message de mon Maître m'attend au retour : As tu pensé a rabbit?

- oui, il est entre mes jambes !!! je lui ai changé les piles et le mets en place pour le garder tout le film ! nous verrons bien.  nbDSC02911
Dommage que pas de cam
...
Ne vais pas tenir ...le film !!!!

...

Ca, c'est un supplice !

Enserrée, liée dans les jambes de mon jean, je ne peux pas beaucoup bouger et ce vibro s'avère démoniaque !
 

 

Le plaisir, la jouissance, monte, monte, je reste au bord. pas possible de me positionner correctement. mon corps "fibrille".
Je m'allonge
Je serre rabbit entre mes jambes ! dur, ca vient, sans m'emporter
Je coule
coule
Translucide
blanc
je suis trempe
contraction musculaire
ca vient pas
je boue, mes tempes sont rouges,
mes oreilles aussi
c'est horrible
larme à l'oeil
je persiste
le serrenbDSC02913
l'enserre
enfin
Ca monte
monte
OUIII, je bascule
je mords le canapé, 
le coussin 
intense 
très intense
si profond
j'ai chaud ...
besoin d'une pause  

 

Mon maitre voudrait bien l'attacher dans mon string, ce rabbit !!

 

Je vogue à mes occupation mais un mot de mon Maître ; "un répit ?"

Non.

Alors soit !

J'ai encore envie de rabbit, en imaginant que tu veuilles me voir me tortiller sous ses effets. Je vais dans la chambre, le reprend en main et place l'appareil photo en guise de cam sur le fauteuil où tu serais assis. Je baisse mon jean, le gardant autour de mes jambes.

A plat ventre, rabbit entre les jambes, les vibrations pénètrent au coeur de mes entrailles provoquant des flux de mouilles. Mon clito gonflé n'en peut plus et part, le sang afflux, j'ai la tête qui explose, m'agrippe au drap, je me tords, mords. mais la tension ne redescend pas desuite. C'est un délicieux supplice insoutenable.

Quelques minutes sont nécessaires avant de reprendre mes esprits. Mon coeur bat dans toute mes extrémités et dans ma tête....


Cocu rentre. Mon clito est encore sensible (irritable même) mais j'ai envie de changer encore de supplice et de demander à Cocu de me lécher avant ma douche. J'attends, tourne et finis par le sollicité.

Heureux, il ne se fait pas prier. Il s'applique, mais ne résiste pas à glisser ses doigts à l'intérieur.
Il me fait jouir de l'intérieur et du clito, sublime
Je me douche, en profite pour me caresser encore doucement tendrement comme mon maitre le ferait après nos fougues...

Là, devant la télé, je me caresse mais clito est rentré, caché.
Je vais le chercher mais pas grand chose alors, je lui place une pince à linge !...histoire qu'il sente qui est son maitre !nb101228 005
Ma chatte est encore humide... 
Je garde la pince, ma chatte contracte....
Lui, est sensible, douce excitation...

 

Pincé pour toi !!
Il est tout rouge !! gorgé de sang

 

J'ote la pince - la légère douleur ne me procure plus rien...
Le clito est rentré...pauvre petit. Epuisé, apeuré.

 

Je n'ai jamais autant joui dans une même journée et les orgasmes fulgurant de rabbit...!!! humm mais supplice...

Je n'ai cessé de penser à mon Maître de jouer pour lui, par lui et de pousser ainsi mon clito à ses limites.

J'ai aimé savoir que tu pensais à ce que je faisais...

Par Chienne Saly
Mardi 11 janvier 2 11 /01 /Jan 09:48

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Le premier défi que mon Maître m'a donné pour ces congés de noël est de prendre chaque jour une posture pour lui.

 

Voici mes inspirations ....

 

Ce matin, nbDSC02820

En blanc, attachée, 
Attendant, agenouillée  

Rester ainsi
Un temps défini
Rester à genouxnbDSC02860
Penser à toi, à nous
Beau moment où
Ton ombre dans le fauteuil
M'observe...
 
Ton ange attachée  

 

 

 

 

 

 

Mon Maître :

"Et toi a mes pieds

Attendant
Me regardant"

Lui répond : je reste à tes piedsnbDDDSC02846 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

...

Mon Maître reste obsédé par cette chaine, je lui réponds :

Sois absorbé...
Tu es au bout
Je te l'ai donné
Joue
.......
   
Il me voit toujours à ses pieds où qu'il aille....
J'y serai avec mon collier...
Fidèle...
L'oeil brillant de bonheur, incandescent de désir...
La chatte humide
Les seins tendus
Les fesses offertes
Prends moi
Abuse de moi

Sa réponse :
Tu sais communiquer avec le démon qui m'habite
Envie de remplir ce code
Que tu fasses sans réfléchir
Être femme et être chienne
Sexy belle désirable
Obéissante ouverte disciplinée
Que des détails trahissent ton statut
Lèvres ouvertes
Cuisses ouvertes
Ma marque
.....
  Alors ....

 

 

Un brin de provocation....
Mais attiré tu me plaques au mur... nbDSC02888
 
Palpe moi,
Présente moi ....

Ecarte ces jambes désobéissantes....
Joue de moi.......
nbDSC02893
 
Te donnerai mon miel 
  
prend !  
nbDSC02896
 
 
Chiennement tienne !
Réponse de mon Maître :
Tu me mets a rude épreuve!!!
Je vois que tu connais les séquences mes attentes
Je ne te mettrais pas en position tu adopteras ces postures de toi même
Je corrigerais
Et te ferais progresser
Par Chienne Saly
Mardi 11 janvier 2 11 /01 /Jan 00:00

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Chienne assurément

Parce que je trompe mon cocu impunément

Parce que j’aime le sexe et ses plaisirs

Tant d’années à l’imaginer, à le dire,

Il est temps d’agir!

 

Chienne, je dois être dressée

 Maitre MaX a placé un collier autour de mon cou

Une laisse dans sa main, il me tient

Fidèle comme une chienne,

à l’écoute de mon Maître

 

J’aime être à ses pieds,

Sentir sa main sur ma nuque

Fière de ce Maître, fière de lui appartenir

Fière de ce guide dans l’immense forêt pleine de beaux arbres

mais aussi de pièges

Je lui apporterai tout ce qu’il souhaitera

Et il m’apportera tout ce que je souhaite

Que l’on en soit conscients ou pas…

Par Chienne Saly
Vendredi 7 janvier 5 07 /01 /Jan 14:25

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Cocu ne rêve que de ca...

Une soirée où sa douce compagne, devenue chienne, est livrée à des blacks
Sans trop savoir pourquoi, il trouve ça encore plus humiliant avec des blacks
Montés comme des ânes, pas des bistouquettes comme la sienne
Combien sont-ils? 3, 4, plus?

Où sommes-nous? Peu importe...

Pour eux, elle aurait sorti le grand jeu : une tenue courte, légère, moulante, des talons, pas de dessous

Je lui ajoute un bandeau, son collier et une laisse...

Prête à etre présentée à la horde

Les mecs sont nus, prêts, remontés comme des pendules,

Cocu est dans un coin, timide, excité
Il a une place de choix, le sait, mais il se sent ridicule avec son sexe d'enfant

Et se demande :

Aura-t-elle le cran d entreprendre tous ces mâles ?

Par Maître MaX
Vendredi 7 janvier 5 07 /01 /Jan 12:35

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Les yeux bandés,
Le baillon en place ,
Sur le dos,
Les mains au dessus de la tête,
Liées et attachées a la tête de lit,
Les cuisses ouvertes,
Les jambes relevées en l'air,
Les chevilles attachées au lit du dessus...


Une attente,

Une respiration qui s'accélère,

Des questions,

Des murmures,

Une langue,
Rabbit,
Une main,
Des queues...

Par Maître MaX
Vendredi 7 janvier 5 07 /01 /Jan 08:33

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De femme résignée à ne pas être,

Je deviens femme libre.

D’homme résigné à ne pas être,

Tu deviens homme libre.

 

De soumise par jeu,

Je deviens soumise par choix.

De Maître par envie,

Tu deviens guide par conviction.

 

Du conventionnel,

Nous passons à l’inattendu.

De l’ombre,

Nous passons à la lumière.

Celle de nos esprits,

Celle de nos envies,

Celle de nos êtres.

 

D’anges

Nous devenons démons

 

Oui, Anges déchus

Dans un plaisir incongru

Nourris de sensations intenses,

de vices et de perversités

Nous avançons en cohérence

Avec nos personnalités…

Par Chienne Saly
Mercredi 5 janvier 3 05 /01 /Jan 21:20

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Beau moment, oui mais avec un manque...

 

Tout scintille au dehors, nos vies respectives s'animent de joie en famille ou entre amis... et pourtant...

Je sais qu'une partie de moi est en attente...et dans l'ombre.

 

Je pense à toi, mon Maître, mon amant :

Pensées noires nourries d'envies furieuses

Délires de mes pensées de mon imagination...

Doux nectar sombre

 

Pensées blanches où tes bras m'enlacent où nos corps se respirent

Echanges sensuels et fatals...

Piquant miel dorée

 

Ce temps est mis à profit :

mon esprit se gorge d'envies, de folies, de désirs...  


De noir, de blanc, je serai habillée


Que la nouvelle année vienne,

Je serai chienne,

Je serai tienne.......

Par Chienne Saly
Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 13:26

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Je t'ai laissé libre de parole et de choix, à la différence d'autres

Parce que je sais que tu connais la valeur du lien

Et moi aussi

Et nous ne le trahirons pas


Dans tes yeux, je lis l'attente

Pas celle qui dit que tu n'es pas capable d'avancer sans

Mais celle qui montre le désir d'avancer ensemble

 

Dans mes yeux, tu peux lire

Le désir

La volonté

Le feu

Par Maître MaX
Jeudi 23 décembre 4 23 /12 /Déc 10:24

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Une envie aujourd’hui pour aller faire les courses : porter mes boules de geisha.

En effet, ma sensibilité vaginale se révélant différente, je souhaite savoir si quelque chose a changé et jusqu’à quel point.

J’averti Maitre MaX et pars ainsi.

Pendant que je marche, aucune sensation, aucun ressenti. Trop petites ou manque de sensibilité ? Par contre, je conserve tout au long de la journée et particulièrement en voiture une caresse au bas de mon vagin qui me laisse calmement excitée et humide. Comme un doigt en permanence posé. Je relate mes sensations par sms, déçue du peu d’effet.

Je crois qu’il va me falloir que du naturel, Maitre !

 

Pour ma soirée ciné qui suit, Mon maitre profite de l’occasion et me demande d’ajouter aux boules de geisha, le plug. Bien sûr, je dois m’habiller de façon très féminine et sans string ! 

C’est chose faite. Cocu et moi, partons en voiture. Je porte des bas, une jupe droite noire et un pull gris. Je n’ai pas mis de soutien-gorge comme annoncé à mon maitre, ni string. Le plug est en place. Il reste à mettre les boules de geisha. J’attends que la voiture passe dans une zone éclairée du périphérique et les sors. Je les humidifie en bouche et les place. Je n’ai pas conscience des voitures alentours. Cocu est étonné, se frotte la cage à travers le pantalon, surement un coup de chaud ! Je reste la jupe relevée jusqu’au ciné.


Je gigote beaucoup tout le long de la séance. Le plug assez gros est désagréable à garder ainsi assise.


Fin du film, je regarde les sms de mon maitre. Les ordres me sont donnés pour la nuit : je dois dormir dans la chambre du fond, nue, avec mes boules, mon plug et les poignets liés par mes liens de cuir. Une chaise  doit se trouver dans la chambre avec des préservatifs, des pinces et « blacky ».

J’aime cette mise en place, cette obéissance à des ordres de jeux. Et j’aime m’appliquer à ne rien oublier.

 

La nuit est longue. Une seule position me permet à peu près de gérer la douleur du plug qui se diffuse sous mes contractions. Je bouge un peu mais n’ai pas trop le choix. Je vis une contrainte bien particulière…

Premier réveil, je pense l’enlever car c’est vraiment incommodant, cette douleur, voir insupportable et surtout je ne vais pas en dormir. Je me raisonne, pense à mon maitre qui sait que je dors avec. Je ne peux le trahir et ne peux abandonner si tôt. Je me suis bien endormie une fois, je peux donc à nouveau. Je trouve une position et me rendors. Je me réveille quasi toutes les heures par l’inconfort (que je retrouve même dans mes rêves). Plus le temps passe et plus je suis proche de montrer à mon maitre que je lui ai obéi. Bientôt l’heure…

Cocu se lève. Il vient m’embrasser avant de partir travailler. Etant donné que mon maitre n’est pas encore là pour le libérer, je lui donne la clé.

Je suis en attente mentale et physique, je ne sais à quoi m’attendre (à part les pinces)… je somnole quelque peu...

Quand la porte s’ouvre, je sais que la délivrance est proche : qu’elle soit douce ou douloureuse, qu’elle vienne ou que je lui demande, immédiate ou tardive. Des palpitations m’envahissent car je ne sais pas ce qui va se passer. Mon souffle est plus court. Etrangement, je ne ressens plus la douleur, je ne sens plus mes contraintes. Je visualise mes liens (flash) et ne ressens que du désir et les frissons me parcourent.

Il me rejoint dans la chambre, se dévêt en partie, allume une lumière et m’enveloppe de son corps.

Il me respire, je le sens. Heureuse aux larmes...

Je frémis, me tortille comme une chienne aimante amadoue son maitre. J’imbrique mon corps dans le sien et attends son jugement. Il me caresse, des liens jusqu’aux cuisses. Impression qu’il s’imprègne de toutes les parties de mon corps. Le plug est là. Je trouve cet objet plastic un peu vulgaire placé ainsi et par sa forme, et par sa texture. Etrange image que je dois donner ainsi. Pourtant, je passe outre parce que l’important n’est pas là, n’est plus là … sa main qui passe dessus sans s’attarder me le confirme. Il vérifie ses demandes. Et me caresse toujours. Je le sens satisfait, heureux…je suis bien….

L’étreinte est longue. Nous aimons sentir et ressentir nos conditions, l’état d’esprit de chacun. J’aime me donner ainsi liée (réellement ou mentalement). Image de soumise offerte…et plus seulement l’image maintenant…. Je le suis. Je suis à lui,  je m’abandonne.

- « Ecarte les jambes », - « Plus »

Palpations, Vérifications. Face à lui, je laisse ses mains, ses regards savourer son œuvre.

 

Puis mon maitre se relève face à moi, mes pieds libres en profitent pour palper son caleçon. Il le retire et guide à nouveau mes pieds vers sa queue pour que je m’en saisisse. Je peux jouer un peu.

Il vient me lécher… Les mains liées au-dessus de la tête. Je savoure de m’offrir ainsi, jambes écartées, liée. Fixant ses yeux pour y lire ce qui m’attend. Mais je n’ai pas vu son intention quand il se penche pour saisir des pinces à linges. A nouveau un frisson qui me parcourt. Ce n’est plus une appréhension mais une curiosité de mon ressenti.

Une pince sur un téton, puis l’autre. Douleurs que j’intègre maintenant à cette intensité, que je savoure même. Il en rajoute sur les lèvres de ma chatte. Combien, je ne sais pas. Mais en bas, je ne sens rien.

Jeux de pinces, jeux de retrait. Observation et intégration des effets. A plusieurs reprises, il utilise mes tétons. Le plus sensoriel pour moi. Mais toujours cette même «douleur» qui se diffuse et me transcende. Même si je grimace, c’est devenu un doux supplice.

 

A côté de moi, ses doigts s’immiscent dans ma chatte, la caresse, la stimule, allant jusqu’au clito demandeur et envieux. Jeu avec le plug, vibrations sublimes qui me font aussitôt réagir de plaisir.

Il retire mes boules de geisha une à une et me les présente pour que je les lèche, les suce. Je ne me fais pas prier. Il vient m’embrasser et prends la deuxième en bouche. Baiser au gout de mouille comme on les aime tant. Instant de folie où la folie prend le pas sur la raison. Il prend possession de ma chatte et me lèche en même temps, je dirais plutôt me suce le clito et cela me fait vaciller. Au bord, je coule. Me contracte et absorbe le plug. Passé au-dessus de moi, je lui lèche les bourses et ne peux m’empêcher de monter plus haut, de sentir ma langue pénétrer  son anus. Puis, j’y mets un doigt, deux doigts juste à l’orée pour une subtile sensation. Il se laisse et s’abandonne un peu. C’est tout ce que je souhaite. Qu’il s’ouvre à moi, me fasse confiance pour lui offrir à mon tour de nouvelles sensations. Mimétisme de ce qu’il me procure, je fais les allers retours en synchrone. Il me fait jouir à l’orgasme, ne s’arrête plus je me tortille dans tous les sens.

J’ôte le plug, seule.

Après quelques instants, je me retrouve assise, les mains liées. Mon maitre s’installe sur la chaise. Une distance suffisante pour faire surgir quelques peu ma gène. La lumière est dans son dos : je l’avais placée ainsi pour que lui dans l’ombre, puisse jouir de mon être éclairé, de ce qu’il me demanderait. Je savais que cela me gênerait surement mais une offrande à faire assurément, un corps à assumer.

Il prend une photo. Je détourne la tête encore dans mes gènes, et dans l’attente telle une soumise.

Il me demande de venir le lécher.

Depuis le lit et les poignets toujours liés, je viens en appuie sur lui. Lèche sa poitrine, ses tétons, son thorax, descends jusqu’au nombril où je m’attarde. J’adore. Plaisirs partagés, plaisir offert. Je descends encore. Son ventre puis sa queue. Je la parcours de tout son long, revient sur les bourses. En appuie sur mes genoux, ma tête à ce niveau, je sais que je lui propose toute mon échine et la courbure de mes fesses entre-ouvertes. Fière d’être ainsi.

Prise par les cheveux, il me dirige, me fait lever, le suivre de quelques pas, m’accroupir, me fait assoir puis coucher au sol. A ses pieds, je reste, j’attends, ne pense à rien si ce n’est l’image qu’il a. Il me pousse à replier mes jambes. Telle une enfant, j’attends de naître. Je ne prends pas mon pouce mais en remerciement de cette renaissance qu’il va m’accorder, je prends son orteil et le lèche délicieusement comme son sexe.

Merci maitre de me laisser t’offrir les images de tes fantasmes. C’est un peu comme si je devenais (j’incarnais) ton fantasme et j’aime ça.

 

Il me relève et contre la fenêtre, me retourne. Cambrée, sous ses directives. Quelques fessées bien placées me font accentuer ma position. Maintenue fortement, puissamment pendant que sa queue me passe entre les jambes. Il ne tarde pas à me prendre la chatte par derrière.

C’est la domination que j’apprécie à ce moment-là. La puissance d’un homme qui me possède.

Puis en un recul, je m’assois sur lui, sur le lit. Je peux alors  bouger et me percuter, tout au fond. Je le baise, je me baise. Il apprécie, je savoure. Encore et encore.

Bascule…

Jeux à deux…

Il me prend par devant et je caresse mon clito, j’adore. Les sensations s’entremêlent, s’intensifie. J’ai le sentiment aussi de lui faire passer d’autre sensation par ma chatte. Je joue, il joue.

La tension monte encore… je disais la folie tout à l’heure, elle est là !!!…

Prise à quatre pattes…fessée, percutée…

Puis serrée, retournée. La fougue nous emporte à se mordre,  à se cracher dessus… Echange de fluides dans tous les sens du terme.

Puissamment, sans répit.

Sueur intense, à l’image du rythme

Furie magique qui nous emporte…

 

Un cheminement que je vois aujourd’hui à la relecture….

Soumise - fantasme - naissance -  femme – chienne.

Par Chienne Saly
Vendredi 17 décembre 5 17 /12 /Déc 16:58

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